Son argument sur l'altération physique du cerveau au niveau structural est pertinent. Elle persuade le lecteur par l’enchaînement des idées faisant de son augmentation, un raisonnement rhétorique de type logos. En mettant en avant "des études" qui sont difficle à retrouver lorsque l'on clique sur le lien, elle pose une "hypothèse" qui est une généralité (le fait de prioriser son temps passer en ligne au détriment des tâches de la vie quotidienne) et qui vient renforcer son point de vue . Or elle passe à côté de beaucoup d'informations sur l'addiction et son mécanisme en générale et la cyberaddiction comme les facteur de vulnérabilité (individuelle, environnementale et liés directement à Internet). Ses sources sont faibles et utilisées exclusivement à son point de vue. Elle tente de généraliser l'addiction qui est une pathologie, dans une volonté de permettre au lecteur de s'identifier et qu'il adhère à son discours. Le manque de précision et de crédits scientifiques sur ce point fait perdre de la force à son article.