Deux ou trois heures sans smartphone en état de fonctionnement leur étaient tout bonnement insupportable et pouvait déclencher une réelle crise de manque
Le smartphone devient un objet “toxicomaniaque” : il ne sert plus à communiquer, mais à pallier à une angoisse d’absence. Janssen fait ici le lien entre dépendance numérique et fragilité du moi — la connexion devient une drogue relationnelle.