29 Matching Annotations
  1. Last 7 days
    1. !

      mmmh pas très fan du point d'exclamation pour conclure ici

    2. Nouvelle Calédonie

      Nouvelle-Calédonie

    3. En supposant que la motion de censure et la loi spéciale n’aient pas d’effets négatifs induits sur la croissance

      une note qui renvoie vers le blog sur le coût de l'incertitude de Raul serait bienvenue ici.

    4. Au regard des multiplicateurs budgétaires à court terme

      Peut-être qu'une note ici serait bienvenue pour soit mettre un lien vers un texte qui explique quels sont ces multiplicateurs ou à minima donner une valeur.

    5. marié ou pacsé

      j'ai un doute quant au fait qu'il faille mettre des s à marié et pacsé

    6. « Loi spéciale »

      pareil que commentaire précédent et sans majuscule (ou avec mais dans ce cas pour toutes les occurences)

    7. « loi spéciale »

      pourquoi utiliser des guillemets ici alors que ce n'était pas le cas jusqu'à présent? Perso je mettra loi spéciale en italique dans tous les champs

    8. )

      espace en trop

    9. ))

      parenthèse à supprimer

    10. 1er

      superscript

    11. Nouvelle Calédonie

      Nouvelle-Calédonie

    12. (2,2 milliards d’euros)

      Si c'est Madec, 2024c, je le ferais dans ce cas sauter dans le premier paragraphe pour mettre la ref ici. *Pour les ménages, la censure du gouvernement de Michel Barnier s’est traduite, à court terme, par l’abandon d’une part des mesures d’augmentations d’impôts inscrites dans le projet de loi de finances pour 2025 (contribution exceptionnelle sur les hauts revenus, surtaxes sur l’électricité, …) *

    13. Graphique 2.

      Sources tab_2: répétitions calculs OFCE. calculs OFCE.

  2. Sep 2024
    1. Ces pertes dépasseraient les 200 euros pour les 15% de ménages les plus aisés (les trois dernières vingtièmes) avec un effet légèrement régressif en pourcentage du niveau de vie en fin de distribution. Autrement dit, au sein des ménages les plus riches, les plus aisés seraient relativement moins affectés que les autres, en raison de la faible progressivité de l’impôt dans les tranches les plus élevées. Au total, plus de 17 millions de ménages verraient leur impot sur le revenu augmenter par rapport à une situation d’indexation sur l’inflation. Pour répondre à l’engagement du nouveau Premier Ministre de ne pas accroître les impôts « sur les classes moyennes et les Français qui travaillent », nous avons simulé une seconde mesure qui consisterait à indexer sur l’inflation la première tranche d’impôt sur le revenu mais à ne pas faire évoluer les trois dernières tranches du barème c’est-à-dire celles des taux marginaux à 30%, 41% et 45%. SOus ces hypothèses, 7,2 millions de ménages verraient leur impot sur le revenu s’accroitre. Selon nos estimations, cette mesure « épargnerait » les ménages du centre de la distribution et concentrerait l’effort sur les ménages plus aisés. Cependant, les gains budgétaires seraient moindres, atteignant environ 1,5 milliard d’euros. Enfin, un dernier scénario a été simulé : le seul gel des deux tranches supérieures du barème de l’impôt sur le revenu. La mesure aurait le « mérite » de concentrer l’effort sur les 550 000 ménages les plus aisés mais les recettes fiscales à attendre serait très faibles, de l’ordre de 200 millions d’euros. Pour rappel, le coût de la suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales pour « 80% des ménages »était estimé en 2017 à plus de 10 milliards d’euros et le seul coût budgétaire de son extension à l’ensemble des ménages était estimé en 2018 à 6 milliards d’euros. La base fiscale de la taxe d’habitation (les valeurs locatives cadastrales) ayant très largement au cours des dernières années sous l’effet du retour de l’inflation, le coût budgétaire actualisé de la mesure en serait largement augmenté.

      Pb de largeur de graphe qu'on devra corriger ensemble. Sinon pas moyen de les placer dans la zone de texte (genre avant le dernier paragraphe?

    2. ayant très largement

      ayant très largement quoi ?

    3. Pour rappel, le coût de la suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales pour « 80% des ménages »était estimé en 2017 à plus de 10 milliards d’euros et le seul coût budgétaire de son extension à l’ensemble des ménages était estimé en 2018 à 6 milliards d’euros

      je reformulerais ici: - Pour rappel, il a été estimé en 2017 que le coût de la suppression de la taxe d'habition sur les résidences principales serait supérieur à 10 milliards d'euros, et en 2018 que son extension à l'ensemble des ménages aurait un coût budgétaire de 6 milliards d'euros

    4. était

      typo

    5. « mérite »

      idem remarque précedente

    6. « épargnerait »

      je mettrais ici directement en italique soit dans le code épargnerait plutôt que des parenthèses.

    7. SOus

      typo

    8. modèle de micro-simulation Ines

      pareil si référence biblio ici, ce serait bien de l'ajouter

    9. Dans les faits, ces dernières années, le barème de l’impôt sur le revenu a été le plus souvent indexé non pas sur les revenus mais sur les prix

      t'aurais pas une petite source ici à ajouter ?

    10. pas fan...ca donne un côté conspi...si tu vois ce que je veus dire... peut-être en mettant à la ligne ?!

  3. Jun 2024
    1. 23 Md€

      Est-ce qu'on est sûr de parler de la même chose ?

    2. Destruction de 500 000 emplois (selon la majorité)

      Il faudrait sans rajouter l'estimation d'Eric produite dans la partie analyse&contexte

    1. Transition énergétique

      Transition écologique dans onglet "Analyse&contexte" --> Cohérence

    2. Les programmes

      Plutôt mettre en gras là non (avec un lien)

  4. Sep 2022
    1. c’est déjà le cas dans la réalité.

      On a des chiffres à ce sujet ?

    2. Comme on le sait, le financement du système de retraite est potentiellement fragilisé par le vieillissement démographique qui se traduit par une dégradation régulière du nombre d’actifs par retraité. Pour contrôler ce ratio de dépendance démographique, l’âge moyen de liquidation des pensions est un des facteurs clés et il repose sur de nombreux paramètres d’ajustement : durée de cotisation, décote/surcote, âge minimum, âge d’équilibre, etc.

      Oui enfin c'est vous qui le dite!