5 Matching Annotations
  1. Dec 2021
    1. Quelles conséquences pour notre cerveau ?

      Utilisation du Notre pour inclure/toucher le lecteur.

    2. Mais les appendices technologiques qui nous épargnent de fastidieux efforts d’archivage nous permettent-ils de nous adonner à des tâches plus valorisantes et d’avoir « la tête bien faite plutôt que bien pleine », comme le souhaitait Montaigne ? À l’inverse, ces artefacts, en privant la mémoire interne d’informations à synthétiser, ne risquent-ils pas de l’affaiblir et, à terme, de porter atteinte à notre façon de penser et à notre libre arbitre ? Pour Francis Eustache, impossible de répondre par oui ou par non à ces questions majeures de société, faute de recul.

      L'auteur développe l'interrogation de l'introduction en mettant en avant les failles que cela engendre. s'appuie sur Francis Eustache pour montrer la complexité du problème et surtout le manque de recul. l'argument est faussement neutre, la négation induit son argument vers le contre.

    3. Jamais notre mémoire ne s’est trouvée à ce point hors de nos têtes.

      tournure de phrase rhétorique "jamais-ne-a ce point"

    4. Le Web, super-mémoire du monde

      Titre accrocheur Pour

    5. Le Web, super-mémoire du mondeSurtout, ordinateurs, smartphones et tablettes permettent d’accéder en un clin d’œil à la super-mémoire du monde qu’est devenu le Web et d’y treuiller à tout moment des savoirs « copiables et collables » qu’il n’est plus indispensable d’apprendre par cœur. Depuis la fin du XXe siècle, le processus d’extériorisation de la mémoire humaine, jadis lent et progressif, s’est donc brusquement accéléré et massifié. Jamais notre mémoire ne s’est trouvée à ce point hors de nos têtes. Un disque dur externe de quatre téraoctets coûtant moins de 200 euros, « tout un chacun ou presque peut désormais tenir entre ses mains un équivalent numérique de la Bibliothèque nationale de France (BNF), laquelle contient environ 14 millions d’ouvrages, indique Jean-Gabriel Ganascia, professeur d’informatique à l’UPMC et chercheur au LIP61. Le volume total du Web, qui vient de franchir la barre du milliard de sites, a quant à lui été évalué en 2012 à 2,8 milliards de téraoctets, soit à peu près 200 millions de BNF. Et les choses ne feront qu’augmenter. Dès 2015, la Toile représentera un demi-milliard de BNF ! Notre époque est la première à disposer de si gigantesques capacités de stockage et de traitement des données », à tel point que la mémoire, au cœur de l’activité d’entreprises comme Microsoft, Apple, Google ou Facebook, est devenue l’un des principaux enjeux industriels du XXIe siècle.

      Il indique que le savoir est a la portée de tous et tout le temps. L'auteur fait un point sur l'évolution de la mémoire .. L'auteur laisse sous-entendre que le savoir est un pouvoir pour les entreprises mais sans expliquer en quoi?