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  1. Apr 2021
    1. Mais y a-t-il un gain d'apprentissage en faisant de la robotique? Les études expérimentales n'arrivent pas à le montrer. Toutefois, la plupart d'entre elles indiquent des progrès intéressants dans la compréhension des technologies, des mathématiques, des sciences exactes et même, dans certains cas, dans des matières moins directement en lien avec la robotique comme la musique, les sciences de la vie et de la terre, etc.

      Que disent les recherches?Des petits avances dans la compréhension des sciences fixes et indirectement dans la musique ,les sciences de la vie, Effets sur les élèves:améliorer la communication,competences cognitives,sociale et affectives. Dans le décrochage scolaire de bon résultats! Le point de vue de l'auteur est bien claire:il n'y a pas des évidences saillantes!Ca vient à contredire les argument pro robotique dans l'école expose auparavant!!!

    2. En plus de ce projet, l'organisme encourage des concours de robotique. Par exemple, ce concours à Lille se servant des Lego Mindstorms pour créer un robot capable de porter des balles sur un circuit. Il semble que ce soit par l'approche concours que l'apprentissage par la robotique se fasse le plus souvent. Il y en a plusieurs partout dans le monde et pour tous les âges, y compris les plus petits.

      Autre effet sur les élèves c'est la créativité !

    3. De plus en plus de recherches s'intéressent aux approches de robotique en classe. Il y en aurait trois principales.

      Qu'est-ce qu'en apprennent les élèves?Trois choses:… 1.apprentissage de la robotique 2.apprentissage avec la robotique 3.apprentissage par la robotique

    4. Même le géant du jouet Lego offre une gamme de kits pour construire des robots, Mindstorms, utilisables autant à la maison qu'à l'école pour apprendre et expérimenter avec la robotique.

      Les enfants peuvent utiliser les robots Lego à l'école pour être plus habitués avec cette discipline.Concernant les recherches en robotique,chaque fois c'est plus accessible aux petites entreprises Ca sonne très bien mais c'est seulement une intention et loin de la réalité.Le geant Logo a une offerte mais il y a une minorité des écoles qui ont les ressources matérielles pour implementer ça.

    5. les activités scolaires et parascolaires plus technos se concentrent sur deux sujets : la programmation et la robotique. Avec les avancées importantes faites dans ce secteur, il devient très intéressant d'enseigner aux enfants le fonctionnement de robots qui feront vraisemblablement partie de leur quotidien lorsqu'ils seront adultes.

      Le premier tableau c'est l'implementation dans l'école à la programmation et à la robotique.Nous sommes au commencement de ce type de programme scolaire et il faut encore de temps pour avancer!

    6. La robotique à l'école : que disent les recherches? De plus en plus, la robotique s'immisce dans les salles de classe. Quels en sont les effets sur les élèves?

      Au long de l'article on doit voir les arguments de l'auteur autour de ces deux questions argumentative(les recherches en robotique concernant l'école / les effets de la robotique sur les élèves).

  2. Feb 2021
    1. Some research says instead of isolating people, technology is actually helping strengthen relationships.

      Même si je suis pro internet il y a très peu des études sur les points positives du internet!

    2. Our findings are very clear and consistent, that users of social networks tend to have more close relationships, not just online, but in real life,” says Keith Hampton, PhD, an associate professor of communication and public policy communication at Rutgers University.

      Keith Hampton,professeur à Rutgers University,dit que l'utilisation d'internet donne plus des relations dans la vie reale pas seulement la vie virtuelle!

    3. The answer may depend on which decade you were born in. 

      On a la possibilité d'avoir notre propre point de vue...mais nous sommes nés dans quelle ère?Moi ,je suis né entre les deux ère...

    4. As we spend more and more time snuggled up with our smartphones, laptops, and tablets, a big question looms: Are these devices bringing us closer together or further apart?

      Ici c'est le même thème:internet nous rend il seuls?Donc ,la question argumentative.

    5. More than 80% of teens in the survey say social media makes them feel more connected to their friends’ lives, and 70% feel more in tune with their friends’ feelings.

      Si les pourcentages sont vraie,ça c'est très rassurant,tenant en compte que toujours l'implication entre personnes done de confiance et equilibre!

    6. It makes us aware of our group’s diversity. In the past, it was easy to assume all your friends shared similar beliefs to yours, Hampton says. But with social media, we get many more daily peeks into what everyone is doing and thinking. “Little pieces of information about your life, such as where you ate dinner, who you were with, and your political leanings, are visible in ways they were not before,” Hampton says. “This makes us more aware of the diversity of the people in our social circle.”

      On peut fortifier notre entourage mais dans le même temps on diversifie notre mentalité...

    7. Facebook users also scored higher than non-users in measures of social support. They had more friends who were willing and able to offer advice, companionship, and physical help. Hampton adds digital technology provides a platform to ask for that help quickly.

      C'est bien interessant que ce monsieur Hampton dit!

    8. It leads to more offline interaction. Hampton would like to dispel the notion that the people who use technology the most are hiding in their apartments to avoid personal contact. He says online conversations often lead to an in-person coffee or dinner date. “There is no evidence that digital interactions are replacing face-to-face interactions,” he explains. “In fact, we have found that users of digital technology are also the heaviest users of public spaces, such as cafes, restaurants, and religious centers.”

      Ce passage vient de confirmer l'expérience que j'ai eu avec le Facebook.

    1. En entreprise, pendant trop longtemps, les « hard skills », ou compétences techniques, ont prévalu sur les « soft skills », les compétences relationnelles et émotionnelles. Il faut désormais inverser l'importance de la hiérarchie et se reporter sur les compétences clefs d'aujourd'hui : savoir être innovant, attentif, gérer ses émotions... En d'autres termes, savoir gérer son cerveau. L'impératif est moins d'apprendre que d'apprendre à s'adapter.

      C'est interessant que l'auteur point plutôt sur des capacités psychiques que sur des capacités techniques dans une ère ou la productivité est la plus importante et la personne est regardé comme un instrument!Dèja c'est une avance,traitant les employés comme des personnes!

    2. Mais que doit-on encore apprendre ?

      On identifie la question argumentative et quelques lignes plus bas la reponse à cette question:SAVOIR GERER SON CERVEAU est la thèse de l'auteur.

    1. Certes, dans un contexte de crise, de mutations sociales et de montée des précarités, nous assistons, depuis quelques décennies, à une perte de repères sociaux et au délitement du lien social, au déclin de l’influence des instances traditionnelles de socialisation (famille, église, syndicats, école, partis) et des réseaux sociaux traditionnels. Ceci en lien avec un développement de l’individualisme et l’accroissement du besoin d’autonomie des individus. D’où le succès des réseaux sociaux numériques (RSN) offrant une facilité de relations spontanées et la constitution de réseaux étendus, émancipées des règles inhérentes aux liens forts entretenus avec la famille et l’entourage proche.

      La scission et la redistribution de l'ancienne organisation sociale nous amène dans la situation d' utiliser les reseaux numériques d'une façon particulière,tenant en compte nos besoins communicatives. C'est évident que les relations avec autrui sont beaucoup plus facil à mantenir,et on peut communiquer presque sans barrière horaire.

    2. Définissons d’abord la notion de lien social comme les relations régulièrement entretenues entre des personnes, dans la proximité (famille et amis, milieux de vie culturels et professionnels). Les relations sociales en sont les manifestations concrètes, avec des principes et des règles plus ou moins explicites. Suffisamment solides, elles assurent une place et une identité aux individus et leur sentiment d’appartenance à une collectivité. Quant aux réseaux sociaux, c’est le maillage des relations sociales, par contacts directs, ou par divers moyens de communication. Or, aujourd’hui, lorsqu’on dit réseaux sociaux, on ne parle que d’Internet, comme si les autres n’existaient plus.

      Le social est definit par plusieurs componentes.On doit partager certaines componentes pour avoir claire l'ensemble et pour différencier l'influence qui a l'internet concernant nos relations sociales! L'internet génère solitude?Pas du tout.L'addiction au certaines occupation peut nous faire d'être plus long temps connectés avec l'internet que avec la famille ou les amis(la bourse,jeux video,emissions sportives etc).

    3.  Peu d’études approfondies sur la complexité du phénomène, mais plutôt un débat idéologique, entre ceux qui portent un véritable culte à Internet, avec la promesse d’un monde meilleur, et ceux qui stigmatisent les risques individuels et collectifs, et qui redoutent que cela ne fasse obstacle à une réelle citoyenneté.

      On peut identifier ici la question argumentative,le deroulement de l'article,suivant une ligne des arguments dans le registre epistémique neutre.L'auteur presente des arguments pro et contre mais il ne se positionne pas d'une côte ou d'une autre,laisant le lecteur de former son propre point de vue!

  3. Jan 2021
    1. . Et puis, Internet, ce n'est pas que des scientifiques. C’est tout à la fois un espace d'échange et de partage, mais également de corruption de cet échange : buzz, fausses informations, manipulation émotionnelle,

      Chaque fois les avances technologiques ont généré aussi des problèmes!!!Par exemple, la fission nucléaire,et après Hiroshima...Mais l'internet ,oui,c'est un outil qui sert à partager ,à relationner,à solidifier les amitiés,et avoir des échanges sociales.

    2. Dans le cadre d’une économie numérique libérale, elles sont conçues pour agencer les relations sociales d’une certaine manière, et s’inscrivent dans le cadre de rapports sociaux établis. Les principaux outils numériques sont détenus par quelques compagnies privées, privilégiant des applications techniques mercantiles au détriment de leur potentiel d’intervention humaine et citoyenne.

      La puissance relationnelle et le pouvoir bénéfactif des reseaux numériques est diminué par le merchantilisme.On doit apprecier l'attitude que l'auteur a envers la réalité digitale ,en exposant le fait que il y a un côte... et puis l'autre!

    3. . Ceux qui en souffrent en souffrent avec ou sans Facebook. L’usage des RSN n’est pas directement responsable de la baisse constatée des diners de famille et des invitations à domicile. La sociabilité s’est déplacée hors de la maison, et ceux qui fréquentent des sites numériques culturels maintiennent leurs sorties au cinéma et au théâtre, vont au restaurant, etc... Ce qui est rarement le cas des précaires. Si les RSN peuvent contribuer à compenser l’absence de relations proches, de jeter des ponts entre des individus, un quart des internautes n’ont jamais rencontré physiquement leurs correspondants, seuls 10% ont rencontré les gens connus sur Internet. 20% des personnes vivant seules déclarent souffrir de leur solitude, 15% qu’ils n’ont qu’un(e) seul(e) vrai(e) ami(e), et 10% qu’ils n’ont personne à qui se confier. La taille moyenne de nos réseaux de confidents a chuté de 2,94 personnes en 1985 à 2,08 en 2004.

      L'internet est responsable de notre solitude?Pour les personnes qui étaient seuls avant de l'ère numérique,sont seuls même avec les reseaux numérique.Il faut tenir en compte l'inclinaison commune de faire responsable(coupable) a quelqun de nos problèmes,de notre manque d'amis ,de notre solitude.

    4. Mais lorsque l’on parle de RSN, on fait plutôt référence aux sites qui favorisent les relations cordiales et amicales, la mise en scène de soi. Usage qu’en font la plupart des jeunes (mais pas qu’eux) : passer du temps avec leurs amis, disposer d’espaces non contrôlés d’échanges directs, mettre en scène leur identité et la structurer en fonction de la validation ou non du regard des autres.

      La grande majoritée des personnes interwievées sur la problèmatique concernant la positivité ou la negativité de l'impact des reseaux numériques sur la socialisation ,ont répondu que les reseaux sont un gain social,les relations se peut mantenir plus facilment maintenant que avant.

    5. Alors, le quart d’internautes qui se branchent longuement, à titre personnel, passent moins de temps avec leurs proches et à des activités extérieures, se retirent progressivement de leur réseau social et rentrent dans une spirale dépressive. Mais l'usage et la signification des médias électroniques sont très différents selon les catégories sociales. Ils recouvrent des modes de sociabilité déjà à l’œuvre chez les personnes. Et il en ressort des effets positifs pour ceux qui, par ailleurs, se téléphonent et se rencontrent, à titre professionnel, familial et relationnel. Plus que le seul téléphone, clavardage et webcam permettent de maintenir un dialogue et d'entretenir des réseaux personnels et professionnels qui, autrement, en fonction de l’éloignement géographique, serait plus difficile. S’il existe beaucoup de réseaux de liens faibles, d’autres permettent de se retrouver autour de passions ou d’intérêts partagés, qui peuvent tout autant participer de l’isolement ou d’une démarche addictive, que d’agir comme de formidables vecteurs de la socialisation.

      Toujours la nouveauté(les reseaux sociales numérique ne sont pas toute à fait une nouveauté) a des pro et des contra.Ici, est souligné le fait que peut générer des manifestations positives comme negatives,mais tout est lié à la personalité de chaque personne,généralement les gens opinent favorables pour cette type des relations.

    1. Notre cerveau subit en continu un bombardement d'informations. Or, leur captation représente un coût pour le cerveau qui alloue une attention qu'il ne pourra plus porter à d'autres tâches. Recevoir une notification d'un mail pendant une réunion, par exemple, brouille notre attention, même si le mail n'est pas ouvert.Les sollicitations internes, elles aussi, sont largement responsables de cette perte d'attention. L'addiction au numérique nous pousse à consulter sans cesse notre boîte mail, même sans notifications. La culture de l'urgence fait qu'aujourd'hui la rapidité de traitement de l'information est assimilée à la performance. Le cerveau rentre dans un automatisme dans lequel il finit par être happé.

      Cette comparation entre le fleuve d'informations et les solicitations de nature psychique met en avant que nous sommes limités,et,chaque fois nous pussons nos limites jusqu'a la frontiére du burn-out c'est le danger!

    2. Les équipes vont augmenter leurs capacités de travail si le leader croit en eux. Cela questionne la collaboration qui se fait de plus en plus à distance. Il est en effet plus difficile d'être empathique dans un mail que dans une relation en face-à-face.

      C'est idéal de travailler avec ton chef face-a-face.Mais s'il est une personne difficile est preferable de ne le voir pas!

    3. Pour se protéger, le cerveau met en place une barrière naturelle. Un filtre attentionnel, disent les neurosciences. Le cerveau réalise une sélection précoce de l'information, mais au-delà de dix éléments qui occupent notre esprit, il ne fait plus le tri et traite toutes les informations de façon automatique. La totalité de sa mémoire de travail - celle dédiée à l'immédiateté - s'en trouve saturée. Or, dans nos environnements numériques, cette limite de dix éléments est très vite atteinte.

      Qui tient compte de cette barriére de dix éléments dans cette époque?

    4. Proposer de l'e-learning pour de l'e-learning n'a évidemment pas de sens. Le modèle du MOOC peut être intéressant, mais l'apprentissage y est encore trop passif et le format gagnerait à plus d'interactivité. Dans l'apprentissage, le rôle du maître reste primordial : il permet de pointer les erreurs des individus et d'identifier les limites de leurs connaissances. Avec l'e-learning, le bât blesse au niveau des contrôles des connaissances en fin d'apprentissage, qui sont parfois insuffisants. En présentiel, il est plus facile d'apporter un retour efficace à l'apprenant.

      Une controverse entre les MOOC et les cours en présenciel?Parfois c'est difficile de te préparer en presentiel par manque des recours.Toujours est mieux de voir et parler avec l'enseignant!C'est un point de vue.

    1. Les livres seront bientôt obsolètes dans les écoles publiques. [...] Il est possible d’enseigner n’importe quelle branche de la connaissance humaine avec le cinéma. Notre système scolaire sera complètement bouleversé d’ici 10 ans. » (Thomas Edison, The New York Dramatic Mirror, 1913). Si cette citation peut aujourd’hui prêter à sourire, force est de constater que la vidéo est devenue – en plus d’un siècle – un support d’apprentissage fréquent en milieu éducatif, dont l’usage ne cesse de s’accroître avec le développement de la vidéo numérique et de la formation à distance (MOOCs, classes inversées…).

      Les livres ont dominé l'apprentissage tout au long des siècles mais maintenant il faut prendre en compte le pouvoir des vidéos documentaires! IED_QA

  4. Jul 2020
    1. Les recherches effectuées sur ces quinze dernières années confirment que l’apprentissage à partir de vidéos peut être comparable (en termes de recherche d’informations et de mémorisation) à un apprentissage textuel, pour peu que l’apprenant « ait la main » sur le flux d’informations qui lui est proposé.

      Arguments dans le registre épistemique mais qui peut être classé dans le registre rhetorique aussi. IED_EI 3 IED_RL 4

    2. Les résultats de cette étude répliquent pour une part ceux de l’étude de 2011, montrant des performances de mémorisation (mesurées par QCM) similaires entre texte écrit et vidéo interactive, tous deux supérieurs à la vidéo non-interactive

      Ici nous avons un argument dans le registre logic qui vient d'étayer la conclusion primaire . IED_RL

    3. Comparés aux résultats pessimistes de Furnahm, Gunter et Green rapportés plus haut, les résultats ne montrent aucune différence significative en termes de mémorisation des faits historiques (QCM) entre les trois types de modalités pédagogiques, suggérant que l’apprentissage à partir de vidéos peut être une modalité d’apprentissage aussi efficace qu’un apprentissage textuel, dans la mesure où l’apprenant a une marge de manœuvre minimale sur le flux d’informations de la vidéo.

      Point de vue vidéo versus texte. IED_PV

    4. Les résultats de cette étude montrent un avantage significatif de la modalité « vidéos interactives » comparée à la modalité « vidéo linéaire », les étudiants reproduisant de mémoire les nœuds présentés beaucoup plus rapidement à la suite du visionnage des vidéos interactives. Les auteurs ont pu par ailleurs constater que les participants faisaient un usage spontané et fréquent des fonctionnalités d’interaction proposées par le dispositif de visionnage.

      Un deuxième point de vue concernant les modalites des vidéos. IED_PV

    5. La vidéo numérique et l’affranchissement du support physique a peu à peu permis le développement de fonctionnalités de contrôle du flux de plus en plus sophistiquées mais simples à mettre en œuvre, et ce à deux niveaux (Merkt et al., 2011 ; Merkt & Schwan, 2014) :

      L'avancement de la technologie a permis l'utilisation de la vidéo d'une manière plus utile pour l'apprentissage. IED_ED 4

    6. Pourquoi une telle supériorité du texte sur la vidéo, quand celle-ci est visionnée de façon passive ? L’explication avancée par les auteurs, et reprises par des auteurs plus contemporains (Merkt et al., 2011 ; Merkt & Schwan, 2014) tient au caractère transitoire de l’information quand celle-ci est présentée sous format vidéo : une information est donnée, puis est remplacée quelques secondes après par une autre, puis une autre – le débit d’information étant contrôlé par le concepteur de la vidéo lui-même. L’absence de révision de l’information (absence de retours sur des passages importants ou complexes) ou un débit d’information trop rapide peuvent rendre très difficile la mise en œuvre des processus cognitifs nécessaires à l’apprentissage et surcharger la mémoire à court terme de l’apprenant (Lowe & Schnotz, 2014).

      Nous avons ici une argumentation qui est reprise plus tarde des autres éxperimentations. IED_EC 4

    7. Cette étude montre une supériorité nette, en termes de performances de mémorisation (rappel libre et QCM), des résultats des étudiants ayant lu la transcription écrite du documentaire, comparés aux résultats des étudiants ayant vu la vidéo et aux résultats de ceux ayant écouté la seule bande-son du documentaire.

      Un premier point de vue... IED_PV

    8. L’apprentissage à partir de vidéos a-t-il vraiment rendu « obsolète » l’apprentissage textuel classique ? Les premières études menées dans le domaine de la psycho-pédagogie ont rapidement démontré que les élèves (tous âges confondus) percevaient l’apprentissage à partir de vidéos comme plus motivant, et demandant moins d’effort mental qu’un apprentissage textuel classique (Salomon, 1984). Pour autant, son efficacité en termes de performance d’apprentissage – comparé à un apprentissage textuel classique – apparaît plus contestable

      Nous avons ici deux positions:une apparaît contestable? IED_DP

    1. En général, à tout le moins en Occident, on pense que ce n’est qu’à force de travail que le succès finira par se matérialiser. Dans les faits, la poursuite du bonheur par le biais d’un labeur acharné fait, dans plusieurs cas, long feu

      Dans l'Orient Extreme l'opinion est différente!