Antoine Amarilli fait remarquer le d ́es ́equilibre apparent de la situation actuelle, o`ul’association devrait payer ORCID pour avoir le droit de leur fournir des donn ́ees. L’AGdemande si d’autres acteurs se trouvent dans une situation analogue `a la nˆotre. Anto-nin Delpeuch rappelle que les outils de gestion de recherche vendus aux universit ́es lesplacent dans une sitation similaire `a la nˆotre ; `a leur ́echelle, cependant, le montant dela cotisation `a ORCID ne repr ́esente pas un probl`eme de la mˆeme ampleur.