La difficulté principale de cette dernière, ce qui la rend « horriblement difficile » (« entsetzlich schwer »), n’est pas l’effort de jeûner en soi, mais celui de rendre visible ce qui en principe relève du domaine de l’invisible : la sensibilité intérieure du manque, du creux, de la faim qui ronge (ou de son double, le ballonnement coupable suivant le moindre « craquage » alimentaire)
L'auteur prend partie en valorisant le fait de décrire "tout ce qui relève de l'invisible".