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  1. Dec 2022
    1. La respuesta se encuentra parcialmente en la juven-tud del Estado suizo, cuyo nacimiento resulta dificil dedatar más allá de 1813-1815 "sin el auxilio de ciertaprevaricación", como observa socarron.u:nente H~ghe~,44quien nos recuerda que la pnmera ciudadanía SUlz~verdadera, la introducción del sufragio (masculino) di-recto, y la abolición de las áreas "internas" de peajes yderechos de aduana fueron logros de la República Hel-vética creada forzadamente por la ocupación francesade 1798. Sólo en 1803 incluyó el Estado grupos impor-tantes que hablaban italiano con la adquisición de Tesi-no. Apenas en 1815 obtuvo las populosas áreas de ha-bla francesa de Valais, Ginebra y Neuchátel, quitándolasa una vengativa Santa Alianza antifrancesa, a cambio dela neutralidad y de una constitución muy conservadora."En efecto, la Suiza multilingüe de hoyes un producto deprincipios del siglo XIX:

      el caso de suiza

    2. Se reconoce en forma nomenos general que el papel de vanguardia de las inteUi-gentsias se debió a su instrucción bilingüe, o mejor di-cho a su instrucción y bilingüismo. El alfabetismo ha-cía posible ya la comunidad imaginada flotante en eltiempo homogéneo, vacío, a la que ya hemos hecho re-ferencia. El bilingüismo significaba acceso, por mediode la lengua de Estado europea, a la cultura occidentalmoderna en el sentido más amplio, y en particular alos modelos del nacionalismo, la nacionalidad y la na

      bilinguismo

    3. En el periodo de 18()()..1850, de resultas de la obraprecursora de académicos nativos, se formaron tres len-guas literarias distintas en el norte de los Balcanes: elesloveno, el serbocroata y el búlgaro. En el decenio de1830 se creía generalmente que los "búlgaros" forma-ban parte de la misma nación que los serbios y loscroatas, y en efecto habían participado en el movimien-to ilirio, pero en 1878 surgía un Estado nacional búlgaroseparado. En el siglo XVIII apenas se toleraba el ucrania-no como lengua de campesinos. Pero en 1798 escribió(van Kotlarevsky su Aeneid, un poema satírico de la vidaucraniana que gozó de enorme popularidad. En 1804se fundó la Universidad de Jarkov y pronto se convirtióen el centro de un auge de la literatura ucraniana. En1819 apareció la primera gramática ucraniana, sólo 17años después de la gramática oficial rusa. Yen el dece-nio de 1830 aparecieron las obras de Taras Shevchen-ko, de quien dice Seton-Watson que "la formación deuna lengua 'literaria ucraniana aceptada le debe másque a cualquier otro individuo. El uso de esta lenguafue la etapa decisiva de la formación de una conciencianacional ucraniana"." Poco tiempo después, en 1846

      el caso de Ucrania

    4. Las autoridades soviencas lo Iml~ron, pnme-ro con el uso obligatorio antiislámico y anuperS3; del al-fabeto latino; luego, en los años treinta con Stalin, conel empleo obligatorio del alfabeto cirílico rusíficanre

      stalin

    5. Así pues, con un espíritu antropológico propongo ladefinición siguiente de la nación: una comunidad polítí-ca i~Ol.~C:(}!Do.¡tlJ:¡~rentemente limitada y soberana.

      definición antropológica

    1. Une nation est donc une grande solidarité, constituée par le sentiment des sacrifices qu'on a faitset de ceux qu'on est disposé à faire encore. Elle suppose un passé; elle se résume pourtant dans leprésent par un fait tangible: le consentement, le désir clairement exprimé de continuer la viecommune.

      !!!!! SIGNIFIACTION DE LA NATION ENFIN

    2. Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n'en font qu'une,constituent cette âme, ce principe spirituel. L'une est dans le passé, l'autre dans le présent. L'uneest la possession en commun d'un riche legs de souvenirs; l'autre est le consentement actuel, ledésir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l'héritage qu'on a reçu indivis.

      desir de vivre ensemble + la volonté de continuer

      bon pour intro reseacrh

    3. L'homme est tout dans la formation de cette chose sacrée qu'on appelle unpeuple. Rien de matériel n'y suffit. Une nation est un principe spirituel, résultant descomplications profondes de l'histoire, une famille spirituelle, non un groupe déterminé par laconfiguration du sol

      c'est pas que la terre aue limite la nation, mais les hommes

    4. La communauté des intérêts fait lestraités de commerce. Il y a dans la nationalité un côté de sentiment; elle est âme et corps à la fois

      INTÉRÊTS - mais pas que ca

    5. De nos jours, lasituation est parfaitement claire. Il n'y a plus de masses croyant d'une manière uniforme. Chacuncroit et pratique à sa guise, ce qu'il peut, comme il veut. Il n'y a plus de religion d'État; on peutêtre français, anglais, allemand, en étant catholique, protestant, israélite, en ne pratiquant aucunculte. La religion est devenue chose individuelle; elle regarde la conscience de chacun

      AUJOURDD'HUI

    6. N'abandonnons pas ceprincipe fondamental, que l'homme est un être raisonnable et moral, avant d'être parqué dans telleou telle langue, avant d'être un membre de telle ou telle race, un adhérent de telle ou telle culture.Avant la culture française, la culture allemande, la culture italienne, il y a la culture humaine

      la "culture humain"

    7. Leslangues sont des formations historiques, qui indiquent peu de choses sur le sang de ceux qui lesparlent, et qui, en tout cas, ne sauraient enchaîner la liberté humaine quand il s'agit de déterminerla famille avec laquelle on s'unit pour la vie et pour la mort.

      la langue dans le contexte de nation (!)

    8. Au contraire, la Suisse, si bien faite,puisqu'elle a été faite par l'assentiment de ses différentes parties, compte trois ou quatre langues. Ily a dans l'homme quelque chose de supérieur à la langue: c'est la volonté.

      même en Uc,

    9. La race, comme nous l'entendons, nous autres, historiens, est donc quelquechose qui se fait et se défait. L'étude de la race est capitale pour le savant qui s'occupe de l'histoirede l'humanité. Elle n'a pas d'application en politique. La conscience instinctive qui a présidé à laconfection de la carte d'Europe n'a tenu aucun compte de la race, et les premières nations del'Europe sont des nations de sang essentiellement mélangé

      la race ...politique

    10. La vérité est qu'il n'y a pas de race pure et que faire reposer la politique sur l'analyseethnographique, c'est la faire porter sur une chimère.

      pas de race puree

    11. L'invasion des barbares fut, malgré les apparences, un pas de plus dans cette voie. Les découpuresde royaumes barbares n'ont rien d'ethnographique; elles sont réglées par la force ou le caprice desenvahisseur

      le cas de ukraine ???

    12. À entendre certains théoriciens politiques, une nation est avant tout une dynastie, représentant uneancienne conquête, conquête acceptée d'abord, puis oubliée par la masse du peuple

      concept politique

    13. Mais qu'est-ce donc qu'une nation ? Pourquoi la Hollande est-elle une nation, tandis que leHanovre ou le grand-duché de Parme n'en sont pas une ? Comment la France persiste-t-elle à êtreune nation, quand le principe qui l'a créée a disparu ? Comment la Suisse, qui a trois langues,deux religions, trois ou quatre races, est-elle une nation, quand la Toscane, par exemple, qui est sihomogène, n'en est pas une ? Pourquoi l'Autriche est-elle un État et non pas une nation ? En quoile principe des nationalités diffère-t-il du principe des races ?

      des questions a voir

    14. La nation moderne est donc un résultat historique amené par une série de faits convergeant dans lemême sens

      chaque nation né dans diff circumstances

    15. Orl'essence d'une nation est que tous les individus aient beaucoup de choses en commun, et aussique tous aient oublié bien des choses.

      l'essence: on oublie de choses ""

    16. C'est l'invasion germanique qui introduisit dans le monde le principe qui,plus tard, a servi de base à l'existence des nationalités.

      le concept de nationalité

    17. Les nations, entendues de cette manière, sont quelque chose d'assez nouveau dans l'histoire.

      un concept nouveau

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    Annotators

    1. Les « traditions inventées » désignent un ensemble de pratiques de nature rituelle etsymbolique qui sont normalement gouvernées par des règles ouvertement ou tacitementacceptées et qui cherchent à inculquer certaines valeurs et normes de comportement parla répétition, ce qui implique automatiquement une continuité avec le passé. En fait, là oùc’est possible, elles tentent normalement d’établir une continuité avec un passéhistorique approprié.

      définition des traditions inventées

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    Annotators

    1. O’Donnell, G. (1978). Apuntes para una teoríadel Estado. Revista Mexicana de Sociología.Vol. 40, Núm. 4: 1157-1199.

      nacion- texto

    2. a OTAN(ya convertida en una alianza expansionista),ingresaron 14 países a la organización: Repú-blica Checa, Hungría y Polonia en 1999; lospaíses bálticos Lituania, Estonia y Letonia,más Bulgaria, Rumanía, Eslovaquia y Eslo-venia en 2004; Croacia y Albania en 2009; yfinalmente Montenegro en 2017

      OTAN- países que se integraron dsp

      contra el pacto de VARSOVIA

    3. El eterno obstáculo de esta tendenciahistórica de los últimos 200 años es Rusia.La zarista, la soviética y, ahora, la eurasianis-ta liderada por Vladimir Putin.

      OBSTACULO contra la busquedad de supremacia del oriente en el occidente

    4. En el caso ucraniano, setrata de un país en donde se hablan idiomasdiferentes (aunque similares), existen ele-mentos culturales diferentes (rusos étnicosfrente a ucranianos étnicos, etcétera), peroque pertenecen una familia cultural comúny que comparten una historia troncal comúnque identifica al Rus de Kiev con el inicio deRusia y de Ucrania

      el caso d e UCRANIA étan NACION

    5. Se identifica con una lengua co-mún, una historia común, ciertos valores yuna identidad común, de lo que se desprendeuna necesidad política común; a la vez que serelaciona con el hecho material de un mer-cado nacional. Sin embargo, estos elementospueden ser atributos de una nación, perono la definen en términos absolutos, sinoque varían según las situaciones

      IMPROTANTE: QUE ES NACION SEGUN EL AUTOR,

      ver ref bibliog

    6. “La nación es elarco de solidaridades que une al “nosotros”definido por la común pertenencia al terri-torio acotado por un Estado” (O’Donnell,1978: 1190).

      el concepto de NACION !!!