L’étude conduite par Kelley montre en effet que la part des connaissances stockées en mémoire et nécessaires à l’action professionnelle est estimée par les travailleurs en diminution constante
L’étude de Kelley appuie l’idée d’une mutation cognitive : on retient moins, on accède plus.
Très pertinente, cette transition pose aussi la question de la fragilité cognitive induite par la dépendance aux outils externes.