45 Matching Annotations
  1. Nov 2024
    1. Si vous arrivez à donner une définition claire, on pourra l’implémenter dans un modèle formel.

      Je suis un peu déçu par ce raccourci qui apparaît aussi en début d'article :

      1. "dans un modèle formel" : en fait dans plusieurs, ou de plusieurs façons. Tu le sous-entends mais c'est important de le dire ;
      2. le modèle formel, malgré toute la bonne volonté du monde et la puissance algorithmique (amen), aura une part d'interprétation, et donc il va se jouer quelque chose dans l'interstice des formules entre le langage et l'implémentation informatique. Je ne dis pas qu'il y aura un décalage, mais que l'implémentation va probablement influencer sur la définition, du fait des contraintes algorithmiques. C'est ce qui est visible dans cet article, et c'est très intéressant.
    2. le mot

      Remplacer "le mot" par "au mot".

    3. Notre

      Coquille, remplacer "notre" par "nos".

  2. Oct 2023
  3. Sep 2022
    1. Le fonctionnement adopté par Hypothesis permet de conserver une annotation et sa localisation même si la page web a changé (c’est-à-dire sa structure HTML).

      Voyons si cela est vrai !

  4. Mar 2021
    1. In today’s digital environment, this question arises in a particular way, and this text could not exist independently of the technological environment in which it emerges.

      Il faudrait définir précisément ce que "technological environment" signifie, et pourquoi pas plutôt "technical environment" par exemple (sans vouloir couper les cheveux en 4) ?

    2. This is the paradox of access.

      Ce "paradoxe de l'accès" pourrait aussi être comparé avec la question de l'accès aux données numériques ? Les données sont produites, stockées, mais sont-elles encore accessibles, compréhensibles (par des machines ou des humains) ou exploitables ?

    3. to demonstrate

      = to perform

  5. Jan 2021
  6. Nov 2020
    1. replay

      Ajouter un lien ici ?

    2. Open Access

      Préférer "libre accès".

    3. en parallèle

      À reformuler : il ne faudrait pas faire croire que ces deux types de modèles existent dans deux mondes parallèles.

    4. adaptant

      Trop d'adaptations dans la même phrase.

    5. ,

      Virgule à supprimer.

    6. vers de l’écriture collective

      Je ne suis pas sûr de la justesse de cette expression, il faudrait préciser qu'il ne s'agit pas d'une écriture collective au sens littéral du terme, mais plutôt d'un processus collectif (impliquant des éditeurs·trices).

    7. un protocole d’écriture ou éditorial

      À reformuler, puisque l'utilisation de Stylo implique un protocole spécifique, mais plus ouvert que d'autres outils comme les traitements de texte.

    8. GAFAM

      Définition ou référence nécessaire:

    9. afin d’enrichir leur offre existante

      Oui, mais peut-être surtout pour vendre plus de livres aussi.

    10. éditorialisation

      Attention à l'utilisation de ce concept, voir par exemple : https://sens-public.org/articles/1184/ À reformuler en "Les innovations éditoriales" ?

    11. L’esprit est à la collaboration, à la mise en commun des idées et des initiatives.

      Il serait pertinent de développer un petit peu plus cette affirmation, avec peut-être des exemples supplémentaires.

    12. Movilab

      Une contextualisation est nécessaire, de quoi s'agit-il ?

    13. ,

      Virgule à supprimer.

    14. devient

      Attention à ne pas généraliser. Par ailleurs le choix de fonctionnement de l'entreprise que sont les PUG n'implique pas forcément un accès ouvert et libre.

    15. l’édition scientifique soit un secteur à but lucratif

      Ce serait plutôt l'inverse. Dans le paysage français une bonne partie des "presses universitaires" sont rattachées à une université et non pas les mêmes obligations de rentabilité qu'une maison d'édition privée.

    16. sous embargo de douze mois

      Il ne s'agit pas du choix de la plateforme mais de l'éditeur ou de la revue. Ainsi certaines revues diffusent directement en libre accès sans commercialisation.

    17. toutes déposées

      Certaines pour le moment, pas toutes.

    18. GIT

      Remplacer par Git (voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Git).

    19. fabriquent

      Préférer "éditent" car il s'agit d'un travail d'édition (qui implique une fabrication).

  7. Oct 2019
    1. la philosophie n’est pas faite pour réfléchir sur n’importe quoi.

      Est-ce que c'est un domaine qui réfléchit à quelque chose (avec son bagage de savoir et de références) ou est-ce que c'est une personne (avec un bagage moins structuré et identifié) ?

  8. Jun 2019
    1. Le processus de transcription implique nécessairement une forme de normalisation, où l’on fait correspondre les différents symboles écrits (glyphes) d’un manuscrit ou d’un document imprimé ancien à un ensemble de caractères modernes.

      Est-ce qu'il ne faudra pas signaler qu'il s'agit aussi parfois (souvent ?) d'une dimension d'interprétation inhérente à toute activité de ce type ? Une transcription n'implique-t-elle pas nécessairement des choix et des décisions de la part du transcripteur (même s'il se base sur des normes) ?

    1. Il est donc possible d’utiliser l’un ou l’autre élément pour effectuer un balisage détaillé de tout type de référence bibliographique.

      Est-il possible d'utiliser les deux en même temps ? C'est-à-dire une description très détaillée et indépendante de la forme, et une description succincte reprenant l'aspect du document original (dans le cas d'une absence de norme bibliographique correspondant).

  9. May 2019
    1. à l’intérieur de notre texte

      Cette pratique est fortement déconseillée en HTML, qu'en est-il en XML TEI ? Est-ce qu'il est important de conserver cette information dans un même fichier ou est-ce qu'il y a un intérêt à la stocker ailleurs (dans une feuille de style) ? Cela ne risque pas d'alourdir fortement le fichier ?

    2. Cet élément n’a pas de sémantique particulière

      Si, il s'agit bien d'une information porteuse de sens : il s'agit d'un passage surligné, donc mis en valeur. De la même façon qu'en HTML il est possible d'indiquer un passage en emphase avec la balise <em> (et non <i> qui signifie italique), et ensuite il est possible de définir cette emphase comme étant en italique (il s'agit alors du rendu graphique). C'est un point que je trouve important.

    3. dans un document TEI

      Le "dans" porte à confusion : le principe d'une feuille de style est d'accompagner un document structuré, et non d'être incorporée à celui-ci. Il y a ainsi une distinction très nette entre la structure et la mise en forme. (Même s'il est possible de styler un document HTML directement dans le HTML, c'est absolument déconseillé.)

    4. C’est un des multiples aspects qui distinguent la TEI des systèmes généralement utilisés pour le traitement de texte, comme nous l’avons noté plus haut.

      Comme d'autres langages de balisage, sémantiques par défaut : HTML, mais aussi Markdown ou AsciiDoc. Remarque qui prolonge cette annotation dans le chapitre précédent.

    5. Les utilisateurs d’XML (et avant cela de SGML) ont essayé depuis des décennies de trouver de meilleures façons de représenter les structures textuelles sans être bloqués par cette contrainte, et nous n’entrerons pas ici en plus de détails dans la discussion du « problème de chevauchement ».

      À défaut d'explorer ce problème (que j'avoue découvrir et qui me semble facilement contournable, mais je suis conscient de ma naïveté) est-ce qu'une référence pourrait être ajoutée ici ?

    1. nous ajoutons donc à la date encodée une valeur normalisée

      À la lecture de ce passage je me pose une question : les métadonnées habituellement identifiées et indiquées à côté du document qui les concerne (notice bibliographique par exemple) peuvent être intégrées dans le document avec la TEI, est-ce que cela ne fait pas doublon ? Est-ce qu'il sera plus difficile de les exploiter si elles ne sont disponibles que dans le document en XML TEI ?

    2. HTML ou LaTex

      HTML et TeX sont des langages de balisage qui ne comportent pas d'indication de mise en forme (au sens de rendu graphique), même si des feuilles de style sont parfois attribuées par défaut (par exemple dans la plupart des navigateurs un lien sera indiqué en bleu et souligné même s'il n'y a pas de feuille de style). Il me semble que l'on ne peut pas parler de "langage de formatage" pour LaTeX et HTML.

    1. un objet textuel distinct mais complet

      Complet = fini ? délimité ? Dont le contenu ne sera pas modifié ?

    2. mais choisies par l’encodeur

      Est-ce que cela signifie que chaque document encodé en TEI devrait avoir sa propre documentation pour préciser le sens de certains @type ou @xml:id ? De la même façon que du code HTML ou CSS est parfois commenté pour faciliter sa compréhension et son évolution. Peut-être que ce point est évoqué dans une autre partie.

    1. Guidelines

      Peut-être qu'ajouter un lien ici permettrait de se rendre compte de la documentation disponible (et de son ampleur).

    1. un cas particulier parmi les autres efforts de standardisation

      Loin de moi l'idée de lancer un débat sur le XML, mais est-ce qu'il ne faudrait pas évoquer la différence avec d'autres standards comme le HTML, et plus spécifiquement HTML5 qui évolue sans devenir un monstre ? (C'est une vraie question) Voir par exemple : https://www.xml.com/articles/2017/02/20/beyond-xml-making-books-html/

    2. La mauvaise nouvelle est que de telles transformations sont sans cesse nécessaires, qu’elles sont parfois complexes et coûteuses à réaliser, et qu’elles provoquent régulièrement des pertes d’information. Même au sein d’un même style de logiciels, la réelle interopérabilité reste problématique : un document préparé avec un traitement de texte (disons Word) n’aura pas forcément le même aspect lorsqu’on l’ouvre avec un autre (disons Open Office)

      Une référence utile à ce sujet, même s'il ne s'agit pas d'un publication scientifique : https://ia.net/topics/multichannel-text-processing

    3. un traitement de texte classique

      J'irais plus loin : les traitements de texte classiques entretiennent une confusion entre structure (sémantique) et mise en forme (rendu graphique), même s'il serait trop long d'expliquer les raisons (UI, UX, culture numérique).

    4. La deuxième est que le XML TEI est indépendant de tout environnement logiciel particulier.

      Je pinaille mais il ne faudrait pas laisser penser qu'aucun logiciel spécifique n'est nécessaire pour lire ou produire des fichiers XML TEI.