22 Matching Annotations
  1. Mar 2024
    1. l’héliocentrisme copernicien.

      mais infini < héliocentrisme Copernic

    2. “L’argument des deux infinis chez Pascal et chez La Bruyère”, in Les Pensées de Pascal ont trois cents ans, p. 82 : le lecteur de Pascal en 1670 ne pouvait pas se tromper sur l’objet du texte ; « il n’y cherchait pas une description objective des deux infinis, ni une réflexion objective sur la disproportion de l’homme et les limites de sa connaissance, mais une méditation proprement religieuse.

      pas astronome mais méditation religieuse

    3. Pascal n’écrit pas un traité d’astronomie, mais un texte censé amener une méditation dans un processus de conversion

      pas astronomie (pas cohérent) mais métaphysique

    4. Pascal ne recherche pas le pittoresque dans son évocation

      pas de pittoresque. pas apologiste. mais vertige

    5. Lanavère Alain, “L’argument des deux infinis chez Pascal et chez La Bruyère”, p. 83. Le développement sur l’infini de grandeur est très fortement structur

      structure

    6. dans ce passage, la démarche de Pascal est fondamentalement et délibérément anthropocentrique : c’est de l’expérience humaine des deux infinis qu’il témoigne, c’est-à-dire de ce pouvoir qu’a l’homme, non certes d’embrasser l’infini, mais au contraire de concevoir toujours du plus grand ou du plus petit, sans rencontrer jamais une limite à ce pouvoir

      ici: question du pouvoir de l'homme à concevoir par l'imagination, les infinis potentiels..

    7. L’infini potentiel ou virtuel ne doit être dit infini que relativement à la dimension de l’homme

      infini réel / infini potentiel... : relativement à l'homme.

    8. absence de rapport, qui interdit d’engendrer une grandeur par l’accroissement continuel d’une autre, et inversement, impossibilité de passer à l’ordre de grandeur inférieur par division continue.

      disproportion: absence de rapport.. par accroissement / par division..

    9. disproportion

      mathématique et pas psychologique

  2. May 2023
  3. Apr 2022
    1. catabase

      Est-ce que vous pensez qu'il est utile de préciser que le terme est ici employé en un sens assez large? Car au sens précis de la tradition littéraire, le motif concerne une descente provisoire aux Enfers, traversés par le héros épique... qui en ressort. (comme une étape d'une initiation). Dans l'épigramme, c'est bien la descente définitive de Diogène aux Enfers. Mais après tout je n'en suis pas sûr...

    2. concepts littéraires

      Y a-t-il d'autres exemples de ces concepts littéraires, qui sont ou seront soumis à cette expérimentation numérique?

    3. formation technique et l’acquisition de compétences nouvelles par l’équipe de chercheur·e·s

      Je me demande comment, concrètement, s'est faite cette formation technique des chercheurs ? Certains d'entre eux étaient-ils totalement novices en la matière? [ce n'est sans doute pas une question à développer dans votre texte, mais elle m'intéresse]

    4. élèves de lycées classiques italiens

      Je trouve cette implication d'élèves du secondaire, passionnante. Et je me demande dans quelle mesure ils ont aussi alimenté, à partir de tel ou tel fragments, le réseau associatif de topoi¨? en suggérant des références dans des corpus et supports contemporains? Car ce principe de l'"association libre" sur la base du topos est sans doute un outil particulièrement stimulant et efficace pour impliquer de larges publics - avec cette idée que tout un chacun, parce qu'il partage l'imaginaire contemporain et ses recyclages, peut trouver des échos avec un texte du corpus ancien.

    5. amateur

      Sait-on quel type de lectorat fréquentait, avant le projet de cette plateforme, les éditions papier de l'Anthologie? excède-t-il le milieu universitaire? Y a-t-il déjà un "public curieux" qui fréquente cette anthologie? Peut-être qu'on pourrait rappeler quelques éléments sur la réception, la lecture de cette anthologie à l'époque contemporaine, pour mieux dégager dans quelle mesure l'édition numérique peut ouvrir à un nouveau lectorat / ou donner à un lectorat déjà existant de nouvelles possibilités. Ma question n'est peut-être pas pertinente. Mais je la pose parce que je compare ce type d'édition véritablement participative (ouverte, qui donc crée un public en même temps qu'elle rend disponible un texte) à d'autres projets (comme LEDOUX) qui n'ont pas cette dimension (ce qui n'empêche pas de s'interroger sur la nature du futur lectorat). Autre question: est-ce que le public impliqué dans l'interactivité de cette édition, puisqu'il est "visible", fait ou va faire l'objet d'un recensement, de statistiques? ou plutôt d'une réflexion? est-ce que c'est une dimension du projet?

    6. associations libres

      Ce que je trouve intéressant ici, c'est que le processus d'"association libre", qui peut bien sûr s'envisager dans bien des contextes, désigne d'abord, dans notre histoire culturelle, le principe fondamental de la cure psychanalytique, notamment telle que Freud l'avait théorisée dès les Etudes sur l'hystérie. Au-delà de la référence freudienne sur laquelle s'appuie en partie l'analyse du palimpseste dans le projet (la « Note sur le bloc magique » qui vous permet une analogie entre le fonctionnement du texte et le fonctionnement de l'esprit humain), est-ce que la référence au paradigme analytique peut apporter un éclairage sur le type d'investissement du lecteur qui est ici encouragé par le projet? Il y a quelque chose du "dites tout ce qui vous passe par l'esprit" de Freud, dans le dispositif du projet, encadré (mais c'est intéressant justement) par la nécessité d'une cohérence thématique autour d'un topos.

    7. un modèle éditorial qui parvienne à retranscrire cette caractéristique

      Sans avoir d'expérience dans ce domaine de l'édition numérique, je me rends compte que ces multiples solutions éditoriales participatives d'oeuvres littéraires peuvent, d'une façon ou d'une autre, donner une expression (une "documentatiration"?) de la complexité et de l'ouverture, de l'ambiguïté, inhérente à tout phénomène de signification littéraire. Bref, rendre d'une certaine façon visible et tangible ce qui relevait peut-être du for intérieur de chaque lecteur...

    8. un espace ouvert

      D'une manière générale, il pourrait être intéressant de placer cette réflexion sur l'ouverture (des sens, des interprétations...) propres à la forme anthologique (et a fortiori à 'l'anthologie grecque), dans la perspective des grandes études critiques autour de la question de la réception de l'oeuvre littéraire, et sur la façon dont le lecteur crée la signification et participe au sens - car finalement aucune oeuvre n'est close. Je pense par exemple à l'Oeuvre ouverte d'Umberto Eco. Ou d'autres travaux.

    9. officielles

      Serait-il utile de préciser ici sur quel critère on distingue les expressions artistiques officielles / non officielles?

  4. Sep 2020
    1. Ledoux sur le rôle de l’architecture dans la société, tant de l’Ancien Régime que pour la nouvelle République – toute une conception politique et sociale de l’architecture qui entretient de nombreux échos avec les enjeux contemporains.

      Essai d'annotation

  5. Feb 2020