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  1. Dec 2025
    1. Lorsque les différentes parties impliquées se sont entendues sur les propositions technique et graphique, le calendrier et le budget, le travail de développement peut commencer.

      Le contrat s'avère hyper important dans cette situation, notamment pour les points de vue légales du projet et de l'engagement des partie prenantes.

    2. À l’issue de ces choix, un calendrier est préétabli, planifiant les phases successives de la réalisation du projet : habillage graphique, développement et intégration technique, saisie des contenus, mise en ligne, sans oublier les tests et les étapes de validation.

      Exactement et par la même occasion, planifier des rencontres hebdomadaires ou plus au besoin pour faire le point sur ce que chacun à fait et de pouvoir mieux ajuster le travail.

    3. L’élaboration de la charte graphique est, de plus en plus, intimement liée à un travail réalisé sur l’ergonomie dont la visée est d’optimiser l’expérience utilisateur en rendant l’interface intuitive et simple d’utilisation.

      Je pense aussi que la charte graphique et l'ergonomie sont deux choses distinctes. La charte graphique correspond à l'aspect graphique du site : les couleurs, les polices, pictogrammes, illustrations alors que l'ergonomie correspond au système de navigation. Ainsi il peut être intuitif et simple d'utiliser un site sans que pour autant il soit esthétique et inversement, un site visuellement réussis mais pour lequel on s'y perd.

    4. Il y décrit le futur front office, soit le site tel qu’il apparaîtra en ligne à l’internaute (graphisme, arborescence, etc.), et le back office, l’outil d’administration qui sera utilisé par l’équipe éditoriale pour alimenter et mettre à jour le site.

      Autrement dit le backend et le frontend

    5. Ils pourront ensuite être ajustés, au fur et à mesure, en fonction des retours, de l’expérience et des analyses statistiques.

      Il est important d'observer les pratiques des utilisateurs, connaître leurs habitudes de consommation pour ainsi enrichir l'expérience et la navigation du site. On peut faire des tests utilisateurs pour ça.

    1. C’est ce que l’on appelle l’interopérabilité. Et, surtout, cela encourage la collaboration.

      En effet, d'où l'idée de base du NIST de mettre en place des standards de format pour que les livres puissent être lus avec plusieurs modèles de liseuse.

    2. Une troisième fonction fondamentale des documents ePub est la possibilité d’associer des annotations au contenu d’un livrel.

      Comme hypothesis et la plupart des logiciels de traitements de texte ou de lecteur de fichier.

    3. Il est possible de faire valider un fichier réalisé suivant l’une ou l’autre des versions de la norme recommandée par le consortium.

      Effectivement, il existe des ressources en ligne (site web, application) qui permettent de vérifier si le fichier ePub est valide et qu'il va pouvoir s'ouvrir correctement.

    4. Le principe du « bien formé » qui préside à la construction des documents structurés fondés sur XML suppose qu’il ne doit y avoir qu’un seul élément racine dans lequel tous les autres s’emboîtent. Un document XML est nécessairement du même type que son élément racine (<html> dans le cas des pages web).

      Il me semble aussi que les fichiers HTML qui constituent le ePub doivent avoir une syntaxe plus rigoureuse que ce que permet HTML 5, c'est-à-dire qu'il faut que ça respect impérativement les standards de balisage de XML comme le fait de devoir tout le temps fermer les balises ouvertes.

    5. L’ePub est basé sur les mêmes langages de balisage que ceux employés pour la réalisation de sites web : il s’agit de fichiers HTMLVoir aussi « Les formats » par Viviane Boulétreau et Benoît Habert.↩︎. C’est donc un format permettant de faire des livres numériques ayant à la fois les caractéristiques du livre papier et les caractéristiques d’un site webLes logiciels les plus utilisés pour la création et la gestion des fichiers ePub sont Sigil et Calibre, tous deux open source. Les éditeurs utilisent également des logiciels de mise en page professionnelle (tel que Adobe Indesign) qui intègrent désormais des fonctionnalités de création de fichiers ePub.↩︎.

      Je trouve ça intéressant. Cela veut dire que le ePub est non seulement adapté pour les formats de fichier de livre numérique mais aussi pour leurs soumissions sur le web.

    6. Le premier, et le plus répandu, est le livrel « homothétique », qui est une transposition à l’identique d’un livre papier en version numérique.

      Le ePub du coup serait un livre homothétique puisqu'il reprend exactement la même structure que les livres papiers mais au format numérique à moins qu'on puisse mettre des liens ou des vidéos, je ne sais pas.

    1. RDF repose sur la structure logique de prédicat , ou triplet, une sorte de phrase de grammaire simple : sujet, verbe, complément. Par exemple : Victor Hugo est l’auteur des Misérables, où le Sujet = « Victor Hugo » ; le Prédicat = « est auteur de » et l’Objet = « Les Misérables ».

      Oui, en fait RDF est une structure de métadonnées si je ne me trompe pas.

    2. Chaque secteur d’activité, de service, de négoce, chaque base de données développe des systèmes hétérogènes de métadonnées.

      Oui, c'est comme les différentes normes de structuration des métadonnées comme le Dublin Core ou le Data Documentation Initiative.

    3. Par exemple, l’affranchissement de l’information économique numérique devient le vecteur de la mondialisation des échanges, dérégulant de nombreux domaines protégés ou contrôlés.

      Oui. C’est certain que, lorsqu’on pense à la mondialisation, on évoque surtout la révolution des transports — porte-conteneurs, avions, etc. — mais Internet et le Web jouent un rôle tout aussi essentiel.

    1. Les données des institutions, les données du monde deviennent, à leur tour, des lieux de lecture-écriture en s’inscrivant dans le web.

      Si je ne me trompe pas, c'est comme l'initiative de Google de rendre le plus de documents possibles disponibles sur le web. Google avait fait, par exemple, des partenariats avec des bibliothèques pour numériser des livres et les publier en ligne.

    2. . Parmi ces espaces d’activités collectives, il faut noter l’importance des jeux comme World of Warcraft

      Le web n'est pas seulement un lieu pour lire des documents à distance ou pour écrire, mais aussi comme un moyen d'avoir des connexions sociales : on peut faire des rencontres sur les jeu-vidéos, sur les réseaux sociaux, sur le web et construire de réels amitiés.

    3. Toutefois, Enquire ne permet de mettre en relation des documents par liens bidirectionnels qu’entre des documents appartenant à un même espace de gestion de fichiers, et souvent en pratique sur le même ordinateur.

      Puisque l'idée du web était de pouvoir accéder à des fichiers présents sur d'autres ordinateurs à travers des adresse uniques et en utilisant l'infrastructure d'internet pour y accéder.

    4. l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN)En savoir plus sur l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN).↩︎

      L'ICANN s'occupe aussi d'attribuer les adresses IP à l'ensemble d'Internet en IPv4 ou IPv6 et d'assurer leurs fonctionnements.

    5. installé par la personne à partir d’éléments très simples à assembler, s’impose.

      Est-ce que cela signifie aussi que les utilisateurs peuvent assembler eux-même leurs PC avec des pièces qu'ils peuvent acheter séparément ou plutôt la facilité d'utiliser l'ordinateur en branchant un clavier, une souris et le cable d'alimentation et évidemment que c'est OpenSource et qu'on peut développer des logiciels.

    6. le web, l’ensemble des documents formatés en HTML accessibles avec un navigateur via le protocole HTTP.

      Il me semble que les serveurs web possèdent plusieurs ports, dont le port 80 qui utilise le protocole HTTP. Le port 80 permet aux utilisateurs d'accéder au fichier html mais il en existe d'autres. Les autres ports n'utilisent pas le protocole HTTP, comme le port 443, qui est très similaire au port 80 et qui utilise le protocole HTTPS (un peu près la même chose que le HTTP). Mais bon, de toute évidence, ces deux ports représentent le web puisque les autre ne sont pas vraiment utiliser par les utilisateurs et servent à d'autres fonctions.

    1. Le risque du numérique est ce qu’on pourrait appeler un « déterminisme technologique » : nos pratiques et notre façon de penser pourraient finir par être déterminées par les outils.

      Mais il y a aussi l'inverse : les utilisateurs influencent la conception d'outils technologiques. Si certains concepteurs écoutent leurs internautes et prennent en compte les habitudes de consommation, cela agit dans la manière dont ces technologies sont crées.

    2. C’est dans cet article que Ted Nelson utilise pour la première fois le mot et le concept d’hypertexteLe mot hypertexte, utilisé pour la première fois en 1965 par Ted Nelson, fait référence à un texte augmenté avec des hyperliens. Au lieu d’avoir une seule dimension, et une seule direction de lecture (du début à la fin), l’hypertexte a aussi une profondeur (les liens) qui permet plusieurs lectures différentes. ↩︎, structure qui sera une des idées utilisées par Tim Berners-Lee pour concevoir le web.

      C’est fou de penser que les hypertextes — ces liens qui constituent le fonctionnement de base du web — avaient été imaginés près de 80 ans plus tôt. Comme quoi, les grandes inventions ne naissent jamais d’une seule personne. Tim Berners-Lee a posé les bases du web, mais il s’est inspiré de Ted Nelson, qui lui-même s’était inspiré de Vannevar Bush.