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  1. Last 7 days
    1. C’est ce que l’on appelle l’interopérabilité. Et, surtout, cela encourage la collaboration.

      En effet, d'où l'idée de base du NIST de mettre en place des standards de format pour que les livres puissent être lus avec plusieurs modèles de liseuse.

    2. Une troisième fonction fondamentale des documents ePub est la possibilité d’associer des annotations au contenu d’un livrel.

      Comme hypothesis et la plupart des logiciels de traitements de texte ou de lecteur de fichier.

    3. Il est possible de faire valider un fichier réalisé suivant l’une ou l’autre des versions de la norme recommandée par le consortium.

      Effectivement, il existe des ressources en ligne (site web, application) qui permettent de vérifier si le fichier ePub est valide et qu'il va pouvoir s'ouvrir correctement.

    4. Le principe du « bien formé » qui préside à la construction des documents structurés fondés sur XML suppose qu’il ne doit y avoir qu’un seul élément racine dans lequel tous les autres s’emboîtent. Un document XML est nécessairement du même type que son élément racine (<html> dans le cas des pages web).

      Il me semble aussi que les fichiers HTML qui constituent le ePub doivent avoir une syntaxe plus rigoureuse que ce que permet HTML 5, c'est-à-dire qu'il faut que ça respect impérativement les standards de balisage de XML comme le fait de devoir tout le temps fermer les balises ouvertes.

    5. L’ePub est basé sur les mêmes langages de balisage que ceux employés pour la réalisation de sites web : il s’agit de fichiers HTMLVoir aussi « Les formats » par Viviane Boulétreau et Benoît Habert.↩︎. C’est donc un format permettant de faire des livres numériques ayant à la fois les caractéristiques du livre papier et les caractéristiques d’un site webLes logiciels les plus utilisés pour la création et la gestion des fichiers ePub sont Sigil et Calibre, tous deux open source. Les éditeurs utilisent également des logiciels de mise en page professionnelle (tel que Adobe Indesign) qui intègrent désormais des fonctionnalités de création de fichiers ePub.↩︎.

      Je trouve ça intéressant. Cela veut dire que le ePub est non seulement adapté pour les formats de fichier de livre numérique mais aussi pour leurs soumissions sur le web.

    6. Le premier, et le plus répandu, est le livrel « homothétique », qui est une transposition à l’identique d’un livre papier en version numérique.

      Le ePub du coup serait un livre homothétique puisqu'il reprend exactement la même structure que les livres papiers mais au format numérique à moins qu'on puisse mettre des liens ou des vidéos, je ne sais pas.

    1. RDF repose sur la structure logique de prédicat , ou triplet, une sorte de phrase de grammaire simple : sujet, verbe, complément. Par exemple : Victor Hugo est l’auteur des Misérables, où le Sujet = « Victor Hugo » ; le Prédicat = « est auteur de » et l’Objet = « Les Misérables ».

      Oui, en fait RDF est une structure de métadonnées si je ne me trompe pas.

    2. Chaque secteur d’activité, de service, de négoce, chaque base de données développe des systèmes hétérogènes de métadonnées.

      Oui, c'est comme les différentes normes de structuration des métadonnées comme le Dublin Core ou le Data Documentation Initiative.

    3. Par exemple, l’affranchissement de l’information économique numérique devient le vecteur de la mondialisation des échanges, dérégulant de nombreux domaines protégés ou contrôlés.

      Oui. C’est certain que, lorsqu’on pense à la mondialisation, on évoque surtout la révolution des transports — porte-conteneurs, avions, etc. — mais Internet et le Web jouent un rôle tout aussi essentiel.

    1. Les données des institutions, les données du monde deviennent, à leur tour, des lieux de lecture-écriture en s’inscrivant dans le web.

      Si je ne me trompe pas, c'est comme l'initiative de Google de rendre le plus de documents possibles disponibles sur le web. Google avait fait, par exemple, des partenariats avec des bibliothèques pour numériser des livres et les publier en ligne.

    2. . Parmi ces espaces d’activités collectives, il faut noter l’importance des jeux comme World of Warcraft

      Le web n'est pas seulement un lieu pour lire des documents à distance ou pour écrire, mais aussi comme un moyen d'avoir des connexions sociales : on peut faire des rencontres sur les jeu-vidéos, sur les réseaux sociaux, sur le web et construire de réels amitiés.

    3. Toutefois, Enquire ne permet de mettre en relation des documents par liens bidirectionnels qu’entre des documents appartenant à un même espace de gestion de fichiers, et souvent en pratique sur le même ordinateur.

      Puisque l'idée du web était de pouvoir accéder à des fichiers présents sur d'autres ordinateurs à travers des adresse uniques et en utilisant l'infrastructure d'internet pour y accéder.

    4. l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN)En savoir plus sur l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN).↩︎

      L'ICANN s'occupe aussi d'attribuer les adresses IP à l'ensemble d'Internet en IPv4 ou IPv6 et d'assurer leurs fonctionnements.

    5. installé par la personne à partir d’éléments très simples à assembler, s’impose.

      Est-ce que cela signifie aussi que les utilisateurs peuvent assembler eux-même leurs PC avec des pièces qu'ils peuvent acheter séparément ou plutôt la facilité d'utiliser l'ordinateur en branchant un clavier, une souris et le cable d'alimentation et évidemment que c'est OpenSource et qu'on peut développer des logiciels.

    6. le web, l’ensemble des documents formatés en HTML accessibles avec un navigateur via le protocole HTTP.

      Il me semble que les serveurs web possèdent plusieurs ports, dont le port 80 qui utilise le protocole HTTP. Le port 80 permet aux utilisateurs d'accéder au fichier html mais il en existe d'autres. Les autres ports n'utilisent pas le protocole HTTP, comme le port 443, qui est très similaire au port 80 et qui utilise le protocole HTTPS (un peu près la même chose que le HTTP). Mais bon, de toute évidence, ces deux ports représentent le web puisque les autre ne sont pas vraiment utiliser par les utilisateurs et servent à d'autres fonctions.

    1. Le risque du numérique est ce qu’on pourrait appeler un « déterminisme technologique » : nos pratiques et notre façon de penser pourraient finir par être déterminées par les outils.

      Mais il y a aussi l'inverse : les utilisateurs influencent la conception d'outils technologiques. Si certains concepteurs écoutent leurs internautes et prennent en compte les habitudes de consommation, cela agit dans la manière dont ces technologies sont crées.

    2. C’est dans cet article que Ted Nelson utilise pour la première fois le mot et le concept d’hypertexteLe mot hypertexte, utilisé pour la première fois en 1965 par Ted Nelson, fait référence à un texte augmenté avec des hyperliens. Au lieu d’avoir une seule dimension, et une seule direction de lecture (du début à la fin), l’hypertexte a aussi une profondeur (les liens) qui permet plusieurs lectures différentes. ↩︎, structure qui sera une des idées utilisées par Tim Berners-Lee pour concevoir le web.

      C’est fou de penser que les hypertextes — ces liens qui constituent le fonctionnement de base du web — avaient été imaginés près de 80 ans plus tôt. Comme quoi, les grandes inventions ne naissent jamais d’une seule personne. Tim Berners-Lee a posé les bases du web, mais il s’est inspiré de Ted Nelson, qui lui-même s’était inspiré de Vannevar Bush.