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  1. Apr 2024
    1. Télétravail : entre le salon et la cuisine, n’oubliez pas de mettre votre smartphone en mode avion

      Le titre met déjà en évidence le thème de l'article qui est la fragilité des frontières personnelles/professionnelles du télétravail. On peut aussi émettre l'hypothèse que l'auteur s'adresse directement aux lecteurs probablement concernés par cette situation (les télétravailleurs) en utilisant le pronom "vous" dans la phrase : "n'oubliez pas de mettre votre smartphone en mode avion".

    2. La loi n° 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels (JO du 9 août 2016), instaure à compter du 1er janvier 2017 (art. 55) un droit à la déconnexion pour tous les salariés ainsi qu’une concertation relative au télétravail (art. 57).

      L'auteur appuie son argumentation sur l'aspect juridique du télétravail. C'est un argument épistémique comme les lois font partis des connaissances de notre société et qui ne sont pas remises en question.

  2. Mar 2021
    1. 19Partie I – Un outil inclusif, qui fait office d’amortisseur économique19salariés se sont déclarés en télétravail

      voici le texte dont le chiffre de 25% est tiré:

      Fin avril, un cinquième des salariés est au chômage partiel complet (en diminution par rapport à fin mars), un quart en télétravail (inchangé par rapport à fin mars), et un tiers travaille sur site ou sur chantiers (en progression par rapport à fin mars). Les autres sont en arrêts maladie (y compris garde d'enfant liée à la fermeture des écoles, 10 % après 13 % fin mars) ou en congés (10 %, après 9 %). Les salariés ayant exercé leur droit de retrait demeurent très minoritaires (moins de 1 %). Certains salariés au chômage partiel n’y sont pas à temps complet, ou tout le mois. La part des salariés ayant été au chômage partiel (complet ou non) au cours d’avril est ainsi bien plus élevée (cf. encadré).

      Les chiffres, obtenus à partir d'une publication plus récente:

      • 202004 1 25,3
      • 202005 1 24,9
      • 202006 1 22,4
      • 202007 1 15,9
      • 202008 1 10,5
      • 202009 1 9,9
      • 202010 1 12,2
      • 202011 1 15
      • 202012 1 22,1
      • 202101 1 17,8
      • 202102 1 21,2
  3. Feb 2021
  4. Dec 2020
  5. Apr 2020
    1. Le télétravailleur doit donc avoir les moyens de répartir son temps entre les diverses tâches qu’il a à accomplir dans le cadre de son travail et sa vie personnelle.

      C'est l'entreprise qui doit fournir au salarié les moyens pour accomplir sa tache. Charge à lui de s'organiser L'auteure n'est pas favorable au télétravail

    2. Ces collaborateurs peuvent subir un stress « technologique » liés à la relation à distance et aux outils numériques mis à la disposition pour l’entreprise. Le télétravailleur est isolé et la solitude engendrée peut dans des cas extrêmes provoquer un sentiment d’exclusion et un stress.

      L'auteure ne considère pas le télétravail comme une solution:

      Argument 1:stress techno vis à vis des outils du télétravail Argument 2: Isolement du salarié

    3. « Le télétravail est une forme d’organisation et/ou de réalisation du travail, utilisant les technologies de l’information, dans le cadre d’un contrat de travail et dans laquelle un travail, qui aurait également pu être réalisé dans les locaux de l’employeur, est effectué hors de ces locaux de façon régulière ».

      Définition

    4. Télétravail et burn-out

      Titre neutre. L'auteure va interroger les liens entre le travail à distance et le burn-out

  6. Mar 2020
    1. Télétravail et burn-out

      titre à première vue simple, mais qui cache la relation de cause à effet entre le télétravail et le burn-out.

    2. Télétravail et burn-out

      Nous avons là un titre simple, mais en apparence seulement. Car la liaison grammaticale établie entre les deux termes "télétravail" et "burn-out" dit déjà que l'auteure fait l'hypothèse d'une causalité, ou au moins d'une corrélation, entre ces deux notions. En l'occurrence, le télétravail pourrait conduire au burn-out. C'est la position que va ensuite défendre l'auteure.

      Précisons d'ailleurs que, dans le corps de l'article, l'auteure aborde d'abord la question du burn-out, puis seulement celle du télétravail. On pouvait donc s'attendre à ce qu'elle intitule son article "Burn-out et télétravail". L'inversion des termes me semble dès lors très significative de la direction de la corrélation.

      En bref : on a, dans ces deux mots et leur liaison, tout l'article en résumé. Le télétravail n'est pas une réponse satisfaisante au burn-out mais, au contraire, le télétravail peut mener au burn-out là où il est censé le soigner.