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  1. Mar 2024
  2. Dec 2022
    1. In Algeria, Mo-rocco, and the eastern USA, acorn oil has been used forcooking and as a salve for burns and injuries [1]. In Jordan,acorns have been traditionally used either as food directly oras an ingredient in products such as bread production [2]. InEurope, acorns are usually used as a feed source for free-ranging wild animals, especially the Iberian pigs [3],

      [1] D. Bainbridge, Acorns as Food: Oak Bibliography #1, pp. 22-23, Sierra Nature Prints, Twain Harte, CA, USA, 1985.

      [2] W. M. Al-Rousan, R. Y. Ajo, K. M. Al-Ismail, A. Attlee, R. R. Shaker, and T. M. Osaili, “Characterization of acorn fruit oils extracted from selected Mediterranean Quercus species,” Grasas y Aceites, vol. 64, no. 5, pp. 554–560, 2013.

      [3] E. Cantos, J. C. Esp ́ın, C. L ́opez-Bote, L. de la Hoz, J. A. Ord ́oñez, and F. A. Tom ́as-Barber ́an, “Phenolic com- pounds and fatty acids from acorns (Quercus.spp.), the main dietary constituent of free-ranged Iberian pigs,” Journal of Agricultural and Food Chemistry, vol. 51, no. 21, pp. 6248– 6255, 2003

  3. Jun 2019
    1. En réalité, ce que veulent les gens c’est consommer du déplacement : partir loin et vite, et ça ne peut se faire qu’en avion. C’est là où en fait collectivement on peut se demander ce qui nous semble fondamental. Si tu convertis l’interdiction de l’avion en interdiction de se déplacer, ça pose problème aux gens et c’est compréhensible. En plus, dans une société de déclin où on veut éviter les conflits, avoir du brassage culturel c’est super important. Mais continuer à aller loin ne veut pas dire forcément prendre l’avion. Consommer du déplacement ce n’est pas quelque chose de kiffant en soi. Par contre, voyager, oui, c’est intéressant. Mais aujourd’hui on ne voyage jamais : on ne prend pas le temps. Changer ça, ça suppose de repenser notre organisation collective. Quand tu as deux, trois semaines de vacances, tu ne peux que consommer du déplacement. Si on veut voyager sans prendre l’avion, ça veut simplement dire qu’il faut aussi qu’on revoie notre rapport au travail, ou plutôt à l’asservissement par le travail.