Il est ainsi probable que nous ne soyons pas forcément vigilants et tatillons sur la crédibilité d’un contenu informationnel car ce qui compte pour nous est d’un tout autre ordre : faire rire nos meilleurs amis ; provoquer notre belle-mère ; ou encore montrer à notre collègue – celui qui sait toujours tout sur tout – que cette fois-ci c’est nous qui avons raison.
L'auteure pose sa problématique : Pourquoi est-il nécessaire de contextualiser les chiffres provenant du partages des "fake news" ? Quels sont les facteurs favorisant le partage de ces fausses informations ?