Le professeur Bronner utilise un premier argument de l'ordre du domaine épistémique. Il explique de façon "absurde" mais "pertinente" la façon de penser et d'interagir ou non, des conspirationnistes et des complotistes, vis a vis des informations. Il propose alors une comparaison à titre d'exemple pour que tout le monde soit au même niveau de compréhension par rapport à la suite de l'article. Ce qui permet d'un autre coté de dédramatiser le sujet.
De part l'exemple, absurde, qui a tendance à faire sourire le lecteur, le but et de susciter une émotion chez le lecteur. Il influe donc sur le pathos.
Dans un second temps, il fait une généralité en partant d'un fait particulier, il s'agit d'un raisonnement inductif. Il part du principe que les complotistes et conspirationniste pensent tous pareil et de façon générale "l'ensemble des théories du complot".