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  1. Nov 2019
    1. L’objectif est de présenter le wiki comme étant un outil de gestion propice aux recherches dans ce domaine et que celui-ci aide à l’établissement d’une harmonie dans le travail d’équipe.

      bonne synthèse

    2. Depuis l’avènement du Web 2.0, les utilisateurs sont sollicités à participer sur des plateformes dans l’idée de collaborer dans la création de contenu. Que ce soit à des fins personnelles ou à des fins saventes, les plateformes de collaboration permettent un partage d’informations et de connaissances parmi les individus d’une ou de plusieurs communautés virtuelles (Marcotte 2009). En se concentrant sur les communautés savantes, plusieurs plateformes d’édition numérique se sont développées pour avoir à disposition des outils prônant la contribution de plusieurs individus. Un de ceux-ci se trouve à être l’utilisation des wikis comme plateforme d’écriture et d’édition collaborative. Par sa définition la plus simpliste, un wiki est un « site web collaboratif où chaque individu visiteur peut participer à la rédaction du contenu » (« Site Wiki » 2004).

      bonne mise en contexte

    1. Compte-rendu critique du chapitre 6 : « Wiki, boîte à outils ou de Pandore? »

      C'est un compte-rendu (presque) irréprochable, bravo ! Votre édition stylo est parfaite et votre critique est très bien menée grâce à une structuration fluide et une présentation précise des enjeux du chapitre. Bravo pour le travail de référencement bibliographique.

    2. L’importante dichotomie entre l’idée de boîte à outils et celle de Pandore encourage les lecteurs à percevoir comme pertinents et nécessaires les usages du wiki

      très bonne formulation des tensions

    3. Publictionnaire (http://publictionnaire.huma-num.fr/)

      l'hyperlien aurait pu être intégré : voir la documentation de stylo sur les hyperliens (utilisation des crochets suivi des parenthèses pour l'hyperlien)

    4. Le sixième chapitre du collectif Expérimenter les humanités numériques traite de la technologie wiki. Les deux auteurs de « Wiki, boîte à outils ou de Pandore? » sont des maîtres de conférences et des enseignants chercheurs qui s’intéressent au traitement de l’information et au numérique. Dans ce texte, ils présentent le wiki, non pas comme un simple espace d’écriture collaborative, mais comme un outil efficace pour la recherche en sciences humaines et sociales. Chagnoux et Humbert montrent que le wiki peut dépasser les fonctions auxquelles il est habituellement associé et jouer un rôle crucial dans le travail des chercheurs. Les auteurs illustrent leurs propos à l’aide d’exemples, de descriptions des outils du wiki et de témoignages de membres du projet Publictionnaire.

      très bonne contextualisation de l'ouvrage et des auteurs

    1. Compte Rendu critique

      L'export a été bloqué par l'absence de la langue renseignée pour les mots-clefs et le résumé, en plus des deux références wikipédia qui n'étaient pas correctement renseignées dans le module biblographie. Ce sont des éléments qui ont bloqué l'export mais votre édition stylo est bonne. Je remarque votre effort d'avoir cependant travaillé un format pdf final, même si ce dernier n'a pas été généré à partir de Stylo.

      Il manque les espaces insécables qui permettent d'éviter les orphelines.

      Votre synthèse est bonne bien que redondante. La partie des objectifs correspond davantage dans son propos à une partie de discussion critique de l'article.

      Votre compte rendu comporte donc quelques problèmes de structure et d'expression, mais cela reste un travail tout à fait sérieux où vous vous êtes approprié l'édition stylo (malgré le problème d'export).

      Bon travail !

    2. Pour finir l’objectif est également de faire comprendre que l’édition numérique n’est que le produit d’une évolution culturelle et que sans le développement des téléphonnes, des ordinateurs, du web et d’Internet, l’édition numérique et électronique ne serait pas ce qu’elle est. Ce texte permet de mieux comprendre et mieux réaliser certains faits et la corrélation entre différents secteurs et évolutions au sein de la société. Un texte est toujours le reflet d’une époque.

      Ceci est votre conclusion et elle est très bonne

    3. L’objectif est également d’expliquer en quoi constitue cette nouvelle notion d’édition électronique, en expliquant point par point les trois principales dimensions de ce processus. Il est important d’expliquer cette notion car en compraraison aux méthodes d’éditions précédentes non numériques, elle vient se situer à la fois en continuité ainsi qu’en rupture de celles-ci. L’objectif de cet article est aussi de clarifier l’opinion publique et l’inquiétude que cette évolution a suscité quant aux différents rôles qui se voyaient émancipés dans ce processus numérique, Marin Daco et Pierre Mounier l’expliquent dans leur article en disant : […] on en effet pu laisser penser à une évolution rendant obsolète toute position intermédiaire entre le producteur (auteur) et le consommateur (lecteur). […] Plutôt qu’à une disparition de la position éditoriale, c’est à sa transformation qu’il faut penser. L’objectif est donc d’informer de la manière la plus objective possible et complète, la société, les lecteurs, les auteurs et les éditeurs quant à ce que représente l’édition électronique et ses nombreux et importants enjeux. L’objectif est également d’instruire la société quant à la révolution majeure de la notion de l’accessibilité et de la diffusion du savoir qu’occasionne l’édition électronique diffusée par le web sur Internet. C’est un rapport tout au autre au savoir qu’elle propose, ainsi qu’elle offre également cette notion de collaboration qui n’était guère possible avant.

      Cette partie aurait été placée dans la partie synthèse pour bien présenter les enjeux de leurs recherches.

    4. Bien que la lecture de cet article soit particulièrement accessible, elle sous entend tout de même un langage professionel et avancé, qui relève de la connaissance, non négligeables

      ce point est un aspect qui aurait pu alimenter davantage votre critique

    5. forcément une tentative d’explication de cette ère du numérique ainsi qu’une glorification de ses vertus et capacités qui sont réels.

      ce choix peut certes sembler cohérent mais il n'est pas systématique chez les chercheurs en numérique.

    6. transformation de la position éditoriale et ne correspondrait donc pas à une mesure drastique de disparition et d’émancipation de ce rôle dans la chaine de production d’une œuvre littéraire. L’édition électronique est une révoltion certe, mais à quel prix ? Telle est la réponse que cet article tend à résoudre.

      bonne utilisation du markdown dans le stylo

    7. Des enjeux tels que les conséquences de la massifications des usages de technologies numériques, la remise en cause du status de l’éditeur et son rôle au sein d’une ère numérique, ou encore les rapports conflictuels entre édition numérique et édition classique, constituent les grandes lignes de cet article. Cet article propose également une explication culturelle, politique, sociale ainsi qu’économique du processus de l’édition électronique. De la mème mânière qu’il propose une fresque socio-historique des débuts de l’édition numérique et son parcours dans le temps.

      bonne présentation du propos de l'article

    8. L’article Édition électronique qui nous intéresse ici, est comprit entre les pages 47 jusqu’à la page 55 de l’ouvrage Communication

      appartient davantage à l'introduction du document

    9. Le travail suivant consiste en un compte rendu critique d’un texte au choix sur l’édition numérique dans le cadre du cours FRA3826 donné par le professeur Margot Mellet, à l’Université de Montréal. Littérature,Édition numérique,Édition,Édition électronique

      bonne initiative d'avoir renseigné les métadonnées

    1. Le numérique ou le révélateur des humanités

      C'est un très bon compte-rendu critique, qui aurait peut-être mérité une structure plus détaillée pour distinguer les parties de synthèse des parties critiques et une conclusion. Mais la fluidité de votre dveloppement permet de comprendre le chapitre de Mounier comme un ensemble cohérent.

      Votre pdf est bon : même si les "

      " n'apparaissent pas réellement, c'est une très bonne iniative d'avoir essayé et d'avoir voulu vous approprier le Stylo (Bravo!)

      Votre compte-rendu est un peu long : certaines parties auraient peut-être méritées d'être plus synthétiques (mais ce n'est pas un reproche en soit).

    2. Johanna Drucker, théoricienne de l’esthétique et artiste livresque, et de Milad Doueihi, historien des religions et titulaire de la chaire d’humanisme numérique à l’université de Paris-Sorbonne.

      des références inclues en bibliographies auraient été attendues.

    3. « Pour une critique “ humanistique ” du numérique », dans Les humanités numériques : Une histoire critique, Pierre Mounier, Paris : Éditions de la Maison des sciences de l’homme.

      il manque ici les espaces insécables

  2. stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
    1. Compte rendu

      Votre compte rendu manque parfois de structure : le ton de la critique est déjà présent dans la synthèse de l'article ce qui donne l'impression d'un déséquilibre parfois : d'un critique plus que d'un compte-rendu.

      Des points critiques abordés sont très bons, mais exprimés de façon un peu trop virulentes. Votre argumentation aurait méritée d'être davantage appuyée sur des exemples pour ne pas donner l'impression d'une critique grauite.

      Votre pdf est bon.

      Vous citez bien les sources et influences de l'ouvrage, le resituant ainsi parfaitement dans un contexte de pensée.

      Malgré quelques problèmes de formulation, c'est un bon compte-rendu !

    2. Ensuite, Vitali-Rosati traite de littérature numérique. Pour le numérique, une citation claire est donnée en début de texte : « échantillonnage mathématiquement discret du flux continu du réel » (Marcello 2015) . Or, la littérature, second point central du texte, n’est jamais définit. Ensuite,

      deux ensuite(s) trop proches.

    3. « autosourcé »

      autocité ? C'est un problème en effet dans l'absolu mais au vu du sujet abordé, ce problème est davantage contextuel à un domaine d'études : pas assez de références disponibles (ce qui est le cas des domaines d'études très spécifiques ou en émergence)

    4. m’

      évitez (même si cela reste votre compte-rendu) le "je" qui donne l'impression d'un avis personnel : un compte-rendu vise davantage à se définir comme une discussion scientifique (donc semblablement objective).

    5. Les deux premières parties tournent autour de la définition de la littérature électronique et du numérique. La troisième partie explique brièvement que le numérique se place dans une continuité de pratiques et caractéristiques qui existent depuis longtemps. Finalement, la quatrième partie propose pour chaque aspect culturel du numérique identifié par Vitali-Rosati, un aspect concordant dans l’œuvre de Plamondon (qui est un livre physique bien réel).

      Il aurait été préférable de procéder dans cette partie à une analyse chronologique : les allers-retours entre les différentes parties peuvent étourdir

    6. La quatrième partie et la première partie sont beaucoup plus longues que la deuxième et la troisième, qui elles ne prennent que quelques paragraphes. La deuxième et la troisième partie auraient gagné à être jumelées.

      Nous sommes déjà ici dans la critique

    7. rémédiation; von Neuman; commentaire la distinction entre ce qui serait ou ne serait pas possible sans ordinateurs; il ne s’agit pas ici de proposer une analyse exhaustive de cette œuvre : je vais me limiter à identifier et discuter certaines de structures littéraires…

      cités ainsi (sans guillemets ni contextualisation), ces exemples ne sont pas assez probants : on ne comprend pas en quoi ils sont des inepties. Il aurait été préfrable de se recentrer sur deux exemples pour les développer davantage.

    8. Organization, ce qui est pertinent par le caractère institutionnel de l’organisme, mais aussi car cette définition incomplète permet à Vitali-Rosati de construire sa propre définition, en complétant ses apories.

      bon point qui situe déjà le propos de l'article

    9. Méchoulan, professeur à l’Université de Montréal au département des littératures de langue française, ou en littérature électronique Doueihi, titulaire de la Chaire d’humanisme numérique à l’Université de Paris-Sorbonne.

      idem

  3. stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
    1. Compte-rendu

      Un des problèmes majeurs dans votre compte-rendu, malgré le fait que votre pdf soit correct, est que vous n'utilisez pas toutes les potentialités de Stylo : il n'y a pas d'espaces insécables (qui permettent d'éviter les orphelines) et vous n'utilisez pas le gestionnaire de bibliographie.

      Votre compte rendu propose une très bonne synthèse, où les enjeux sont clairement énoncés et développés. La partie critique est un peu plus floue : il aurait fallu vous recentrer sur un point de discussion en particulier. Des points abordés sont cependant très intéressants.

    2. De Angelis, Rossana. 2018. « Textes et textures numériques. Le passage de la matérialité graphique à la matérialité numérique ». Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics, nᵒ 9 (décembre):459‑84. https://via.hypothes.is/https://journals.openedition.org/signata/1675. https://journals.openedition.org/signata/267 https://fr.linkedin.com/in/rossana-de-angelis-2390b622

      Cette référence aurait été mieux structurée si elle avait été intégrée dans le module bibliographique.

    3. Dans un autre ordre d’idée, il serait intéressant de se pencher sur le mythe de la fin du livre. Aussi, un autre sujet préoccupant l’accompagne. Il concerne les technologies de l’information (TIC) et les data-centers qui consomment beaucoup d’électricité. Cette consommation d’énergie n’est pas toujours écologique. je me demande de quelle manière la consommation des humanités numériques est-elle plus responsable que la production de papier (et de livres) dans un monde où l’on stocke nos données de plus en plus de façon virtuelle alors que ces données doivent se matérialiser quelque part.

      ces points auraient dus se retrouver dans la partie critique

    4. les liens intra et inter-textuels enrichissent le contenu, mais ils enlèvent la concentration accrue qu’un lecteur a en lisant un texte imprimé unique.

      cet argument est relatif : en effet dans des éditions savantes et critiques, le texte est enrichie de notes qui se trouvent en fin d'ouvrage et sont susceptibles de couper la lecture fluide.

    5. De Angelis, Rossana. 2018. « Textes et textures numériques. Le passage de la matérialité graphique à la matérialité numérique ». Signata. Annales des sémiotiques / Annals of Semiotics, nᵒ 9 (décembre):459‑84, paragraphe 45.↩

      à citer dans le corps de texte avec les indices bib

    6. , je suis d’accord

      de préférence, évitez ces expressions dans un compt-rendu critique : il s'agit moins de donner son avis (même si c'est en quelques sortes le cas), que de discuter de un propos en mode objectif

    7. textes numériques se transforment peu à peu en des textures et qu’ils représentent une science complexe qui se détache graduellement de la culture des textes imprimés.

      en effet, refusant une immatérialité du numérique, l'auteure démontre une nouvelle matérialité du texte, donc une matérialité du numérique.

    8. L’autrice explique que les avantages avec les textes numériques sont qu’ils permettent une accessibilité directe avec les liens intra et inter-textuels dont un texte se compose dans sa propre textualité.

      bien

    9. La thèse principale de l’ouvrage est que le texte imprimé ne remet jamais en cause la matérialité du support puisque le lecteur ne peut jamais oublier qu’il est présent.

      bonne présentation de la thèse

    10. son but est de recenser, de structurer et de mettre à l’épreuve des recherches sémiotiques contemporaines sans avoir de parti prix pour une école de pensée et sans avoir de frontières géographiques spécifiques.

      bonne présentation de la revue et ses enjeux

    1. Compte-rendu critique du texte « Édition électronique » de Pierre Mounier et Marin Dacos

      Votre compte-rendu se perd un peu entre plusieurs points du documents :

      • il aurait été nécessaire de contextualiser davantage votre extrait et les auteurs pour cerner les nejeux de l'ouvrage dans la production scientifique

      • Votre pdf est beau, mais vous n'utilisez pas toutes les fonctionnalités de stylo : il manque les espaces insécables et les indices bib auraient pu être utilisés pour toute les références.

      • vous mêler les enjeux d'une définition de l'édition électronique avec les problématiques liées au livre papier ou numérique : vous auriez profité davantage à recentrer votre propos sur un des deux sujets.

      • dans cette confusion, votre argument de critique, qui arrive un peu trop tard dans votre partie critique, est un peu noyé. C'est cependant un très bon argument qui aurait amené sur une vraie discussion du propos de Mounier et Dacos.

      Votre compte-rendu possède des pistes intéressantes : il aurait fallu concentrer votre critique sur la validité de l'étude de Mounier et Dacos : est-elle valide en dehors de l'Europe ? Qu'en est-il aujourd'hui (après seulement dix ans)? Le fait est que si le média numérique se développe rapidemment, cela pose le problème de l'obsolescence rapide des définitions et théories sur le numérique.

    2. Mounier et Dacos présentent un aperçu global de cette évolution à travers une description claire et concise favorisant la compréhension de ce nouveau champ en plein essor.3

      Il vous faut savoir que cet ouvrage est daté, et que même l'expression "édition électronique" n'est plus utilisée (même par eux). Cette obsolescence rapide de leur formule aurait pû être un point de discussion de leur ouvrage.

    3. Le numérique fait maintenant partie intégrante de notre existence.

      Vous auriez pu citer Vitali-Rosati ici, même si cette affirmation peut apparaître comme trop évidente, il vaut mieux toujours la référencer.

    4. La cohabitation est donc possible tout en accentuant les stratégies de mitigation des risques qui débouchent sur une limitation flagrante pour les métiers de l’édition avec la révolution culturelle.

      C'est votre thèse, elle est intéressante mais il aurait fallu la développer dès le début de la partie critique. Le problème est que l'on vous demande une critique de la thèse de Mounier et Dacos, pas de leur opposer une autre thèse...

    5. achevé par l’écran sur l’autel du progrès et les fanatiques du numérique qui voit le livre numérique comme un simple glissement d’un support à l’autre.

      C'est notamment ce point qui aurait pû être discuté dans votre compte-rendu.

    6. Car même si les contenus en ligne sont accessibles à travers le monde, dans bien des contrées : en Afrique, en Asie du Sud-Est, et en Amérique latine, l’usage de l’internet n’est pas constant en raison de nombreux problèmes d’infrastructure, de communication, de coûts d’utilisation, et aussi des conditions socioéconomiques fragiles des individus qui y vivent.

      C'est un bon point qui vous donnait un argument fort contre la réflexion de Mounier et Dacos qui demeure européo-centrée.

    7. Labelle, Sarah. 2009. « Milad Doueihi La grande conversion numérique , 2008, Seuil, Paris, 271 p. » Communication langages N° 160 (2):130‑30. https://www.cairn.info/revue-communication-et-langages1-2009-2-page-130.htm.↩

      idem

    8. Assouline, Pierre. 2012. « La métamorphose du lecteur ». Le Debat n° 170 (3):78‑89. https://www.cairn.info/revue-le-debat-2012-3-page-78.htm.↩

      Cette référence aurait due être éditée dans la suite de la phrase avec l'indice bib.

    9. Le texte expose une certaine tension entre la culture numérique avec l’idéalisme du partage et de la libre circulation du savoir et la culture imprimée qui est centrée sur l’objet livre (le livre papier). L’avènement du livre numérique affecte tous les secteurs gravitant de près ou de loin autour du livre. Il induit de prime abord une modification des habitudes de lecture qui suscite de l’enthousiasme chez certains et de la méfiance chez d’autres. La lecture immersive et linéaire (celle du livre relié) est mise à mal au profit de modes de lecture rapide et fragmentaire qui, semble-t-il, érige en modèle cognitif le déficit d’attention caractéristique des enfants difficiles. On parle de baisse du temps consacré à la lecture et on perçoit une menace à l’acte de lecture lui-même. Le monde éditorial est ébranlé par la dématérialisation des supports de diffusion et la pression vers la gratuité d’accès sur les biens informationnels. Il existe une certaine inquiétude face à la perspective de voir Google et Amazon, devenir les grands éditeurs de demain.

      Cette partie appartient davantage à la partie précédente.

    10. Le monde éditorial est ébranlé par la dématérialisation des supports de diffusion et la pression vers la gratuité d’accès sur les biens informationnels. Il existe une certaine inquiétude face à la perspective de voir Google et Amazon, devenir les grands éditeurs de demain.

      Deux choses : la dématérialisation aurait mérité d'être explicitée ici (le numérique n'est par immatériel) ; les deux phrases s'enchaînent dans lien véritable, il aurait fallu argumenter ou expliciter davantage.