1,931 Matching Annotations
  1. Nov 2019
    1. Le principal but de cet article est de connaitre et d’en savoir un peu plus sur les principaux modes de distribution de livre au Québec et dans le monde, depuis l’arrivée du numérique.

      en prenant un cas d'étude en particulier

    1. Compte rendu critique de Caleb Roy

      C'est un bon compte-rendu qui présente avec clarté et précision la pensée de l'auteur. Votre critique est pertinente. Quelques problèmes dans l'édition Stylo notamment dans l'édition des références, vous n'avez pas assez utilisé le référencement avec les indices bib. Votre pdf est tout à fait correct. C'est un travail sérieux et de qualité.

    2. « Il est apparu qu’un tel réseau est connecté suivant une loi de puissance […] Il s’agit là de ce que l’on appelle un attachement préférentiel, qui est la traduction d’une tendance à ce que les riches deviennent plus riches »

      cette citation aurait dû être éditée comme une citation longue

    3. Roger Bautier et Gabriella Giudici, « La question de la démocratie des réseaux socio-numériques », Sciences de la société [En ligne], 91 | 2014, mis en ligne le 16 avril 2015, consulté le 31 octobre 2019. URL : http://journals.openedition.org/sds/931 ; DOI : 10.4000/sds.931

      cette référence doit être éditée dans le module bibliographie

    4. En croyant que le web pourrait devenir la manne démocratique, l’auteur a oublié de remettre en question son architecture qui est davantage susceptible, dans sa forme actuelle, de reproduire les rapports de pouvoir et d’inégalités existants.

      bon point de critique en effet.

    5. etrouver sur le réseau et ainsi être examiné par un public à la place d’un comité restreint, il s’agirait d’un retour à l’esprit artisanal de l’édition qui, d’un point de vue démocratique, permettrait de combattre la censure. Cette perspective doit aussi s’opérer dans l’industrie musicale où le format numérique rend toute tentative d’un nouveau modèle économique viable difficile ; l’idée ne serait donc pas d’adopter une approche restrictive en matière de droits d’auteurs, mais plutôt d’accepter que la musique soit « copiée » et « échangée » avec comme postulat que les copieurs sont également de forts acheteurs et que des revenus devraient ainsi naturellement en découler. L’auteur suggère que des politiques favorisant la diversité culturelle (canaux et média-planneurs) doivent être complémentaires si l’on veut garantir le succès de cette approche. La sphère médiatique n’est pas épargnée, incarnée par la figure du journaliste, une crise de crédibilité force la presse à se réinventer et autrement que par sa plus simple expression, soit son rôle de « témoin ». Si l’omniprésence d’appareils et de capteurs pourrait nous laisser croire que le journaliste est devenu obsolète, elle ne suffit pas à produire du sens autour d’un événement qui demande lui-même à être identifié et contextualisé. Dans ces circonstances, la presse ne perd pas sa pertinence ; elle se doit d’enrichir l’information, de « secouer les pouvoirs par des questions dérangeantes, confronter les idées et redonner confiance aux multitude ».

      ces points sont intéressants et bien présentés mais manquent des connecteurs permettant une fluidité de la lecture

    6. La thèse de Le Crosnier n’aspire pas à nier l’existence de changements qui sévissent dans les rapports de production ; il en va plutôt de déconstruire l’idéologie californienne qui, sous toutes ses belles prétentions, est soupçonnée de se servir de ce basculement pour réorganiser les rapports de pouvoir à son avantage et ainsi, faire reculer les acquis démocratiques

      bonne synthèse

  2. stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
    1. MargauxFruteau_CompteRendu

      C'est un bon compte rendu : il est très clair et documenté. Votre écriture est très agérable à lire et vous vous êtes bien appropriés l'édition dans le stylo. Il manque cependant une présentation de la structure de l'article, et votre critique semble présenter davantage le propos de l'auteur plutôt que le discuter. Vers la fin, il y a des passages très intéressants mais qui ne sont plus mis en rapport avec le propos de l'auteure. Cela demeure un travail sérieux et intéressant. Bravo !

    2. Les oeuvres basculent dans le domaine public après un certain nombre d’années qui diffère selon chaque pays (par exemple en France les droits d’auteurs sont en vigueurs jusqu’à 70 ans après la mort de l’auteur, tandis qu’au Québec, ces droits sont valable jusqu’à 50 ans après la mort de l’auteur). Mais il n’est pas impossible que la copie d’un livre du domaine public au Québec soit accessible depuis la France. L’accessibilité du livre numérique, en ce sens, pose problème.

      C'est un point intéressant mais on quitte un peu trop le propos de l'article

    3. (…) la répartition moyenne de la valeur d’un livre grand public va généralement comme suit: 40 % pour le libraire, 15 % pour le distributeur, 22 % pour l’imprimeur, 13% pour l’éditeur et 10 % pour l’auteur. (…) les intermédiaires ont établi les remises suivantes sur les ventes de livres numériques : le libraire touche 30 % , De Marque 15 % (dont 1 % est remis à l’ANEL) et l’éditeur 55%, dont environ 10 % est remis à l’auteur.

      Il est conseillé d'introduire les citations longues avec deux points

    4. Dans cet article, Joanie Grenier cherche à définir le rôle du distributeur numérique dans l’industrie du livre numérique et sa place dans la chaîne éditoriale. Cet article veut également clarifier le circuit du fichier numérique entre l’éditeur, le distributeur et le lecteur.

      On attendrait la présentation de la structure de l'article en synthèse.

    5. Comme indiqué dans l’intitulé, cet article tente d’expliquer comment fonctionne une plateforme de vente de livre en ligne, et quel chemin parcours le fichier depuis le site vendeur jusqu’au lecteur.

      au travers d'un cas d'étude en particulier.

    6. Article : “De l’éditeur au lecteur : De Marque et la distribution du livre numérique”, Joanie Grenier. Compte rendu critique dans le cadre du cours FRA3826 : Théories de l’édition numérique.

      Bonne utilisation des métadonnées

    1. Transformation éditoriale

      C'est un bon compte-rendu : votre expression est claire et documentée. Votre structuration de synthèse rend parfois abrupt la lecture et les idées s'enchaînent parfois sans suffisamment de connecteurs. Votre critique aurait pu être un peu plus forte, mais elle demeure juste et claire. Bon travail de documentation qui aurait mérité de se retrouver référencé en bibliographie. Bonne appropriation de l'éditeur Stylo. Bravo, c'est un travail sérieux !

    2. C. Anderson, The Long Tail : How Endless Choice Is Creating Unlimited Demand, Londres, Random House, 2007.↩ S. Firer-Blaess, « Wikipédia : hiérarchie et démocratie », Homo numericus, 2007.↩

      ces références aurait mérités une intégration dans la bibliographie

    3. Dans leur texte « Édition électronique », paru en 2011 dans la revue Communications, Marin Dacos et Pierre Mounier affirment que la massification des usages des technologies numériques en réseau n’a été posée qu’assez récemment dans le débat public. Ces polémiques mènent à constater que l’acte éditorial, celui qui, par-delà le geste d’un auteur, construit l’œuvre et la fait connaître, semble menacé, entre autres, par la « désintermédiation », c’est-à-dire la disparition de l’intermédiaire éditorial dans le circuit de diffusion de l’information. Ils continuent en soutenant que plutôt qu’à la disparition de la position éditoriale, c’est à sa transformation qu’il faut penser.

      Il aurait été attendu que soient présentés les auteurs.

    1. Compte rendu de Nell Debeaux

      C'est un bon compte-rendu, sérieux, clair et documenté. Votre édition stylo est parfaite, le pdf est très beau. Vous avez fait un travail remarquable qu'en au référencement bibliographique. La critique aurait pu être peut-être plus appuyée quand à l'obsolescence de certaines des notions de l'article, mais elle demeure juste. Bravo !

    2. Récemment le concept d’ « uberisation » popularisé par Maurice Lévy témoigne de la relation directe entre professionnel et client (« acteur » et « lecteur ») avec l’utilisation des NTIC qui bousculent encore les intermédiaires.

      ce point aurait mérité à être développé davantage

    3. Mais il a une méfiance des auteurs de la transparence du système de contrôle qui doit donc s’adapter. L’auteur questionne « les instances de validation » et la valorisation du contrôle par les « pairs » avec la contre-expertise. Il y a donc trois tendances : le libre accès à la science, la recherche contrôlée par les intermédiaires et les revues en libre accès qui sont créés par les chercheurs.

      le passage d'une idée à l'autre est ici un peu abrupt, manque de fluidité

    4. Dans le numéro 19 de la revue politique, artistique et philosophique Multitudes, Hervé Le Crosnier, enseignant-chercheur à l’université de Caen et responsable éditorial chez C&F éditions, écrit sur la question de la désintermédiation dans le domaine culturel (Le Crosnier 2004). Il affirme que « ce sont les intermédiaires qui fondent les sociétés ».

      il aurait été attendu que soit citer le titre de l'article.

    1. Tout au long de l’article, il est énoncé que De Marque est un acteur incontournable dans l’industrie du livre numérique autant sur le marché local qu’international. Dès le début de l’article, l’auteure mentionne qu’au Québec, il n’y a que trois structures de distribution numérique. Mais qu’en est-il sur le marché international ? Ayant une présence importante hors Québec, il serait intéressant d’analyser quels sont les concurrents de De Marque et quels sont ses liens avec eux ? Comment se positionne-t-il face à eux ? Par exemple, quelles sont les forces et faiblesses de De Marque et de sa plateforme Cantook face à Numilog (France) ou Primento (Belgique) ? Compte tenu de l’importance du marché international, cette analyse est essentielle pour avoir une vue d’ensemble et bien définir le rôle et le fonctionnement d’un distributeur numérique.

      vos questions sont pertinentes et documentées. C'est une très bonne critique constructive.

    1. Compte rendu analytique de “Electronic Literature: What is it?” de Katherine Hayles

      C'est un bon compte rendu, les formulations parfois maladroites peuvent gêner la compréhension de vore propos cependant. Votre critique est fine et intéressante. Le pdf produit est correct, j'aurai attendu cependant la présence de référence dans le corps du texte avec l'utilisation d'indice bib. C'est un travail sérieux, bravo !

    2. Hayles, quand on prend cet article dans son contexte historique, mérite que l’on s’y attarde, mais mériterait qu’on y ajoute, telle une anthologie, les différentes compréhensions et perspectives numériques qui existent actuellement.

      très bon passage

    3. Le paysage littéraire ou l’existence de l’expression par le biais de l’écriture existe d’une façon moins simpliste que ce qui a été amené dans cet article.

      votre point est très original et subtil, bravo !

    4. Si l’un croit que le numérique est démocratisé, l’un oublie que celui-ci n’existe pas d’une manière aussi immédiate pour tous et de croire qu’on puisse s’exprimer librement par ce biais et qu’on puisse contribuer à une expression universelle et partagée me semble un peu utopique et trop optimiste.

      vous avez en effet raison mais le ton un peu trop personnel de cette affirmation gêne : il aurait été préférable de proposer des exemples pour assurer davantage votre argument.

    5. Ce qui est perçu et vécu comme une accessibilité littéraire qui se manifeste dans nos poches avec nos téléphones intelligents comme dans nos ordinateurs portables, il faut aussi assumer que le médium numérique parfait pour accéder à la littéraire numérique n’existera pas sous la même forme pour tous.

      problème de structure syntaxique

    6. Par exemple, l’hypertexte, qui peut être considéré comme étant exclusif à l’écriture électronique, peut exister sous une forme alternative dans un codex, comme sous la forme des notes de bas de pages, des annexes ou des références externes au texte d’origine.

      bon point

    7. Pour le reste du texte, elle oscille entre une argumentation de l’innovation numérique et une compréhension de leur posture dans l’univers littéraire.

      bonne présentation de la structure générale

    8. Ce texte remet en question la posture de l’écriture électronique, dans un contexte où le texte écrit est né en ligne à l’instar d’avoir été numérisé. L’auteur questionne aussi sur la valeur de l’écriture en ligne quand elle est placée en comparaison avec une écriture papier dite plus “conventionnelle”.

      Il aurait été nécessaire en introduction de présenter davantage l'article (édition et date de publication) ainsi que l'auteure (institution, champs de recherche)

    1. Quand l’intermédiaire se démarque

      C'est un très bon compte rendu, quoique parfois la structure ne soit pas évidente (bien que l'expression demeure fluide). Votre propos (parfois un peu trop long) est très documenté et l'édition stylo, malgré quelques soucis, est très bonne. Votre expression est (presque) irréprochable et nous plonge à la fin dans un début d'enquête, qui dépasse un peu l'excercice de compte rendu attendu. Bravo pour le sérieux de votre travail !

    2. Désintermédiation ou « hyperintermédiation » ?

      cette partie critique, quoique très documentée, quitte un peu trop l'ouvrage et propose une enquête, qui demeure intéressante, du cas d'étude : nous perdons un peu de vue la structure et la logique d'un compte rendu critique

    3. Nous avons soumis quelques-unes de ces questions à Jean-François Bouchard, président des Éditions La Presse, qui nous a affirmé que les ventes de livres numériques sont très marginales par rapport aux ventes totales de sa maison d’édition. Il nous a également confié que le géant Apple représente le meilleur canal de vente des Éditions La Presse (des informations commerciales qu’il nous demande de ne pas diffuser au-delà de ce travail)

      investissement particulièrement intéressant dans votre critique.

    4. Dans le cas présent, l’intermédiaire en question est le distributeur De Marque, entreprise fondée en 2009 et rapidement devenue le leader du livre numérique au Québec, grâce notamment à une entente avec l’Association nationale des éditeurs de livres (ANEL) et à la mise sur pied de l’Entrepôt numérique, espace virtuel abritant les contenus numériques qui sont ensuite offerts à la vente.

      la présentation du cas d'étude aurait pu être présente plus tôt

    5. On pourrait croire que l’avènement du livre numérique a libéré auteurs et éditeurs de la plupart des contraintes associées à l’édition traditionnelle. Pourtant les enjeux d’espace, pour ne nommer que ceux-là, demeurent bien réels et s’il est vrai que le monde entier devient accessible à l’éditeur de livres numériques, ses publications peuvent très facilement demeurer quasi invisibles dans l’immensité de l’offre.

      bonne contextualisation

    6. Quand l’intermédiaire se démarque

      dans votre édition stylo, les titres se trouvent terminés par l'indentation markdown ## (ce qui certes ne se voit pas mais qui n'est pas nécessaire)

    7. Compte rendu critique de « De l’éditeur au lecteur : De Marque et la distribution du livre numérique ». Un texte de Joanie Grenier de l’Université de Sherbrooke, diffusé le 2 mai 2017 dans la revue Mémoires du livre, consulté sur Érudit, la plateforme universitaire québécoise de diffusion numérique.

      Ce passage aurait pu se trouver en résumé

    1. Culture numérique et auctorialité : réflexions sur un bouleversement

      C'est un très bon compte rendu : la synthèse est claire et fluide, votre critique est très intelligente et documentée. Quelques menus problèmes d'étidion dans le stylo, mais votre pdf est (presque) parfait. Bravo !

    2. Un aspect rassurant L’aspect pédagogique du texte va ici de pair avec une certaine bienveillance vis-à-vis des lecteurs. En effet, à la conclusion, les auteurs mentionnent le côté « flottant » qu’a l’environnement numérique qui évolue de façon assez rapide. Apporter une vue globale sur le sujet de l’auctorialité permet ainsi de mieux le comprendre et de l’appréhender tout en brisant quelques idées présupposées.

      cette partie aurait pu être intégrée dans la partie précédente pour établir un point plus important.

    3. panorama historique de l’évolution du support du texte, du statut d’auteur et du lecteur ; rappel du grand débat autour de l’auctorialité et du champ littéraire pendant les années soixante et finalement, étude des conséquences et changements de la production d’un texte dans le numérique.

      vous auriez pu éditer ici sous forme de liste

    1. Compte-rendu critique du Chapitre 6. Wiki, boîte à outils ou de Pandore?

      C'est un bon compte-rendu qui se recentre un peu trop parfois sur une partie en particulier du chapitre (les entretiens). Votre édition dans stylo et votre pdf sont bons bien que les indices bib manquent parfois. Bon référencement dans la bibliographie. C'est un travail très sérieux qui met bien en lumière l'aspect collaboratif dans la recherche qui est mis à l'honneur dans des outils numériques. Bravo !

    2. Le but des entretiens est d’ « enrichir [une] réflexion au prisme d’autres cultures - disciplinaires, générationnelles, philosophiques » (Ibid.). En d’autres mots, selon le niveau de connaissances des wikis de chaque membre du projet, les auteurs désirent connaître l’opinion de ceux-ci à l’égard de l’utilisation des wikis comme outil de gestion de travail. Leur objectif prend en considération que le wiki est efficace pour l’édition numérique et le travail collaboratif, mais ils s’orientent davantage sur les impacts que celui-ci aura sur la gestion de l’équipe de recherche.

      votre synthèse se concentre un peu trop sur la partie des entretien du chapitre.