1,845 Matching Annotations
  1. Apr 2023
    1. La déraison graphique

      parmi les titres, je ne suis pas vraiment sûre de celui-là

    2. La raison graphique dans cette approche du signe est déconditionnée

      Il était question dans la précédente version de l'imprécision du terme signe, est-ce que le paragraphe ainsi remanié rend l'idée plus claire ?

    3. émerge d’un a priori de la trace

      dans la précédente version, il avait été demandé de développé cette idée. Si avec le développement de la pensée de Christin, cela n'est pas clair, je le ferai !

    4. Les embrassements graphiques du texte et de l’image

      j'ai abandonné tout "exploration" ou "réflexion", je pense que c'est plus fluide ainsi

    5. « Mais étaient-ce des signes ? »

      J'ai revu la structure en plaçant Mallarmé, Leiris et Phillips avant Michaux mais également en distinguant davantage les parties : ce qui fait que certaines parties sont plus longues que d'autres (particulièrement les deux dernières, j'espère que cela ne sera pas trop problématique) : le fait est qu'en cherchant des titres, je me suis aperçu que les rapports étaients bien distingués entre Mallarmé, Leiris et Phillips.

    1. L’origine de Humument est un principe d’intervention qui tire sa structure autant de l’hybridité de deux modèles d’expression que de leur réunion dans un lieu qui devient alors la scène unique d’une rencontre inter-référentielle. Ce principe de la référence à même le référencié introduit une dynamique de reconnaissance entre modèles de signes ou d’intertextualité : lorsque la littérature cite la peinture (Le portrait ovale de Poe mais la figure de l’ekphrasis) ou que le cinema cite la littérature (Vivre sa vie de Godard), le lien est une mise en scène de la transmission et donc une réflexion sur l’origine des possibles de la relations entre les signes et le monde.

      j'ai supprimé toute cette partie qui n'était pas très bonne

  2. Mar 2023
    1. se questionner sur la fonction du peintre (dans sa définition lacanienne de livrer à la vue le fantasme enseveli2) ou la fonction du spectateur (qui voit autant qu’il est vu par la peinture).

      Je me demande si cette phrase est véritablement nécessaire : c'est un point dans l'analyse du tableau mais cela n'est pas repris par la suite et comme cette intro est déjà un peu longue au démarrage...

  3. Oct 2022
    1. Contenus du livre

      Dans la présentation du livre, peut-être présente les auteurs, dis que c'est un ouvrage collectif et donne peut-être une première idée de la structure

    2. De lors, réfléchir à l’« Avenir des écrans », pourrait signifier s’intéresser à la manière de gérer les contaminations au sein du réseau viral des écrans, afin de permettre à la pluralité d’exister, même si ce n’est que dans une faible mesure.

      C'est un super compte rendu en tout cas ! tu peux le proposer à Sens public tel quel !

    3. Les décisions ne sont toutefois pas prises à partir des commentaires en ligne. Elles restent opaques.

      c'est une description très détaillée et très linéaire ! peut-être que tu pourrais essayer de lier certains paragraphes davantage entre eux

    4. donc la façon dont nous percevons, agissons et pensons.

      peut-être que dans la continuité de ces remodélisations par l'écran, on peut citer Cavallari, qui lui parle d'une nouvelle phénoménologie, mais c'est si cela ne rallonge pas ta réflexion

    5. de la succession

      peut être évolution serait plus juste ?

    6. théorise

      théorisée par

    1. Édition qui présente de grandes lacunes.

      En plus du problème de bibtex (les pp. qui ne sont pas reconnus et qui ont cassé l'article en plus du lien de l'article placé à l'endroit de la bibliographie Zotero), vous avez choisi de restructurer l'article (ce qui n'était pas demandé) sans que ce soit justifié avec des niveaux de titres qui ne sont parfois utilisés qu'une fois dans leurs sections.

      Les notes de bas de page ne fonctionnent pas, les clefs bibtex sont inexistantes.

    2. H., Le Crosnier. s. d. Désintermédiation et démocratie. H., Simon. 1971. « Designing Organizations for an Information-Rich World. »

      Il y a un problème ici d'inversion entre le nom et le prénom de l'auteur : cela vient du bibtex où une virgule est nécessaire pour distinguer les deux

    3. « L’information journalistique sur l’internet, entre diffusion massmédiatique et circulation réticulaire de l’actualité, » in Broudoux E., Chartron G., (dir.), Document numérique et société ». 2006. McManus, year = 2003, R.(dir.). s. d. ReadWriteWeb. TEI. Guidelines for electronic texte encoding and interchange. s. d. The pro-am revolution. 2004. Demos. « Wikipedia: hiérarchie et démocratie ». 2007.

      Il est toujours conseillé de renseigner le nom de l'auteur, pour toutes ces références, cela aurait été nécessaire et possible

    4. cManus, year = 2003, R.(dir.). s. d. ReadWriteWeb.

      Il y a un problème dans le bibtex ici, la valeur year devrait être interprétée

    5. Bomsel, Olivier, Anne-Gaëlle Geffroy, et Gilles Blanc. 2006. Modem le maudit : économie de la distribution numérique des contenus.

      Vous n'avez inséré aucune clefs bibtex dans le texte comme demandé

    6. Anderson, C. s. d. The Long Tail How Endless Choice Is Creating Unlimited Demand. Random House.

      Il aurait fallu un niveau de titre pour la bibliographie

    7. INTRODUCTION GENERALE PROBLEME

      En terme de structure, vous avez complètement occulté l'organisation du texte d'origine et je ne suis pas bien sûre de comprendre pourquoi : ce n'était pas demandé. De plus cela ne coïncide pas avec la pensée des auteurs

    8. on [^1]

      Les appels de notes de bas de page ne fonctionne pas parce qu'ils ne renvoient à rien dans le reste de l'édition

    9. Et si aujourd’‘hui elle l’‘est,

      Il y a de multiples problèmes d'espaces doubles, de guillemets dans le texte, : avez-vous bien exporté le texte en txt ?

    1. C'est une excellente édition, bravo !

      Pas de problème de structure ou d'organisation des données, vous avez bien enrichi les métadonnées. Bon travail !

    2. The long tail: why the future of business is selling less of more. 1st ed. New York: Hyperion.

      On met par convention une majuscule à tous les noms d'une référence en anglais

    1. Très bonne édition, bravo !

      Très peu de choses à redire hormis un inversement dans une clef bibtex.

    2. Modem le maudit:

      Point de détail : les espaces sont aussi importants dans les références

    3. Pierre MOUNIER | pierre.mounier@ehess.fr Marin Dacos | marin.dacos@ehess.fr

      On placera de préférence ces informations dans les métadonnées (si possible)

    4. cette entreprise (S., s. d.).

      De préférence, on fera en sorte que la clef bibtex mentionne un auteur (ici il y a inversion entre prénom et nom) et une date.

    1. Bonne édition !

      Quelques petits problèmes avec les clefs bibtex mais c'est un travail sérieux.

    2. imon, Herbert. 1971. « Designing Organizations for an Information-Rich World ». Computers, Communications, and the Public Interest, 37‑72.

      Également si vous vous demandez pourquoi toutes vos références ne s'affichent pas ici : c'est parce que la bibliographie est en mode "Only used" dans les métadonnées

    3. Anderson, Chris. 2007. The Long Tail: How Endless Choice is Creating Unlimited Demand. Londres: Random House.

      Il y aurait besoin ici d'un titre annonçant les références

    4. Pierre MOUNIER pierre. mounier@ ehess. fr Cléo, EHESS Marin DACOS marin. dacos@ ehess. fr Cléo, CNRS

      Informations qui relèvent davantage des métadonnées

    5. cette entreprise (???)

      idem ici : [@firer-blaess_wikipedia_nodate]

    6. Read/ Write Web (???)

      Problème de référence ici : c'est souvent le cas pour une clef bibtex qui n'est pas écrite correctement et qui donc ne réfère à rien dans le bibtex : ici la clef notée et @macmanus... or dans le bibtex c'est @mcmanus

    7. Simon (Simon 1971),

      Idem ici

    8. Anderson (Anderson 2007)

      Pour éviter la répétition du nom de l'auteur, on place un tiret à l'intérieur de la clef bibtex : [-@clefbib]

    9. Édition électronique

      Pas de titre de niveau 1 dans le corps du texte

    1. C'est une excellente édition, Bravo !

      Il y a très peu à redire en terme de gestion des références et de structure du texte, peut-être qu'on aurait pu ajouter des informations dans les métadonnées (url, nom du journal de parution, etc.) mais c'est déjà un très bon travail.

    2. Guidelines for electronic text encoding and interchange.

      Point de détail : les titres en anglais portent des majuscules à tous les noms (alors que ceux en français seulement au premier mot du titre -- si le déterminant est un "le,la,les")

    3. e la « chaîne du livre » ,

      point de détail : il y a un espace égaré

    4. Sur ces trois dimensions de l’édition électronique se greffent d’importants enjeux économiques, technologiques et politiques.

      Dans la version originale, le début du paragraphe est ici.

    1. (TEI 2008).

      De préférence, on notera le nom des auteurs dans la clef bibtex pour qu'ils apparaissent dans la référence.

      Aussi en terme d'édition, il est plus simple pour insérer les clefs bibtex dans le texte de le nommer ainsi : @titre_auteur_date

    2. Bonne édition en général.

      Quelques petites incorrections en terme de structure (niveau de titre), d'organisation (certaines informations relèvent des métadonnées) et quelques subtilités en terme d'édition des clefs bibtex.

      Travail qui demeure sérieux. C'est bien !

    3. McManus, R. 2003. 2003. http://www.readwriteweb.com

      Cette référence est incomplète

    4. NOTES

      Pour être plus précis, le titre serait "Bibliographie" ou "Références"

    5. Pierre MOUNIER pierre.mounier@ehess.fr Cléo, EHESS Marin DACOS marin.dacos@ehess.fr Cléo, CNRS

      Ces informations sont à placer de préférence dans les métadonnées

    6. Britannica

      Ce mot, comme les occurences de Wikipédia et d'autres termes, sont en italique dans la version d'origine

    7. n(O. Bomsel 2006)

      Pour les ouvrages collectifs ou écrits à plusieurs, si les auteurs sont bien tous renseignés dans la clef bibtex, ils devraient apparaître dans la référence

    8. Anderson(Anderson 2007).

      Pour éviter que le nom de l'auteur se répète, on met un tiret dans la clef bibtex comme ceci : [-@clefbibtex]

    9. Sur ces trois dimensions de l’édition électronique se greffent d’importants enjeux économiques, technologiques et politiques. Ainsi assiste-t-on à d’amples manoeuvres des géants de l’industrie culturelle pour constituer des plates-formes incontournables dans la diffusion des oeuvres et des idées : Amazon a concentré ses efforts autour du Kindle, sa liseuse, et de son imposant portefeuille de clients ; iTunes est le cheval de Troie d’Apple pour faire converger les pratiques d’achat et de lecture des livres vers l’iPhone, l’iPad, et même les ordinateurs personnels ; Google a misé sur sa puissance de calcul et d’indexation pour construire la plus grande bibliothèque de livres numérisés du monde et devenir l’acteur incontournable de l’édition de demain. Tous se battent pour imposer leur format, leurs protocoles, leur standard sur un réseau traditionnellement neutre et ouvert.

      ici c'était un nouveau paragraphe dans la version pdf de l'article

    10. n(Le Crosnier 2004).

      Pour insérer les clef bibtex sans qu'elles soient collées au texte dans la version finale, on place un espace entre le mot et le crochet, exemple : mot [@clefbibtex]

    11. Édition électronique

      Idem pour le titre de niveau 1

    12. ABSTRACT

      Vu que le résumé en anglais a été placé dans les métadonnées, il est inutile de le repéter dans le corps du texte

    13. par Pierre Mounier et Marin Dacos RÉSUMÉ

      Ces informations appartiennent aux métadonnées

    14. Édition électronique

      Pas de titre de niveau 1 dans le corps du texte (on commence à partir du niveau 2)

  4. May 2022
    1. études intermédiales (européennes et québécoises)

      idem ajout d'un paragraphe

    2. différentes conjonctures médiatrices

      expliquer : ajout d'un paragraphe

    3. pluricité du texte

      veut rien dire

  5. Apr 2022
    1. écrits d’écran où prime le visible, la fragmentation et l’évenementialisation du lisible (Régnier, 2020).

      C'est un point de vue mais on pourrait aussi partir de la considération que le numérique se définit aussi comme un espace de liens (hytpertextuels et en réseaux) et un espace fait d'écritures.

    2. formes de médiation du patrimoine littéraire que le dispositif permet de développer

      Justement entre l'édition de Montesquieu en bibliothèque et celle numérique, ce n'est pas la même expérience d'une oeuvre littéraire qui est proposée au lecteur.trice, le travail de communication n'implique pas les mêmes instances d'énonciation éditoriale, ce n'est peut⁻être pas la même idée d'un patrimoine non plus

    3. La notoriété et l’affluence dont dispose Wikipédia permettent par conséquent de faire circuler des substituts numériques du patrimoine écrit et graphique jusque-là consultables dans les seules bases de données patrimoniales tout en améliorant rapidement la visibilité de la structure culturelle impliquée et ainsi de valoriser ses fonds patrimoniaux auprès d’un public distant qui ne franchira sans doute jamais ses portes.

      La question du public entre deux formes de médiations est, je trouve, extrêmement complexe à résoudre : il me semble qu'en effet les interfaces numériques crééent un déplacement d'un public qui désormais consultent en ligne plutôt que consulte en bibliothèque, ces interfaces permettent également une plus grande accessibilité (donc vont toucher un autre et un nouveau public), mais je pense que le groupe de spécialistes fait encore parti d'un public qui va consulter les objets dans les bibliothèques

    4. Nous avons ainsi pu suivre les différents modes d’engagement, les rôles et les adaptations que ces publics manifestent face à ces productions médiatiques collectives et culturelles.

      Je serai intéressée d'avoir des exemples des différentes implications et engagements

    5. La participation des publics et amateurs est en effet une des spécificités du PCI, puisque ce sont eux, dans une recherche d’identité et de reconnaissance, qui contribuent à définir l’essence même de ce qui constitue leur culture et leur mémoire, suscitant parfois avec les structures de gouvernance des rapports de force.

      Il me semble justement intéressant cette conception dans la mesure où le patrimoine ici apparaît comme une entité institutionnelle et officielle tandis que faire patrimoine apparaîtrait davantage comme une action du public et de l'individu

    6. le patrimoine littéraire suppose, pour être reconnu comme objet commun partagé, des supports d’inscription qui permettent sa matérialisation et son partage

      à partir de quelle définition part l'idée de patrimoine littéraire ? C'est-à-dire comprenant toute la littérature (littérature fiction, scientifique, etc.), tout les objets culturels qui en dérivent (dans le cas d'oeuvre transmédiales), ou la littérature selon le panthéon littéraire ?

    7. représentants des publics potentiellement intéressés par ces questions (enseignants du second degré, étudiants en Humanités et wikipédiens de groupes locaux).

      Est ce que le projet était ouvert à tous.tes ?

    8. es mises en scène numériques proposées par les divers acteurs en charge de la conservation et de la valorisation du patrimoine littéraire.

      Sur ce sujet, l'ouvrage Exigeons de meilleures bibliothèques de Lankes adresse une question importante d'adaptation des bibliothèques à de nouvelles pratiques de lecture et d'appropriation de la culture.

    9. Comment s’organisent les enjeux de valorisation et de transmission des institutions culturelles face aux pratiques d’appropriation des publics ?

      C'est une question que nous considérons aussi (tant primordiale que épineuse) dans notre projet : et notre point de vue est de considérer les pratiques d'appropriation comme des actions qui sont des valorisations et des transmissions patrimoniales, autant parce qu'elles diffusent ou font acte de mémoire sans le savoir, qu'elles réactualisent un objet.

    10. panthéon littéraire national.

      J'ai l'impression que la question amateur/spécialiste et surtout la revandication d'un patrimoine comme appartenant à l'espace public géré par un collectif est une des problématiques fortes de la réflexion

    11. processus de patrimonialisation du patrimoine littéraire,

      Je pense comprendre l'idée mais cela me semble un peu "méta", dans le sens où cela donne l'impression qu'il y a une réflexion de considérer patrimoine l'idée déjà constituée d'un patrimoine : soit de déplacer le corpus littéraire d'une définition de patrimoine à une autre.

    12. mettant par conséquent en question un des principes fondateurs de Wikipédia et, plus largement de l’écriture encyclopédique qui consiste à diffuser des savoirs établis par ailleurs.

      Je trouve très intéressant l'articulation avec Wikipédia mais cela m'évoque la question ou la réflexion suivante : en tant qu'encyclopédie numérique, Wikipédia est déjà en tant que telle une instance du patrimoine (qui serait un patrimoine scientifique général), donc il y a en fait un modèle ou une conception de ce qu'est un patrimoine (de ce qui le constitue, de comment il se structure, de qui y participe) en amont de la réalisation de Wikipédia. Est ce que la définition du patrimoine du projet rejoint cette modélisation ? la complète ? ou ne la questionne pas ?

    13. patrimoine culturel immatériel

      Je devine que c'est l'expression officielle (mais je la trouve très problématique)

    14. non plus l’État, mais des collectifs complexes regroupant institutionnels et amateurs.

      Je trouve intéressant de penser le collectif ici et l'entreprise patrimoniale comme un espace public.

      Marcello Vitali-Rosati et Eric Méchoulan ont notamment publiés leurs échanges sur la question de l'espace numérique : http://sens-public.org/articles/1312/

    15. commémorer l’auteur

      Il ne me semble pas retrouver cette thématique dans ce qui suit.

    16. matérialité de ces mises en scène numériques, nouveaux “lieux de mémoire virtuels” (Beaudouin, 2018 : 6)

      Également ici, l'adjectif virtuel laisse penser à une immatérialité

    17. l’analyse sémio-pragmatique de contenus en ligne avec une approche sociologique qui permet de souligner les interactions entre les sujets et institutions à partir des entretiens menés auprès des professionnels et amateurs ayant participé à ces actions

      Est-ce qu'il y a une grille de critères pour cette étude des interactions ?

    18. de l’énonciation éditoriale du dispositif qui rend ainsi opérant le statut patrimonial des œuvres concernées.

      Dans la réflexion de Souchier, l'énonciation éditoriale apparaît davantage comme une revandication politique et épistémologique d'une matérialité du texte (pour considérer son inscription matérielle tout comme la présence de plusieurs acteurs autre que l'auteur dans le processus). Est-ce que ces dimensions sont adressées dans l'idée d'un patrimoine littéraire ?

    19. remédiatisation

      Le terme me fait écho directement à la notion de remédiation par Bolter et Grusin (Remediation: Understanding new media) -- à savoir le passage d'un média à un autre média -- mais je crois qu'il s'agit ici davantage d'une re-communication autour d'un objet culturel.

    20. le recours à Wikipédia pour valoriser des collections patrimoniales

      Est ce que le projet a donné lieu à la création de pages wikipédia, leur enrichissement ? ou même un espace wiki parallèle ?

    21. être culturel que constitue la littérature s’autonomise en unité patrimoniale symbolique,

      Je ne suis pas sûre de saisir parfaitement l'extrait ici : mais il me semble déceler la distinction entre unité et collectif dans la réflexion.

      Qu'est ce qu'une unité patrimoniale symbolique ?

    22. patrimoine écrit, soit un ensemble d’objets tangibles conservés par les bibliothèques, en patrimoine littéraire, soit un ensemble d’idées et de valeurs associé à des textes selon la logique transformatrice et créative de la trivialité (Jeanneret, 2014 : 15).

      Ce passage d'une instance patrimoniale à une autre fait presque penser que la bibliothèque n'est pas déjà le lieu d'un patrimoine littéraire et que le patrimoine littéraire est un ensemble plutôt abstrait qui n'a pas d'inscription géographique.

    23. matérialisation et à la diffusion du concept de patrimoine littéraire “à travers l’espace (infini) du web” (Alix, 2008) tout comme les maisons d’écrivain ou les promenades littéraires permettent de rendre tangible celui-ci dans un paysage et son territoire (Labbé, 2020).

      J'ai l'impression en lisant voir une opposition entre matérialité et numérique (qui serait alors compris comme immatériel)

    24. “injonction à écrire, non pour transcrire un autographe difficile à déchiffrer, mais pour marquer de sa propre graphie, et sur un support d’usage intime, un énoncé rendu public, devenu appropriable par voie d’affichage…” (ibid.)

      La réaction de Georges Thiébaud qui a été décrite plus haut mise en lien avec ce passage permet je pense d'adresser la problématique de l'appropriation et d'un certain conservatisme/protectivisme culturel : avec le numérique et l'accessibilité massive donnée à des corpus auparavant plus difficiles d'accès, on voit un phénomène large de détournement ou d'appropriation où la frontière entre amateur et spécialiste s'estompe.

    25. pratiques d’écriture et d’enregistrement du réel qui voit ainsi se diffuser la machine à écrire et les techniques photographiques.

      Cela m'évoque des passages dans Understanding media : The extension of man de McLuhan où il développe l'importance de la commercialisation de médias comme la machine à écrire dans un phénomène d'appropriation et de compréhension de médias comme le texte.

    26. d’énonciation éditoriale,

      Est-ce selon la réflexion de Souchier ?

      Référence : Souchier Emmanuël, « L'image du texte pour une théorie de l'énonciation éditoriale », Les cahiers de médiologie, 1998/2 (N° 6), p. 137-145. DOI : 10.3917/cdm.006.0137. URL : https://www.cairn.info/revue-les-cahiers-de-mediologie-1998-2-page-137.htm

  6. Mar 2022
    1. texte/image/édifices

      texte = synthèse image = gravure édifices = ?

      Je ne suis pas sûre du correspondant d'édifice.

    2. Reste que pour bien faire, dans le monde idéal du chercheur engagé dans un projet d’édition numérique de ce type, le temps devrait se dédoubler, pour permettre conjointement le travail de recherche critique et historique sur le texte et la réflexion poussée sur son exploitation numérique.

      Il semble cependant que dans l'expérience les deux se soient réunis en une même dynamique d'expérimentation et de recherche collaborative

    3. l’exposition des images (dont on n’a pas parlé ici)

      justement est ce que ces images ont posé problème lors de l'édition numérique, lors de l'annotation ? Est-ce qu'elles ont généré des dynamiques à elles seules dans l'entreprise collaborative ? ou des défis particuliers ?

    4. Ce sera tout le travail de l’équipe resserrée des éditeurs, à partir de la récupération des commentaires collaboratifs depuis Hypothesis.

      sous quel format ? encodage en TEI ? et si oui est ce que justement la réflexion sur un balisage spécifique en TEI pour rendre compte du processus d'annotation et de son hétérogénéité est prévu ?

    5. documentariser

      Peut-être placer ici la référence de Zacklad et développer un peu cette approche

    6. achève de superposer le flux des échanges oraux (par ailleurs captés en vidéo) avec le flux d’annotations numériques,

      L'utilisation d'Hypothesis me semble ici aller vers un outil critique scientifique d'enrichissement, ça me fait penser notamment à la structure de l'édition augmentée en html des Ateliers sens public, je mets ici le lien vers le groupe d'édition : https://ateliers.sens-public.org/fabrique-de-l-interaction-parmi-les-ecrans/introduction.html

    7. format prototypai

      prototypal ?

    8. l’allusion brève, l’association d’idée, le « lien faible » (Mellet 2020)

      Est ce que ce type traduit la résonnance du corpus ? le réactualise plutôt ? ou est d'un tout autre ordre ?

    9. un typologie simplifiée:

      Est-ce que cette typologie se double d'une diversité de types de contenus ? (images, vidéos, musiques)

    10. une synthèse des annotations mensuelles afin de baliser et orienter efficacement une partie de la discussion orale, à partir des remarques, des questions et des commentaires postés par les collègues.

      Est ce que le système de tags d'Hypothesis a été utilisé ?

    11. quoique d’un usage pas toujours intuitif,

      Pourquoi ? en quel sens ? (je suis intéressée à avoir des précisions, d'autant plus intéressant d'en parler ici)

    12. ont critiqué une méthode par « saucissonage » du texte, sans comprendre que notre chapitrage ad hoc (nous avons déterminé des sections d’une trentaine de pages) n’avait d’autre but que de permettre, dans la double contrainte du calendrier et du collectif, de tourner l’une après l’autre et ensemble, les 240 pages du livre en un an et demi.

      Est-ce que cela veut dire que les chercheurs ont lu d'une traite l'entièreté de l'ouvrage en dépassant la temporalité prévue par l'édition ? Ce serait un phénomène intéressant en effet qui lie enjeux de partage/diffusion avec enjeux du collaboratif/commun.

    13. lecture collective continue, exhaustive, et suivie de cet ouvrage aux allures de monument

      En quel sens continue ? Avez-vous une exemple qui illustre cette continuité ?

    14. du même support textuel

      Je serai curieuse d'en savoir plus sur ce partage à l'écran : est-ce que c'est la projection du texte sur un écran visible par tous les chercheurs présents, ou le partage entre les différents individus qui l'ouvrent simultanément sur leur différentes machines ? si tel est le cas, le terme support peut être à double tranchant parce que le support physique d'une page en ligne c'est aussi l'interface machine.

    15. le sens ne se révèle justement que par jeux d’échos et de réseaux

      Est-ce que l'édition HTML comportait justement des hyperliens pour valoriser ces échos ?

    16. d’un régime textuel littéral à un régime numérique

      Comme la suite de l'article ne semble pas traiter de la dimension technique de l'édition numérique, je comprends que régime textuel littéral concerne en fait le format de structuration et de diffusion plus que la structure interne (sinon il faudrait ajouter un développement sur la conception de l'édition en html du texte). Je pense que format textuel serait peut-être plus clair.

    17. leur éditorialisation dans un appareil critique définitif.

      ici le terme d'éditorialisation me semble employé au sens d'édition (au sens de structuration, valorisation et diffusion de l'information) ou même à celui de remédiation (passage d'un contexte médiatique à un autre). Voir peut-être au sujet de la remédiation : Remediation: Understanding new media de Bolter et Grusin.

    18. des régimes textuels (littéral et numérique)

      Littéral au sens de composé de lettres opposé au numérique comme composé de chiffres (0 et 1) ? ou littéral au sens de papier opposé à numérique comme support ?

    19. Qu’on pardonne à ce bon sauvage (les dix-huitiémistes ne se refont pas…) si, par ignorance, il enfonce des portails (numériques) ouverts…

      Je comprends la référence mais je ne pense pas que l'expression « bon sauvage » puisse être employée dans ce contexte précis. (je pense que c'est un terrain un peu glissant) Je conseille de trouver une autre formule, avec un autre imaginaire peut-être.

    20. du client Hypothese.is)

      Détail : on semble s'accorder aujourd'hui pour le nom d'Hypothesis (plus simple à dire et lire)

    21. choix d’éditorialisation définitifs.

      Comme cela n'est pas précisé par la suite, je me permets de demander selon quelle définition l'éditorialisation est ici appréhendée : Merzeau, Vitali-Rosati, Bachimont, Chartron ? Si besoin je peux suggérer des références.

    22. la lecture, l’annotation et la discussion d’un même texte par une communauté invitée et choisie

      même chose ici : je pense que ça serait très intéressant de développer ou préciser la conception de la lecture comme conversation, de prime abord la lecture me semble être une relation au texte mais pas forcément une conversation (peut être lecture au sens d'interprétation et d'analyse ?). Dans le cas d'une lecture collective, en revanche on se rapprocherait davantage de la conversation et du collaboratif.

    23. les échanges vivants, le texte partagé en ligne

      Est-ce que dans ce développement le fait de partager le texte en ligne est conçu lui-même comme un pôle de discussion et surtout en quelle mesure il est considéré ainsi ? Il me semble que si la dimension conversationnelle est claire pour les annotations et échanges directs, elle l'est moins pour le partage d'un document entre plusieurs individus qui répond davantage à une dynamique de diffusion.

    1. Le chat est parfois un espace d’échanges autonomes, dont les participant·e·s ne cherchent plus le relais vers l’interaction groupale globale.

      C'est un point intéressant de penser qu'une des fonctionnalités du dispositif de mise en relation produit une présence parallèle, qui peut même gêner l'échange par l'image. On pourrait aussi le voir comme une extension de l'interaction.

    2. Caroline  lui demande la permission de déplacer le Kubi : « Tu veux que je te tourne ou pas ? Je ne veux pas être impolie ».

      Cette situation me fait penser (c'est une référence externe et un peu éloignée) à un épisode de la série Black Mirror (saison 4 épisode 6)où la conscience d'une femme est déplacée dans une peluche, limité à des interactions binaires (exprimer sa joie ou son malheur) et déplacée sans liberté ou pouvoir de mouvement. C'est un scénario dystopique bien entendu.

    3. Ceci se traduit par exemple par la difficulté, pour les participant·e·s dans la salle de séminaire, de savoir précisément sur quoi se porte le regard du·de la participant·e distant·e.

      C'est un point que présente aussi Giuseppe Cavallari dans Performativité de l’être-en-ligne. Pour une phénoménologie de la présence numérique, (2018 p. 249-50) et que je reprends (ici) : selon les dispositifs et le placement de la caméra, l’individu ne peut pas savoir si je le regarde, car pour m’adresser un regard, il doit regarder la caméra et ainsi ne me voit plus ; inversement, pour voir son regard, je dois regarder son image et ainsi ne le regarde plus. Cavallari interprète ce phénomène comme positif : ainsi l’autre n’est plus dérangé par l’image de son interlocuteur·ice.

    4. « lieux satellitaires »

      Est-ce que la multiplicité des lieux satellitaires ici est due à la diversité des dispositifs de téléprésence (robots de téléprésence ou logiciel de visioconférence) ou simplement au fait qu'il y a plusieurs individus connectés séparemment ?

  7. Nov 2021
  8. Sep 2021
    1. Pour ne pas le reconduire indéfiniment, un certain nombre de gestes s’imposent : arrêter la voiture, marcher parmi les fleurs sauvages, s’en approcher, les observer attentivement. De cette manière, il devient possible de franchir le seuil d’intimité avec le végétal et de combler le fossé qui sépare la plante de l’humain.

      peut-être que pour clore le mouvement du texte, vous pourriez finir sur un bout de récit des bas-côtés ?

    2. Le bord des routes est un paysage en mouvement

      c'est peut-être intéressant de comprendre le lien entre les deux, au fond c'est la route qui a envahit un espace qui était celui des plantes, et les plantes des bas-côté font changer en retour le payasage de cette route à chaque saison

    3. herbes folles

      déjà le terme est intéressant à questionner : folles, envahissant, invisibles

    4. phragmite,

      est-ce qu'il serait envisageable d'intégrer des images ou des dessins de certaines plantes, aussi pour les rerendre visibles aux yeux du lecteur ?

    5. Les plantes étaient tellement invisibles que même le mot « invisibilité » avait disparu

      peut-être qu'invisible peut être abordé aussi comme "ne voulant pas être vues"

    1. Canyon invitant Louise à plonger la voiture dans le vide.

      est ce qu'on peut y voir une conquête du bas-côté ? cet espace où il y a encore une place de liberté.

    2. non pas à cause de la route, mais à cause de ceux qui la surveillent, la contrôle, la polissent.

      peut-être un parallèle peut être établi entre l'espace de la route, un espace masculin surveillé par le masculin, un lieu normé et blanc, un lieu contrôlé par la figure du dominant, et l'espace de la littérature.

    3. On aime dire (encore aujourd’hui) que les femmes ne savent pas conduire, ou qu’elles conduisent mal.

      peut-être qu'on le dit justement pour leur faire croire qu'elles ne peuvent pas partir et être mobiles par elles-mêmes, se conduire elles seules.

    4. après le premier accident,

      Ça me fait penser aux figures des couples mobiles ou en cavales (Thelma et Louise, Bonny and Clide), est que cet amour aurait été différent si vous aviez appris à conduire au sens où savoir conduire c'est aussi pouvoir à tout moment prendre sa voiture pour s'en aller vers une autre direction ?

    5. de Françoise  Sagan,

      est-ce qu'on peut ajouter d'autres figures des "renversées ou accidentées des bas-côté" comme Grace Kelly ou Lady Di ?

    6. Une sorte de suspension.

      il est intéressant de penser la suspension ici dans le mouvement qui n'est plus en soi mais à l'extérieur.

    7. Comme si Weinman ralentissait la voiture de la littérature pour qu’on voit bien ce qu’il y a sur le côté de la route, dans ce théâtre qu’est le bas-côté.

      peut-être un parallèle entre le ralentissement de Weinman, l'accident de Sally, et être conduite soi en tant que lectrice

    8. La vraie Lolita est un détail alors que la fausse Sally Horner est devenue un archétype

      je trouve cette enchainement vrai/faux un peu flou

    9. que je lis devant vous aujourd’hui,

      peut-être un reste d'oralité à enlever ou à reformuler

    10. aurait inspiré Nabokov à terminer un manuscrit avec lequel il se débattait depuis une décennie, un manuscrit qu’il avait essayé de mettre au feu deux fois.

      est-ce qu'on en sait plus sur l'aide de Sally pour Nabokov ?

    11. cette recherche n’aboutit à rien d’autre qu’à l’inspiration qu’a été la petite fille kidnappée. Nabokov a entendu parler de ce fait divers, et ce détail-là, dans le tissu de ses journées, lui a permis de finir son livre.

      si le livre de Weinman "n'avance pas", est-ce qu'on peut envisager de voir ce mouvement comme le destin de Sally sur la route ?

    12. son épouse, Véra,

      Véra est-elle une femme de plus sur le bas-côté ?

    13. chair à canon

      L'expression est souvent associée dans la pensée collective au corps masculin, peut-être qu'un parallèle ou un développement pourrait-être intéressant.

  9. Aug 2021
    1. http://anthologiagraeca.org/passages/urn:cts:greekLit:tlg7000.tlg001.ag:5.54/↩ https://archive.org/stream/greekanthology01pato/greekanthology01pato_djvu.txt↩ http://anthologiagraeca.org/passages/urn:cts:greekLit:tlg7000.tlg001.ag:5.80/↩ http://anthologiagraeca.org/passages/urn:cts:greekLit:tlg7000.tlg001.ag:5.81/↩ http://anthologiagraeca.org/passages/urn:cts:greekLit:tlg7000.tlg001.ag:5.54/↩ http://digi.ub.uni-heidelberg.de/iiif/2/cpgraec23%3A116.jpg/pct:71.31923716657752,18.746891554783033,11.735971842585453,1.9558839508855792/full/0/default.jpg↩

      tu peux insérer les hyperliens directement dans le texte : [texte](lien)

    2. dont

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    9. Une anthologie est composée par des unités discrètes rassemblées, elle est une unité qui prend autres éléments unitaires et les réorganise.

      cette définition serait utile plus haut dans le document

    10. au

      pour le

    11. n plus, Anthologia apporte une édition numérique d’une œuvre classique, l’Anthologie Palatine.

      peut être expliquer en quoi cela est important pour la discipline des digital classics

    12. donnes

      données

    13. plateforme

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    21. @[waltz_anthologie_1928] et de Stadmüller @[planudes_anthologia_1894

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    28. @[noauthor_iiif_nodate].

      idem

    29. Puis, le centre du IIIF est le IIIF Manifest, un package où sont placées toutes les informations essentielles de l’item.

      il manque un verbe ici

    30. Rendre possible

      Permettre

    31. @[noauthor_iiif_nodate]

      le bibtex ici est mal renseigné

    32. à

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    34. à Anthologia et à

      présentes dans .. et dans

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    36. remettent

      s'associent les unes avec les autres

    37. au cas de

      dans ce cas-ci

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    42. Heidelberg

      il faudrait présenter rapidemment la librairy palatine d'heideberg

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      permettent d'aider

    47. au

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    48. . À

      à partir de

    49. Anthologia

      la plateforme

    50. mais le texte grec que le traducteur écossais a établit.

      le mais ici ne semble pas être utilisé correctement

    51. Son source

      sa

    52. C’est

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    53. à

      dans la plateforme

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      que revient la taĉhe

    56. P. L’édition est collaborative parce que les utilisateurs font des collaborations.

      lier les deux phrases

    57. dont

      que

    58. à cause de

      grâce à

    59. à

      dans

    60. remédie

      comme tu utilises le terme souvent, il serait intéressant de le définir en début du document

    61. Waltz et al

      idem pour la répétition de l'auteur

    62. une commande informatique.

      peut être préciser laquelle

    63. qu’on copie l

      la copie du

    64. que

      qui

    65. (Paton

      pas nécessaire la répétition du nom de l'auteur

    66. possibles

      disponibles ou représentées

    67. à Anthologia,

      pour

    68. ns à

      dans

    69. eprend

      récupère