190 Matching Annotations
  1. May 2025
  2. Dec 2024
    1. for - TED Talk - YouTube - A word game to convey any language - Ajit Narayanan - potential source - Deep Humanity - BEing journeys in language - appreciation of inhabiting the symbolosphere // - Summary - An interesting idea of teasing out the data structure behind language - This could be a rich area to explore for Deep Humanity language BEing journeys to help people gain deeper appreciation of their own amazing language abilities - as well as gain an appreciation for the enormous amount of time our life is spent in the (relative) symbolosphere

  3. Jul 2024
    1. Really appreciatie your suggestion. We hesitated between this solution and the one where the landing page auto-redirects/posts to the next page. I think both are good solutions. Yours a bit more secure. The other less clicks and less friction for the user.
  4. Dec 2023
    1. THANK YOU! I gave up on this a long time ago but today I had to complete the project. I came back here intending to post this question again and found your answer. It was exactly what I was looking for. THANK YOU!
  5. Oct 2023
    1. I just want to tell you how wonderfully helpful, thorough, and precise your reviews are. I really appreciate them, and finding this review has led me to read others of yours. I don't think I've ever read a better review. Thank you!
  6. Sep 2023
  7. May 2023
  8. Mar 2023
  9. Dec 2022
  10. Sep 2022
  11. Aug 2022
  12. Nov 2021
  13. Sep 2021
  14. Aug 2021
  15. Jun 2021
  16. May 2021
  17. Apr 2021
  18. Mar 2021
  19. Feb 2021
  20. Dec 2020
  21. Nov 2020
  22. Oct 2020
  23. Sep 2020
    1. But I just want to say npx is lame. It should have been npm run or npm exec or something.

      They apparently don't appreciate the brevity of npx for something that you probably will run often. Would you also prefer to type out node package-manager instead of npm every time you currently type out npm??

  24. May 2020
  25. Nov 2019
  26. stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
    1. Le numérique entraîne donc des pratiques différentes que ce soit dans la manipulation du texte qui change grâce aux multiples mises en forme qu’il amène ou que ce soit dans la conception du texte et de la compréhension de son sens. Les réseaux d’éléments intra et inter-textuels du numérique sont perceptibles dans ce type de format ce qui rapproche de cette notion du texte vu comme un tissu, d’où le terme « texture » utilisé dans le titre de l’article « Textes et textures numériques ».

      très bonne synthèse du propos de l'auteure.

    1. mais si c’était l’inverse qui se produisait ? Et si au contraire la littérature va connaitre une nouvelle révolution qui se rapproche plus du « peer to peer » ?

      j'aurai aimé que vous développiez davantage ces questions

    2. par exemple l’alimentaire où les consommateurs rejettent de plus en plus les géants de la distribution et préfèrent revenir à un mode de vie plus local.

      je ne suis pas sûre de cette comparaison ... cela ne plairait pas trop aux passionés de l'édition

    3. penser que l’auteur toucherait un pourcentage plus important pour son œuvre puisque les frais de publications sont réduits. Et pourtant, comme l’explique Joanie Grenier, les 10% de revenu pour l’auteur restent les mêmes que ce soit dans le monde réel ou numérique, ce qui me parait un peu injuste.

      c'est un point intéressant, peu commenté en général, mais que vous auriez pu développer

    4. Et pour ça il a fallu développer des nouveaux procédés, des nouvelles technologies sécuritaires pour effectuer cette transaction virtuelle dans les meilleurs délais et dans les meilleures conditions.

      il aurait été intéressant de lier ce point avec le propos de l'ouvrage : l'auteure présente t-elle une image du numérique comme immatériel ? quel système d'organisation physique de la diffusion avance-t-elle ?

    5. Alors que tout au contraire, le matériel reste bien présent puisque même si l’on a plus de livres physiques, les livres numériques représentent tout de même un volume assez important que l’on doit stocker

      merci ! (ouf je suis soulagée)

    6. En tant que consommatrice et de grande amoureuse des livres, je n’ai jamais vraiment adhéré au concept de la littérature en ligne, malgré l’attrait de la facilité et de la rapidité d’accès au contenu. J’ai choisi cet article pour justement en découvrir un peu plus sur les enjeux que comportaient la distribution de livres sur internet, car en tant que consommateur on ne pense généralement pas à l’envers du décor.

      c'est une entrée en matières intéressante mais le ton est un peu trop personnel : dans un compte-rendu, on attend moins un avis personnel (s'énonçant comme subjectif), qu'une discussion scientfique (se souhaitant objective).

    7. Propos de l’ouvrage

      la structure logique de l'ouvrage n'est pas assez claire, vous décrivez bien les éléments qui la composent (en les détaillant bien) mais votre développement manque de fluidité pour saisir le lien entre les éléments de l'article.

    8. en effet, toutes les données récoltées servent aux différentes stratégies marketing les plus efficaces sur le web. [(???); page 7]

      ce point aurait mérité un petit développement On conseille de placer la référence à l'intérieur de la phrase, avant le point final.

    9. Le principal but de cet article est de connaitre et d’en savoir un peu plus sur les principaux modes de distribution de livre au Québec et dans le monde, depuis l’arrivée du numérique.

      en prenant un cas d'étude en particulier

    1. En croyant que le web pourrait devenir la manne démocratique, l’auteur a oublié de remettre en question son architecture qui est davantage susceptible, dans sa forme actuelle, de reproduire les rapports de pouvoir et d’inégalités existants.

      bon point de critique en effet.

    2. etrouver sur le réseau et ainsi être examiné par un public à la place d’un comité restreint, il s’agirait d’un retour à l’esprit artisanal de l’édition qui, d’un point de vue démocratique, permettrait de combattre la censure. Cette perspective doit aussi s’opérer dans l’industrie musicale où le format numérique rend toute tentative d’un nouveau modèle économique viable difficile ; l’idée ne serait donc pas d’adopter une approche restrictive en matière de droits d’auteurs, mais plutôt d’accepter que la musique soit « copiée » et « échangée » avec comme postulat que les copieurs sont également de forts acheteurs et que des revenus devraient ainsi naturellement en découler. L’auteur suggère que des politiques favorisant la diversité culturelle (canaux et média-planneurs) doivent être complémentaires si l’on veut garantir le succès de cette approche. La sphère médiatique n’est pas épargnée, incarnée par la figure du journaliste, une crise de crédibilité force la presse à se réinventer et autrement que par sa plus simple expression, soit son rôle de « témoin ». Si l’omniprésence d’appareils et de capteurs pourrait nous laisser croire que le journaliste est devenu obsolète, elle ne suffit pas à produire du sens autour d’un événement qui demande lui-même à être identifié et contextualisé. Dans ces circonstances, la presse ne perd pas sa pertinence ; elle se doit d’enrichir l’information, de « secouer les pouvoirs par des questions dérangeantes, confronter les idées et redonner confiance aux multitude ».

      ces points sont intéressants et bien présentés mais manquent des connecteurs permettant une fluidité de la lecture

    3. La thèse de Le Crosnier n’aspire pas à nier l’existence de changements qui sévissent dans les rapports de production ; il en va plutôt de déconstruire l’idéologie californienne qui, sous toutes ses belles prétentions, est soupçonnée de se servir de ce basculement pour réorganiser les rapports de pouvoir à son avantage et ainsi, faire reculer les acquis démocratiques

      bonne synthèse

  27. stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
    1. Les oeuvres basculent dans le domaine public après un certain nombre d’années qui diffère selon chaque pays (par exemple en France les droits d’auteurs sont en vigueurs jusqu’à 70 ans après la mort de l’auteur, tandis qu’au Québec, ces droits sont valable jusqu’à 50 ans après la mort de l’auteur). Mais il n’est pas impossible que la copie d’un livre du domaine public au Québec soit accessible depuis la France. L’accessibilité du livre numérique, en ce sens, pose problème.

      C'est un point intéressant mais on quitte un peu trop le propos de l'article

    2. Dans cet article, Joanie Grenier cherche à définir le rôle du distributeur numérique dans l’industrie du livre numérique et sa place dans la chaîne éditoriale. Cet article veut également clarifier le circuit du fichier numérique entre l’éditeur, le distributeur et le lecteur.

      On attendrait la présentation de la structure de l'article en synthèse.

    3. Comme indiqué dans l’intitulé, cet article tente d’expliquer comment fonctionne une plateforme de vente de livre en ligne, et quel chemin parcours le fichier depuis le site vendeur jusqu’au lecteur.

      au travers d'un cas d'étude en particulier.

    1. Dans leur texte « Édition électronique », paru en 2011 dans la revue Communications, Marin Dacos et Pierre Mounier affirment que la massification des usages des technologies numériques en réseau n’a été posée qu’assez récemment dans le débat public. Ces polémiques mènent à constater que l’acte éditorial, celui qui, par-delà le geste d’un auteur, construit l’œuvre et la fait connaître, semble menacé, entre autres, par la « désintermédiation », c’est-à-dire la disparition de l’intermédiaire éditorial dans le circuit de diffusion de l’information. Ils continuent en soutenant que plutôt qu’à la disparition de la position éditoriale, c’est à sa transformation qu’il faut penser.

      Il aurait été attendu que soient présentés les auteurs.

    1. Récemment le concept d’ « uberisation » popularisé par Maurice Lévy témoigne de la relation directe entre professionnel et client (« acteur » et « lecteur ») avec l’utilisation des NTIC qui bousculent encore les intermédiaires.

      ce point aurait mérité à être développé davantage

    1. Tout au long de l’article, il est énoncé que De Marque est un acteur incontournable dans l’industrie du livre numérique autant sur le marché local qu’international. Dès le début de l’article, l’auteure mentionne qu’au Québec, il n’y a que trois structures de distribution numérique. Mais qu’en est-il sur le marché international ? Ayant une présence importante hors Québec, il serait intéressant d’analyser quels sont les concurrents de De Marque et quels sont ses liens avec eux ? Comment se positionne-t-il face à eux ? Par exemple, quelles sont les forces et faiblesses de De Marque et de sa plateforme Cantook face à Numilog (France) ou Primento (Belgique) ? Compte tenu de l’importance du marché international, cette analyse est essentielle pour avoir une vue d’ensemble et bien définir le rôle et le fonctionnement d’un distributeur numérique.

      vos questions sont pertinentes et documentées. C'est une très bonne critique constructive.

    1. Hayles, quand on prend cet article dans son contexte historique, mérite que l’on s’y attarde, mais mériterait qu’on y ajoute, telle une anthologie, les différentes compréhensions et perspectives numériques qui existent actuellement.

      très bon passage

    2. Le paysage littéraire ou l’existence de l’expression par le biais de l’écriture existe d’une façon moins simpliste que ce qui a été amené dans cet article.

      votre point est très original et subtil, bravo !

    3. Si l’un croit que le numérique est démocratisé, l’un oublie que celui-ci n’existe pas d’une manière aussi immédiate pour tous et de croire qu’on puisse s’exprimer librement par ce biais et qu’on puisse contribuer à une expression universelle et partagée me semble un peu utopique et trop optimiste.

      vous avez en effet raison mais le ton un peu trop personnel de cette affirmation gêne : il aurait été préférable de proposer des exemples pour assurer davantage votre argument.

    4. Par exemple, l’hypertexte, qui peut être considéré comme étant exclusif à l’écriture électronique, peut exister sous une forme alternative dans un codex, comme sous la forme des notes de bas de pages, des annexes ou des références externes au texte d’origine.

      bon point

    1. Nous avons soumis quelques-unes de ces questions à Jean-François Bouchard, président des Éditions La Presse, qui nous a affirmé que les ventes de livres numériques sont très marginales par rapport aux ventes totales de sa maison d’édition. Il nous a également confié que le géant Apple représente le meilleur canal de vente des Éditions La Presse (des informations commerciales qu’il nous demande de ne pas diffuser au-delà de ce travail)

      investissement particulièrement intéressant dans votre critique.

    2. On pourrait croire que l’avènement du livre numérique a libéré auteurs et éditeurs de la plupart des contraintes associées à l’édition traditionnelle. Pourtant les enjeux d’espace, pour ne nommer que ceux-là, demeurent bien réels et s’il est vrai que le monde entier devient accessible à l’éditeur de livres numériques, ses publications peuvent très facilement demeurer quasi invisibles dans l’immensité de l’offre.

      bonne contextualisation

    1. Le but des entretiens est d’ « enrichir [une] réflexion au prisme d’autres cultures - disciplinaires, générationnelles, philosophiques » (Ibid.). En d’autres mots, selon le niveau de connaissances des wikis de chaque membre du projet, les auteurs désirent connaître l’opinion de ceux-ci à l’égard de l’utilisation des wikis comme outil de gestion de travail. Leur objectif prend en considération que le wiki est efficace pour l’édition numérique et le travail collaboratif, mais ils s’orientent davantage sur les impacts que celui-ci aura sur la gestion de l’équipe de recherche.

      votre synthèse se concentre un peu trop sur la partie des entretien du chapitre.

    2. L’objectif est de présenter le wiki comme étant un outil de gestion propice aux recherches dans ce domaine et que celui-ci aide à l’établissement d’une harmonie dans le travail d’équipe.

      bonne synthèse

    3. Depuis l’avènement du Web 2.0, les utilisateurs sont sollicités à participer sur des plateformes dans l’idée de collaborer dans la création de contenu. Que ce soit à des fins personnelles ou à des fins saventes, les plateformes de collaboration permettent un partage d’informations et de connaissances parmi les individus d’une ou de plusieurs communautés virtuelles (Marcotte 2009). En se concentrant sur les communautés savantes, plusieurs plateformes d’édition numérique se sont développées pour avoir à disposition des outils prônant la contribution de plusieurs individus. Un de ceux-ci se trouve à être l’utilisation des wikis comme plateforme d’écriture et d’édition collaborative. Par sa définition la plus simpliste, un wiki est un « site web collaboratif où chaque individu visiteur peut participer à la rédaction du contenu » (« Site Wiki » 2004).

      bonne mise en contexte

    1. Le sixième chapitre du collectif Expérimenter les humanités numériques traite de la technologie wiki. Les deux auteurs de « Wiki, boîte à outils ou de Pandore? » sont des maîtres de conférences et des enseignants chercheurs qui s’intéressent au traitement de l’information et au numérique. Dans ce texte, ils présentent le wiki, non pas comme un simple espace d’écriture collaborative, mais comme un outil efficace pour la recherche en sciences humaines et sociales. Chagnoux et Humbert montrent que le wiki peut dépasser les fonctions auxquelles il est habituellement associé et jouer un rôle crucial dans le travail des chercheurs. Les auteurs illustrent leurs propos à l’aide d’exemples, de descriptions des outils du wiki et de témoignages de membres du projet Publictionnaire.

      très bonne contextualisation de l'ouvrage et des auteurs

    1. Pour finir l’objectif est également de faire comprendre que l’édition numérique n’est que le produit d’une évolution culturelle et que sans le développement des téléphonnes, des ordinateurs, du web et d’Internet, l’édition numérique et électronique ne serait pas ce qu’elle est. Ce texte permet de mieux comprendre et mieux réaliser certains faits et la corrélation entre différents secteurs et évolutions au sein de la société. Un texte est toujours le reflet d’une époque.

      Ceci est votre conclusion et elle est très bonne

    2. Bien que la lecture de cet article soit particulièrement accessible, elle sous entend tout de même un langage professionel et avancé, qui relève de la connaissance, non négligeables

      ce point est un aspect qui aurait pu alimenter davantage votre critique

    3. forcément une tentative d’explication de cette ère du numérique ainsi qu’une glorification de ses vertus et capacités qui sont réels.

      ce choix peut certes sembler cohérent mais il n'est pas systématique chez les chercheurs en numérique.

    4. Des enjeux tels que les conséquences de la massifications des usages de technologies numériques, la remise en cause du status de l’éditeur et son rôle au sein d’une ère numérique, ou encore les rapports conflictuels entre édition numérique et édition classique, constituent les grandes lignes de cet article. Cet article propose également une explication culturelle, politique, sociale ainsi qu’économique du processus de l’édition électronique. De la mème mânière qu’il propose une fresque socio-historique des débuts de l’édition numérique et son parcours dans le temps.

      bonne présentation du propos de l'article

  28. stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
    1. rémédiation; von Neuman; commentaire la distinction entre ce qui serait ou ne serait pas possible sans ordinateurs; il ne s’agit pas ici de proposer une analyse exhaustive de cette œuvre : je vais me limiter à identifier et discuter certaines de structures littéraires…

      cités ainsi (sans guillemets ni contextualisation), ces exemples ne sont pas assez probants : on ne comprend pas en quoi ils sont des inepties. Il aurait été préfrable de se recentrer sur deux exemples pour les développer davantage.

    2. Organization, ce qui est pertinent par le caractère institutionnel de l’organisme, mais aussi car cette définition incomplète permet à Vitali-Rosati de construire sa propre définition, en complétant ses apories.

      bon point qui situe déjà le propos de l'article

  29. stylo.ecrituresnumeriques.ca stylo.ecrituresnumeriques.ca
    1. Dans un autre ordre d’idée, il serait intéressant de se pencher sur le mythe de la fin du livre. Aussi, un autre sujet préoccupant l’accompagne. Il concerne les technologies de l’information (TIC) et les data-centers qui consomment beaucoup d’électricité. Cette consommation d’énergie n’est pas toujours écologique. je me demande de quelle manière la consommation des humanités numériques est-elle plus responsable que la production de papier (et de livres) dans un monde où l’on stocke nos données de plus en plus de façon virtuelle alors que ces données doivent se matérialiser quelque part.

      ces points auraient dus se retrouver dans la partie critique

    2. les liens intra et inter-textuels enrichissent le contenu, mais ils enlèvent la concentration accrue qu’un lecteur a en lisant un texte imprimé unique.

      cet argument est relatif : en effet dans des éditions savantes et critiques, le texte est enrichie de notes qui se trouvent en fin d'ouvrage et sont susceptibles de couper la lecture fluide.

    3. textes numériques se transforment peu à peu en des textures et qu’ils représentent une science complexe qui se détache graduellement de la culture des textes imprimés.

      en effet, refusant une immatérialité du numérique, l'auteure démontre une nouvelle matérialité du texte, donc une matérialité du numérique.

    4. L’autrice explique que les avantages avec les textes numériques sont qu’ils permettent une accessibilité directe avec les liens intra et inter-textuels dont un texte se compose dans sa propre textualité.

      bien

    5. La thèse principale de l’ouvrage est que le texte imprimé ne remet jamais en cause la matérialité du support puisque le lecteur ne peut jamais oublier qu’il est présent.

      bonne présentation de la thèse

    6. son but est de recenser, de structurer et de mettre à l’épreuve des recherches sémiotiques contemporaines sans avoir de parti prix pour une école de pensée et sans avoir de frontières géographiques spécifiques.

      bonne présentation de la revue et ses enjeux

    1. Mounier et Dacos présentent un aperçu global de cette évolution à travers une description claire et concise favorisant la compréhension de ce nouveau champ en plein essor.3

      Il vous faut savoir que cet ouvrage est daté, et que même l'expression "édition électronique" n'est plus utilisée (même par eux). Cette obsolescence rapide de leur formule aurait pû être un point de discussion de leur ouvrage.

    2. La cohabitation est donc possible tout en accentuant les stratégies de mitigation des risques qui débouchent sur une limitation flagrante pour les métiers de l’édition avec la révolution culturelle.

      C'est votre thèse, elle est intéressante mais il aurait fallu la développer dès le début de la partie critique. Le problème est que l'on vous demande une critique de la thèse de Mounier et Dacos, pas de leur opposer une autre thèse...

    3. achevé par l’écran sur l’autel du progrès et les fanatiques du numérique qui voit le livre numérique comme un simple glissement d’un support à l’autre.

      C'est notamment ce point qui aurait pû être discuté dans votre compte-rendu.

    4. Car même si les contenus en ligne sont accessibles à travers le monde, dans bien des contrées : en Afrique, en Asie du Sud-Est, et en Amérique latine, l’usage de l’internet n’est pas constant en raison de nombreux problèmes d’infrastructure, de communication, de coûts d’utilisation, et aussi des conditions socioéconomiques fragiles des individus qui y vivent.

      C'est un bon point qui vous donnait un argument fort contre la réflexion de Mounier et Dacos qui demeure européo-centrée.

    5. Le monde éditorial est ébranlé par la dématérialisation des supports de diffusion et la pression vers la gratuité d’accès sur les biens informationnels. Il existe une certaine inquiétude face à la perspective de voir Google et Amazon, devenir les grands éditeurs de demain.

      Deux choses : la dématérialisation aurait mérité d'être explicitée ici (le numérique n'est par immatériel) ; les deux phrases s'enchaînent dans lien véritable, il aurait fallu argumenter ou expliciter davantage.

    6. expose une certaine tension entre la culture numérique avec l’idéalisme du partage et de la libre circulation du savoir et la culture imprimée qui est centrée sur l’objet livre (le livre papier).

      bon point

    1. le lecteur aura ainsi le portrait précis d’une discipline et pourra éventuellement déterminer si ces caractéristiques s’appliquent à d’autres types de revues, d’où l’intérêt de cet article.

      bon point : en effet si l'article se concentre sur un type de revues, il développe des enjeux qui sont bien plus généraux.

    2. un des grands sujets de recherche de Vitali-Rosati

      qu'il a notamment aidé (fortement) à instutionnaliser : qui est un point important dans la mesure où il n'oeuvre pas seulement dans cet article à défendre la valeur des revues savantes nativement numériques, mais également à justifier le concept d'éditorialisation et son utilité en tant que concept au sein d'une institution et du processus de création de contenus.

    3. En faisant le choix de l’accessibilité, l’auteur rejoint un public qui ne se limite pas au lectorat universitaire, bien que chercheurs, professeurs et étudiant trouveront assurément de quoi nourrir leur réflexion.

      très bon point sur une universalité du lectorat.

    4. puisqu’une publication qui n’est pas liée à une institution s’appuie sur le travail bénévole de ses créateurs, ce qui pose un certain nombre de problèmes, notamment en ce qui concerne la pérennité de la revue.

      point qui aurait mérité d'être développé davantage pour véritablement expliciter les enjeux politiques : en le liant par exemple avec l'importance des standards institutionnels et des formats.

    5. Vitali-Rosati propose un portrait de la revue savante numérique en trois grands volets. L’auteur examine d’abord les enjeux liés à la numérisation des revues; il analyse ensuite le phénomène des revues créées uniquement pour le support numérique et il conclut en expliquant en quoi la définition de revue savante s’est transformée avec le numérique.

      Il aurait été nécessaire de préciser que l'auteur lie la question des revues savantes dans le média numérique avec une actualité conceptuelle du numérique : le concept d'éditorialisation, qui est un concept principalement natif du numérique.

    6. La création de diverses plateformes de publication électronique de revues permet non seulement de rendre accessible un contenu de façon simple et rapide, mais d’ajouter des informations sur le contenu lui-même, afin de le rendre visible sur le Web. Mais ces nouvelles fonctions amènent aussi une nouvelle problématique, celle de l’incidence du numérique sur la valeur et le sens même des contenus, car la publication électronique d’un document ne peut se restreindre à une simple translation d’une plateforme à l’autre. Et cela parce que l’expérience de la lecture et de l’écriture à l’ère du numérique est bien différente.

      très bon résumé des tensions entre continuité et rupture.

  30. Nov 2015
    1. Like a lot of TV viewers these days, we binge-watch our favorite shows on Netflix, consuming two, three, or more episodes—sometimes entire seasons—at a time. But little do we realize, bingers like us are cheating ourselves out of happiness. Stephen Morris That’s the lesson from new research in the field of positive psychology. What this research shows is that indulging in life’s pleasures in smaller doses, or even giving them up for stretches of time, helps us enjoy them significantly more.
  31. Feb 2014
    1. The conservative influence of property does not, however, depend on primogeniture or even inheritance -- features that gave property a valuable role in Burke's political system as well as in the political theories advanced by Hegel and Plato. n11 Within a single lifetime, property tends to make the property owner more risk-averse. This aversion applies both to public decisions [*291] affecting property, such as taxes, and to personal decisions that might diminish one's property, such as investment strategies and career choices. Inheritance and capital appreciation are only additional characteristics of traditional notions of property that tend to stabilize social stratification.