Probablement parce dans ces contextes, l’on ne risque pas grand-chose à diffuser quelque chose de faux. Et puis surtout parce que l’on ne se préoccupe pas vraiment de la valeur de vérité d’une information car nos conversations sont animées par d’autres motivations et s’apparentent alors davantage à des bavardages cacophoniques mobilisant des registres d’énonciation divers et variés oscillant par exemple de la plaisanterie à la provocation :
l'auteure, formule une hypothèse causale. Cela étant, bien que le graphique montre tous les résultas, l'analyse de tous les types de paroles n'est pas évoquée. Quid de l'information fausse et d'interêt public?