- Dec 2024
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Briefing Doc : La Santé des Enfants dans les Territoires Franciliens
Source : La santé des enfants dans les territoires franciliens : Décryptage des indicateurs en Île-de-France. ORS Île-de-France, 2024.
Thèmes principaux :
- Lien entre la pauvreté et la santé des enfants en Île-de-France.
- Disparités territoriales de santé infantile à l'échelle communale et intercommunale.
- Analyse des indicateurs clés : natalité, mortalité, morbidité et recours aux soins.
- Offre de soins en santé infantile : médecins généralistes, pédiatres, PMI, santé mentale.
Idées et faits importants :
Pauvreté et inégalités :
- Un enfant sur cinq de moins de 11 ans vit en situation de pauvreté en France. (Introduction)
- La pauvreté a un impact direct sur les déterminants de santé tels que les conditions de vie, l'habitat et les habitudes alimentaires. (Introduction)
- Fortes disparités interdépartementales du taux de pauvreté des enfants en Île-de-France (35,9 % en Seine-Saint-Denis contre 14,2 % dans les Yvelines). (Chapitre 2)
Données démographiques :
- Recul de la population des moins de 5 ans en Île-de-France (-10% en dix ans). (Chapitre 3)
- Natalité plus élevée dans les communes les plus pauvres. (Chapitre 3)
- "Plus une commune a un bas niveau de revenu, plus important est son taux de natalité." (Chapitre 3)
Indicateurs de mortalité :
- Augmentation progressive de la mortalité infantile en Île-de-France depuis 2014. (Chapitre 4)
- Disparités territoriales frappantes : la mortalité infantile est plus importante en Seine-Saint-Denis. (Chapitre 4)
- "Le risque de surmortalité infantile est multiplié par quatre dans les intercommunalités les plus pauvres." (Chapitre 4)
- La mort inattendue du nourrisson (MIN) reste un enjeu de santé publique majeur. (Chapitre 4)
Morbidité et recours aux soins :
- Prématurité plus fréquente dans les communes pauvres. (Chapitre 5)
- Prévalence des troubles psychiatriques et de l'autisme en augmentation. (Chapitre 7)
- "Moins de recours aux soins de santé mentale dans les communes moins favorisées." (Chapitre 7)
- Offre de soins en médecine de ville plus importante à Paris et sa proche couronne, mais souvent avec dépassements d'honoraires. (Chapitre 6)
- Recul de l'activité en service de protection maternelle et infantile (PMI). (Chapitre 6)
- "On se demande si, trop sollicités pour des actions de suivi de pathologies chroniques, voire pour des actes curatifs, non assurés par la médecine de ville, ou pour des missions de protection de l’enfance, certains professionnels de PMI ne sont pas obligés de relayer les actes préventifs et de promotion de la santé au second plan." (Chapitre 8)
Recommandations :
- Renforcer les actions de prévention et de promotion de la santé dès le plus jeune âge, en ciblant les territoires les plus défavorisés.
- Améliorer l'accès aux soins de santé mentale pour les enfants, en particulier dans les zones où l'offre est insuffisante.
- Soutenir les services de PMI et leur permettre de se recentrer sur leurs missions de prévention.
- Mettre en place un système de suivi plus précis de la santé des enfants à une échelle territoriale fine.
Conclusion :
Ce rapport met en lumière les inégalités de santé qui touchent les enfants en Île-de-France.
Il souligne l'importance de prendre en compte les déterminants sociaux de la santé et de renforcer les actions de prévention et d'accès aux soins dans les territoires les plus défavorisés.
La mise en place d'un système de suivi plus précis et l'amélioration de la disponibilité des données à une échelle fine sont nécessaires pour mieux orienter les politiques publiques en faveur de la santé des enfants.
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- Dec 2021
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8 60 heures d’aide personnalisée, 24 heures pour les travaux en équipes pédagogiques, les relations avec les parents, les projets personnalisés de scolarisation pour les élèves handicapés, 18 heures d’animation et de formation pédagogique, 6 heures de participation aux conseils d’école.
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b) Étendre le champ des ORS à de nouvelles missions Le temps consacré par les professeurs du second degré au suivi, à l’évaluation et l’aide à l’orientation des élèves, au travail en équipe pédagogique ou pluri-professionnelle, aux relations avec les parents d’élèves, n’est actuellement pas quantifié, bien que ces travaux fassent depuis 2014 explicitement partie de leurs missions. En conséquence, le travail des professeurs en dehors des heures de cours repose aujourd’hui, dans le second degré, sur la seule bonne volonté de certains enseignants,
Il faut approfondir cette question
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