there is a tension in our societies between
for - competing forces - return to isolated cultures / tradition - universality
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Ce document est un rapport du Défenseur des droits, une institution indépendante chargée de défendre les droits et libertés. Intitulé « Amendes, évictions, contrôles : la gestion des « indésirables » par la police en région parisienne »,
il a été rédigé par Aline Daillère et Magda Boutros en avril 2025.
Le rapport analyse les pratiques policières de « contrôle-éviction » et de « multi-verbalisation » visant des populations spécifiques considérées comme « indésirables » dans l'espace urbain parisien.
Thèmes Principaux et Idées Clés :
Politique Institutionnelle d'Éviction des « Indésirables »
Ces catégories sont définies sur la base de l'âge, du genre, de l'assignation ethno-raciale et de la précarité économique.
Outils Policiers d'Éviction : Contrôles-Éviction et Multi-Verbalisation
Les policiers utilisaient des stratégies comme le contrôle d'identité suivi d'une demande de quitter les lieux, l'occupation du terrain, ou la conduite au poste pour vérification d'identité.
Ou bien ils tentaient d’« occuper le terrain » dans le but de contraindre les personnes à partir.
Une troisième voie consistait à conduire les individus au poste de police pour procéder à une vérification d’identité, même lorsqu’ils connaissaient déjà leur identité, « le but étant que lorsqu'ils sont en train d’être verbalisés au commissariat, ils ne perturbent plus les quartiers ». »
Ces amendes répétées peuvent générer des dettes considérables, parfois supérieures à 30 000 euros pour des adolescents ou jeunes adultes.
Profil des Populations Ciblées : Jeunes Hommes Racisés et Précarisés
Ils sont ciblés pour leur simple présence en groupe dans les espaces publics de leurs quartiers de résidence, d'étude ou de travail.
L'analyse des mains courantes policières du 12e arrondissement de Paris montre que les personnes étiquetées comme « indésirables » sont plus jeunes, plus souvent des hommes et plus souvent issues de l'immigration postcoloniale que les autres personnes contrôlées.
Citation : « La perception des jeunes concernés va dans le même sens : les contrôles et verbalisations dont ils font l’objet sont selon eux, particulièrement prégnants entre 15 et 20 ans.
Plus jeunes, ils intéressent moins la police.
Plus âgés, ils redeviennent moins ciblés et expriment le sentiment que la fréquence des contrôles et amendes s’amenuise passé un certain âge (« En gros, ça part avec l’âge »). »
Leur tenue vestimentaire (jogging, baskets, casquette) est également un facteur de suspicion et de ciblage.
Ces jeunes sont souvent verbalisés « en bas de chez eux », à proximité immédiate de leur domicile, et sont connus des policiers, qu'ils soient impliqués ou non dans des activités délinquantes.
Contexte Juridique et Historique Favorisant les Pratiques d'Éviction
Le cadre légal a considérablement étendu le pouvoir discrétionnaire des policiers en matière de contrôle et de verbalisation.
L'amende forfaitaire, initialement conçue pour des infractions routières mineures, s'applique désormais à un large éventail de contraventions et même de délits, donnant au policier un rôle de « juge dans la rue » sans contrôle judiciaire effectif.
Citation : « L’histoire et le cadre législatif des contrôles d’identité et amendes forfaitaires, associés à la faiblesse des contrôles hiérarchiques et judiciaires, facilitent leur usage à des fins d’éviction des populations considérées comme « indésirables ». »
Co-construction de l'« Indésirabilité » par Divers Acteurs
Leurs plaintes, même non vérifiées, déclenchent systématiquement une réponse policière.
Ils opposent « les jeunes » – considérés ici comme n’étant « pas à leur place » – et « les riverains » qui demandent « simplement la possibilité de vivre dans un environnement normal, avec un minimum de tranquillité publique ». »
En revanche, elles minimisent les plaintes des jeunes concernant les abus policiers, arguant d'une absence de pouvoir hiérarchique sur la police.
Citation : « La mairie d’arrondissement a joué un rôle important dans la mise en œuvre de la politique d’éviction, en amplifiant les doléances des habitants gênés par les groupes de jeunes et en délégitimant les voix qui prônaient un espace public plus inclusif. »
Cette dynamique crée un « système » où divers acteurs institutionnels contribuent à légitimer l'idée que certaines populations n'ont « pas leur place » dans l'espace public.
Conséquences Dramatiques pour les Personnes Ciblées
Les mêmes individus sont contrôlés et évincés à plusieurs reprises, parfois plusieurs fois par jour, créant une « familiarité perverse » propice aux conflits.
Conséquences Économiques et Sociales : Les dettes d'amendes entraînent un surendettement pour des populations déjà précaires, freinant leur insertion professionnelle et les poussant à éviter le système bancaire ou le travail déclaré pour échapper au fisc.
Citation : « Pour Hossine, les amendes lui ôtent toute possibilité de sortir à la fois du quartier où il a grandi et de sa précarité sociale et économique (« Nous, déjà, on essaie de marcher pour sortir du quartier, mais eux :
« Non, on vous rajoute ça. Vous allez rester là et, en même temps, vous allez payer »). »
Sentiment d'Injustice et de Défiance : Les personnes ciblées expriment un fort sentiment d'injustice, perçoivent les policiers comme abusant de leur pouvoir de manière arbitraire, et ont une grande défiance envers les institutions étatiques.
Citation : « L’expression du sentiment d’injustice ressort ainsi de la quasi-totalité des entretiens : l’injustice dans le sens d’une absence de justice (impossibilité de saisir le juge ou inutilité de mobiliser le droit, voir infra) et dans le sens où ils perçoivent largement les policiers comme se sentant au-dessus de la loi et comme abusant de leurs pouvoirs de manière arbitraire. »
Incitation à la Fuite et à des Actes Illicites : La peur des verbalisations pousse certains à fuir à la vue des policiers.
Dans les cas les plus extrêmes, la pression financière peut inciter certains à envisager des actes délictueux pour régler leurs dettes.
En somme, le rapport met en lumière une politique policière d'éviction discriminatoire en région parisienne, amplifiée par l'action de certains riverains et des autorités municipales, qui a des conséquences socio-économiques et psychologiques dévastatrices sur les jeunes hommes racisés et précarisés, tout en érodant leur confiance dans les institutions.
Note de Synthèse : Relations Police/Population en France – Constats 2024 et Évolutions
Source: Extraits de "https://www.defenseurdesdroits.fr/sites/default/files/2025-06/ddd_EAD-2024_volume-1_relations-police-population.pdf" (Défenseur des droits, "Relations police/population : contrôles d’identité et dépôts de plainte", Juin 2025).
Introduction et Contexte
Le Défenseur des droits, en tant qu'organe externe de contrôle de la déontologie des forces de sécurité, a publié la deuxième édition de son enquête "Accès aux droits" (EAD 2024), actualisant une étude menée initialement en 2016.
L'objectif est d'approfondir la connaissance des atteintes aux droits, notamment en matière de déontologie des forces de sécurité et des relations police-population.
Cette publication se concentre sur trois aspects clés : l'expérience des contrôles d'identité, l'expérience du dépôt de plainte ou de main courante, et la confiance envers l'institution policière.
L'étude de 2016 avait déjà mis en évidence des relations généralement satisfaisantes, mais notait des expériences plus contrastées pour certains groupes sociaux, notamment les jeunes hommes perçus comme noirs, arabes ou maghrébins, qui subissaient des contrôles plus fréquents et souvent dégradés.
Ces expériences négatives étaient corrélées à une faible confiance envers les forces de sécurité.
Une recommandation clé du Défenseur des droits en 2016 était la mise en place d'une traçabilité des contrôles d'identité pour lutter contre les discriminations.
L'édition 2024, menée entre octobre 2024 et janvier 2025 auprès de 5 030 personnes représentatives de la population de France métropolitaine (18-79 ans), utilise une méthodologie comparable à 2016, mais enrichie de nouvelles thématiques (notamment sur le dépôt de plainte).
Elle intègre des variables sociodémographiques détaillées (âge, sexe, origine perçue, religion, orientation sexuelle, handicap) pour une analyse intersectionnelle des discriminations.
Thèmes Principaux et Idées Clés
1. L'Expérience des Contrôles d'Identité
Les contrôles d'identité sont un point de contact majeur entre la police et la population, avec environ 47 millions estimés en 2021.
Leur cadre juridique est jugé "complexe et flou", laissant une "large marge d'interprétation aux forces de sécurité, ouvrant la voie à des usages divers, et parfois controversés".
L'existence de discriminations dans ce cadre a été reconnue à plusieurs reprises par la justice.
Augmentation significative de la fréquence des contrôles :La proportion de personnes ayant été contrôlées au moins une fois au cours des 5 dernières années est passée de 16 % en 2016 à 26 % en 2024, soit une augmentation de 63 %.
Cette hausse touche toutes les catégories de population, y compris celles "auparavant peu contrôlées" : +81 % pour les cadres, +148 % pour les 55-64 ans, et +79 % pour les personnes perçues "comme blanches exclusivement".
En 2024, les contrôles multiples (plusieurs fois sur les 5 dernières années) sont majoritaires (15 % de la population contre 11 % pour un contrôle unique).
Modalités et justifications des contrôles :90 % des contrôles rapportés en 2024 ont impliqué une vérification des titres d'identité (contre 68 % en 2016).
Cependant, une part significative des contrôles est "poussée" : 22 % ont fait l'objet d'une fouille, 11 % ont reçu l'ordre de quitter les lieux, 6 % ont été plaquées contre un mur ou une voiture et 3 % ont été emmenées au poste.
Pour plus d’une personne contrôlée sur deux, le motif du contrôle n’est pas explicité par les forces de sécurité. Seules 42 % des personnes ayant subi un contrôle "poussé" ont bénéficié d'une justification.
Comportements inappropriés :19 % des personnes contrôlées déclarent avoir été confrontées à des comportements inappropriés (tutoiement, provocation, insultes, brutalité), une proportion qui était de 28 % en 2016 (bien que les questions aient pu évoluer).
14 % ont été tutoyées, 7 % provoquées ou insultées, et 7 % ont subi des comportements brutaux.
Disparités socio-démographiques et discriminations :Les jeunes hommes perçus comme noirs, arabes ou maghrébins sont 4 fois plus à risque d’avoir été contrôlés que le reste de la population, et 12 fois plus à risque de faire l’objet d’un contrôle « poussé » (fouille, palpation, conduite au poste, injonction à quitter les lieux).
Ils rapportent également plus fréquemment des comportements inappropriés : 30 % d'entre eux contre 15 % des personnes perçues comme blanches uniquement.
Les personnes financièrement précaires (32 %) sont également plus contrôlées que celles à l'aise financièrement (22 %).
Les personnes non hétérosexuelles ont 50 % de risque en plus d'être confrontées à des comportements inappropriés lors d'un contrôle d'identité.
La "marge d’appréciation offerte par le droit actuel laisse les policiers et les gendarmes seuls avec leur propre instinct et leurs éventuels préjugés", ce qui "peut induire des comportements discriminatoires, volontaires ou non, et faire peser une suspicion sur l’ensemble des contrôles".
Le manque de traçabilité des contrôles d'identité est un obstacle persistant à la preuve des discriminations et à l'effectivité du droit au recours.
Réactions aux comportements inappropriés :Seules 8 % des personnes ayant subi des comportements inappropriés ont tenté de faire reconnaître la situation (via une association, avocat, Défenseur des droits, police/gendarmerie).
La majorité (73 %) en a parlé à des proches.
2. L'Expérience du Dépôt de Plainte ou de Main Courante
Le dépôt de plainte est une autre modalité cruciale d'interaction avec les forces de sécurité.
Fréquence et profil des plaignants :35 % des personnes interrogées se sont rendues dans un commissariat ou une gendarmerie pour déposer une plainte ou une main courante au cours des 5 dernières années.
Les personnes en difficultés financières, en situation de handicap, ou atteintes de maladies chroniques ont une propension plus élevée à porter plainte.
Comportements non déontologiques lors du dépôt de plainte :21 % des personnes ayant souhaité déposer une plainte se sont heurtées à un refus, alors que le refus de dépôt de plainte est interdit par la loi (Article 15-3 du code de procédure pénale).
Les refus de plainte touchent plus fréquemment les personnes en situation de handicap (37 %), celles portant un signe religieux (33 %), au chômage (30 %), résidant dans un quartier prioritaire de la politique de la ville (30 %), ou perçues comme noires, arabes ou maghrébines (28 %).
10 % des personnes ayant voulu déposer plainte rapportent des comportements inappropriés des forces de sécurité (tutoiement, insultes, humiliation, intimidation).
Les personnes en situation de handicap ont un risque double d'être exposées à des comportements inappropriés lors d'un dépôt de plainte.
Les jeunes (18-24 ans) et les personnes perçues comme non-blanches ont également un risque 80 % plus élevé d'y être confrontées.
Expériences négatives multicontextuelles :Certains facteurs, comme l'origine perçue (noir, arabe, maghrébin), l'âge (jeunes 18-24 ans) et le chômage, surexposent aux comportements inappropriés "aussi bien lors d’un contrôle que lors d’un dépôt de plainte".
Cela "suggère l’existence de comportements discriminatoires car ciblés sur certains groupes sociaux plutôt que d’autres."
3. La Confiance en l'Institution Policière
La confiance se distingue en une confiance "diffuse" (missions générales de la police) et un soutien "spécifique" (évaluation basée sur des expériences concrètes).
L'enquête s'intéresse au soutien spécifique.
Niveaux de confiance :50 % de la population se dit confiante ou rassurée en présence d'un policier ou d'un gendarme sur la voie publique.
28 % sont indifférents et 22 % se sentent méfiants ou inquiets.
Lien avec les expériences concrètes :La confiance est "étroitement liée" aux expériences vécues : 51 % des personnes ayant pu enregistrer leur plainte sans incident se déclarent confiantes, contre seulement 37 % de celles confrontées à un refus.
59 % des personnes ayant vécu des discriminations lors d'un contrôle de police se sentent inquiètes ou méfiantes, contre 21 % de celles qui pensent que les discriminations existent mais ne les ont pas vécues personnellement, et 5 % de celles qui ne reconnaissent pas leur existence.
Les personnes ayant fait l'expérience de comportements inappropriés (que ce soit lors d'un contrôle ou d'un dépôt de plainte) se déclarent plus fréquemment méfiantes ou inquiètes (respectivement 61 % et 51 %).
Conséquences du manque de confiance :Le manque de confiance entraîne plus fréquemment une remise en question de la légitimité de l'intervention policière : 16 % des personnes méfiantes protestent lors d'un contrôle, contre 4 % des confiantes.
Les personnes méfiantes sont plus nombreuses à percevoir le contrôle comme injustifié (59 % contre 18 % des confiantes).
Une corrélation négative existe entre confiance et recours à la police : 21 % des personnes méfiantes déclarent ne pas avoir contacté les forces de sécurité par manque de confiance suite à une discrimination ou un harcèlement, contre 3 % des personnes confiantes.
Cela crée une "dynamique délétère" qui "nourrit une défiance mutuelle lors des interactions police/population" et "peut conduire à une escalade des tensions en contexte d’intervention".
Conclusion Générale
L'enquête "Accès aux droits" de 2024 met en évidence une "dualisation des relations" entre les citoyens et les forces de sécurité en France.
Alors que l'expérience du contrôle d'identité s'est généralisée à une plus grande partie de la population, les modalités de ces interactions varient considérablement selon les caractéristiques sociales des individus.
Les catégories de population "traditionnellement" moins contrôlées (femmes, cadres, personnes âgées) sont désormais plus souvent contrôlées, mais généralement via des "simples contrôles d’identité, généralement ponctuels, courtois et perçus comme justifiés."
En revanche, pour les personnes perçues comme noires, arabes ou maghrébines, les jeunes, les hommes et les personnes précaires, on observe une persistance de contrôles plus fréquents, plus intrusifs ("poussés"), et accompagnés de comportements contraires à la déontologie.
Ces groupes sont également plus exposés aux refus de dépôt de plainte et aux comportements inappropriés lors de ces démarches.
Ces expériences négatives et discriminatoires ont un impact direct et significatif sur la confiance envers les forces de sécurité, conduisant à une méfiance accrue, une remise en question de la légitimité des actions policières, et une diminution du recours à la police.
L'étude souligne que cette "érosion de la confiance" peut "nourrir les crispations entre la population et les forces de sécurité et, in fine, peut conduire à une escalade des tensions en contexte d’intervention."
Le Défenseur des droits souhaite que ce rapport "favorise la réflexion pour établir des relations plus apaisées" entre la police et la population.
democracy is under attack. There are two primary forces responsible for undermining the democratic process, particularly in the US
for - democracy - erosion from two forces - dark money and - dark tech - Otto Scharmer
l'enquête que j'ai conduite pendant 5 ans avec annecler de faossé 00:53:00 dans les Hautes Alpes près de la frontière italienne dans une région qui est autour du col de Montgenèvre l'un des principaux points d'entrée en France par le sud-est l'un des deux points d'entrée en 00:53:11 en France par le sud-est montre que le protocole décrit dans les textes n'est généralement pas suivi alors même que depuis 2016 la proportion des jeunes garçons en provenance d'Afrique sub-saharienne se déclarant mineur a 00:53:24 souvent été élevée alors frontière d'abord on a eu pendant plusieurs années un refoulement presque systématique par les policiers chargés de la garder qui contestait l'âge déclaré par le jeune voire déchirer son acte de naissance 00:53:38 jusqu'à ce que plusieurs condamnations de l'État par les tribunaux administratifs ne conduisent ce dernier à se montrer plus respectueux de la loi en adressant ses garçons à l'aide sociale à l'enfance via une association 00:53:50 locale ce qui est désormais fait le plus souvent certains agents récal Citran continuant CEP pendant à les renvoyer en Italie parfois après avoir falsifié leurs documents ainsi que le constatent 00:54:02 les associations qui de l'autre côté de la frontière côté italien conserve les copies des originaux
prisles dispositions nécessaires pour assurer la continuité dans l’accès à la
scolarité et aux soins
Dans une décision publiée le 11 octobre 2023,le Conseil d’État a enjoint au ministre del’intérieur de prendre des mesures pour faireappliquer l’obligation d’identification des forcesde l’ordre.
La Défenseure des droits rappelle que lepremier objectif du maintien de l’ordre est degarantir la liberté de manifester.
à établir des relations positives entreles forces de l'ordre et la population.
Augmenter significativement les moyens donnés aux forces de l’ordre pour enquêter sur lesplaintes relatives aux violences sur mineurs.
I tried contacting our military and the FBI—and just got the runaround
Of course, they don't work for us they work for the racketeers in Congress and their wealthy financiers. No sense in trying to talk sense into their mercenaries.
Pugliese, D. (2021, September 27). Military leaders saw pandemic as unique opportunity to test propaganda on Canadians: Report. National Post. https://nationalpost.com/news/national/defence-watch/military-leaders-saw-pandemic-as-unique-opportunity-to-test-propaganda-techniques-on-canadians-forces-report-says/wcm/22733c97-39f0-4ba4-8a26-478af5e215f3
Ion-ion interactions fall off slower than ion-dipole. Tripling the distance between two ions reduces the energy by 1/3, while tripling the distance between the ion and a dipole reduces it by 1/9. That is, one is inversly proportional to the distance between them (1/r) and one is proportional to the inverse square of the distance (1/r2).
The name "Ion dipole forces" describes what they are, which simply speaking, are the result of the Coulombic electrostatic interactions between an ion and the charged ends of a dipole.
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Conditions d'intervention des forces de l'ordre en EPLE
The final stages of this sequence are caused by blood accumulation that forces the temporal lobe medially, with resultant compression of the third cranial nerve and eventually the brain stem.
es visto y sentido como espacio vivencial de lo sagrado y lo cotidiano, del conocimiento de las leyes propias, de la relación con otros seres, con los humanos y del manejo o relaciones que se tienen con ellos. Cada parte esta interrelacionada con lo otro [...] El territorio es visto de manera integral donde lo físico y lo espiritual se articulan, y donde todos los actores [humanos y no-humanos] tienen una relación y un lugar. El reconocimiento del territorio se realiza a través de la lectura de las marcas ancestrales inscritas en los sitios sagrados desde los orígenes y que señalan el accionar presente, y los lleva a proponer un manejo integral de todo el territorio, para asegurar su conservación ambiental y cultural (Ull
el espacio vital que asegura la pervivencia como pueblo, como cultura en convivencia con la naturaleza y los espíritus. El territorio es nuestro verdadero libro histórico que mantiene viva la tradición de quienes habitamos en él. Representa y describe los principios y prácticas de nuestra cultura. Implica la posesión, control y dominio del espacio físico y espiritual. Como espacio colectivo de existencia, posibilita la convivencia armónica entre los pueblos. Fundamenta la cosmovisión indígena como razón de nuestra pervivencia”.
De ahí la importancia de los hackerspaces como territorio: lugar de memoria y convivencia.
Witnessing,hacking,andcommoningarethreedigitalactsthathavebecomepossibleoverthepastfewyearsandhavecreatedopeningsforbeingdigitalcitizensinorbymakingrightsclaims.Theresignificationofexistingortheintroductionofnewconventionsmadetheseactspossible:Bitcoin,copyleft,CreativeCommons,Digg,GitHub,GNN,GNU,WikiLeaks,andmanyothers.Nodoubtsomeoftheseconventionswillbereplacedordisplacedbyothers.Somewillbecomedefunct.Somewillperhapspersistasatestamenttothedigitalcommons.Therewillcertainlybenewconventions.Whatenduresistheperformativeforcethathasgoneintomakingtheseopeningspossible.IfweunderstandcyberspaceasaspaceofrelationsbetweenandamongbodiesactingthroughtheInternet,witnessing,hacking,andcommoningresignifyorinventconventionsandmakepossibletheemergenceofnewwaysofbeingcitizensubjectsincyberspace.
[...] As we discussed earlier, just as many efforts are being expended on closings as these openings, cajoling and coercing them in various submissive ways and generally blocking possibilities. The digital commons is certainly a new frontier for struggles over commodification.[83] The main challenges to these creative forces emanate from state-security apparatuses and commerciallegal apparatuses. The main challenges to these creative forces emanate from state-security apparatuses and commerciallegal apparatuses. We have covered some of these closings, but here we want to restate the importance of open versus closed conventions of the Internet. Much has been said about Facebook, Flickr, Google, Tumblr, Twitter, and YouTube and their activities for tracking the conduct of people for advertising revenues and collecting big data. Let us emphasize that among one of the most important reasons that both state and corporate apparatuses are able to do this is because these are designed as proprietary and closed conventions. Unlike open conventions such as WordPress or Wikimedia, these conventions require submitting to end-user licences and user contracts that not only severely restrict actions but also appropriate their results as data. There is a massive difference between the digital commons created by open-source code and its increasing zoning, appropriation, sequestration, and enclosure through closed conventions. [...] Let us remember that cyberspace is a fragile if not a precarious space. This makes its protection as an open-source digital commons a political question—a question that those who are making digital rights claims are enacting with increasing effectiveness but also with urgency.
Copyrightderivesitslegalforcefromlawsthatprotectexclusiverightstoandcontrolofintellectualproperty.EvenifitsoriginscanbetracedtoearlymodernEurope(sixteenthtoeighteenthcenturies),itismoderninthesensethattheformationofintellectualproperty—thatis,theconversionofcreativeproductssuchaswords,data,images,andsoundintopropertyforexchange—isaresultoftheaccumulationofcapitalinmodernsocieties.
This is what Lyotard highlighted as the commodification of knowledge in what he then called computerized societies. The conversion of intellectual or, more broadly, cultural capital into economic capital is possible under the protection of copyright laws. This is the force of copyright law. Since it introduces a tension between creativity and calculability, it is doubtful that copyright law either protects or encourages creativity. Instead, creativity is commodified by copyright. The performative force of copyright is that both the creator and consumer must—knowingly and unknowingly—repeat and iterate it. The force of copyright law would be nothing if it were not performed. That is the reason why maintaining its imaginary force requires enormous energy: copyright mobilizes massive efforts to maintain its legal, performative, and imaginary force. If creativity were not commodified, copyright would not exist. Commodification transforms the use value of things into exchange value for being sold and bought.
Whiletherecertainlyarebigdifferencesintherelationsofpowerbetweencitizensubjectsandplatformowners,actionscananddoexceedtheaffordancesoftheirconventions.Itisinrelationtothenormalizingtendenciesofcyberspace—fromthosethatformattheactionsthatmakeupparticipating,connecting,andsharingtothoseoffilteringandtracking—thattensionsariseandcitizensubjectsengageintheplayofobedience,submission,andsubversion.
Las infraestructuras de bolsillo y comunitarias serían una forma de lidiar con los desbalances de poder de las plataformas digitales. Está sin embargo el tema de la sostenibilidad cuando no se comercializa la intimidad de los usuarios. Esto debería estar asociado a economías cooperativas y de bienes comunes. El bootstrapping de dicho modelo está aún por verse, pero podría ocurrir a partir de consultorías individuales que alienten y financien dichas plataformas.
Ifwefocusoncallingsandtheactionstheymobilizeandhowtheymakeactspossible,wealsoshiftourfocusfromafreedomversuscontroldichotomytotheplayofobedience,submission,andsubversion.Thisisaplayconfiguredbytheforcesoflegality,performativity,andimaginarywhichcalluponsubjectstobeopenandresponsibleandthroughwhichmostlygovernmentalbutalsocommercialandnongovernmentalauthoritiestrytomaintaintheirgripontheconductofthosewhoaretheirsubjects.
Theimportantthingistoseparateacts(locutionary,illocutionary
The important thing is to separate acts (locutionary, illocutionary, perlocutionary), forces (legal, performative, imaginary), conventions, actions, bodies, and spaces that their relations produce.
Ifindeedweunderstandthisdynamicoftakinguppositionsassubjectivation,wethenidentifythreeforcesthroughwhichcitizensubjectscomeintobeing:legality,performativity,andimaginary.Theseareneithersequentialnorparallelbutsimultaneousandintertwinedforcesofsubjectivation
between them
This space is fundamental to sociological theory. It the place where social forces exert power in the lives of individuals. SNA seeks to capture that influence and power.
In addition to broad economic trends affecting domestic politics evenly, Fisher also notes the uneven distribution of effects stemming from intellectual property rights (1999, Sect. II. C.). The positive effects of intellectual property rights accrue strongl y to a small number of rights - holders (the paper assumes that there are no significant negative effects to rights - holders); for this reason, rights - holders have significant motive (and potentially greater means) to overcome the significant barriers to acti ve political lobbying.
Fisher outlines three trends : (1) the increasing number of citizens owning , or employed by owners of , intellectual property; (2) the United States’ economic position as an increasingly net exporter of intellectual property; and (3) the increasing investment companies have made in intellectual property in terms of research, development, brand - establishment, etc. (1999, Sect. II. A.).
increasing number of owners of intellectual property
strong economic position including exports of intellectual property
increase in investments by companies in intellectual property