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  1. Feb 2024
    1. Webinaire FCPE sur la prostitution des mineurs FCPE Nationale

      Quels sont, chez un mineur, les signes précurseurs à une situation de prostitution ?

      Comment l’école peut-elle agir ?

      Et les parents d’élèves ?

      La FCPE vous propose le replay de son webinaire, organisé le 1er avril dernier, avec quatre experts de la question : Bérengère Wallaert, déléguée générale de l’association Agir contre la prostitution des mineurs (ACPE) ; Benoît Rogeon, chef du bureau de la santé et de l’action sociale au ministère de l’Education nationale ; Samia Bounouri, infirmière scolaire, secrétaire départementale du SNICS-FSU en Seine-Saint-Denis ; Simon Benard-Courbon, substitut du procureur de la République de Bobigny.

      RESSOURCES Livret "La laïcité à l'usage des parents d'élèves" (991.44 Ko) Le padlet de la FCPE pour parler de la laïcité en famille, novembre 2020

    1. Cette vidéo est une audition de Monsieur le Juge Durand, co-président de la commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants, par la délégation au droit de l'enfant de l'Assemblée nationale. Il présente les missions, l'organisation, les témoignages et les préconisations de la commission.

    1. Résumé vidéo [00:00:00][^1^][1] - [01:38:58][^2^][2]:

      Cette vidéo est une audition du juge Édouard Durand, président de la Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIVIS), par la délégation aux droits des femmes du Sénat. Il expose les travaux, les constats et les recommandations de la CIVIS sur la prévention, la protection et la réparation des victimes de violences sexuelles dans l'enfance.

      Temps forts: + [00:00:00][^3^][3] Introduction de la présidente de la délégation aux droits des femmes * Présente le juge Durand et la CIVIS * Rappelle le contexte et les objectifs de la commission * Pose une question sur le financement et le budget de la CIVIS + [00:03:44][^4^][4] Présentation du juge Durand * Rappelle le discours du président de la République sur l'inceste * Décrit la réalité et l'ampleur des violences sexuelles faites aux enfants * Partage des témoignages de victimes recueillis par la CIVIS + [00:21:01][^5^][5] Questions des sénatrices et des sénateurs * Interrogent le juge Durand sur les préconisations de la CIVIS * Abordent des sujets comme la prescription, la formation, l'éducation, la pornographie, etc. * Soulignent les difficultés et les enjeux de la lutte contre les violences sexuelles + [01:38:35][^6^][6] Conclusion du juge Durand * Répond aux questions et aux remarques des parlementaires * Insiste sur la nécessité de maintenir la CIVIS comme une institution originale et autonome * Appelle à une prise de conscience collective et à une mobilisation politique

    1. Présentation par Emilie Cole, chargée d'étude à l'ONPE sur la prostitution des adolescents : repères juridiques, phénomènes observés et états des mieux des ressources. Cette présentation porte sur les repères des différentes formes d'exploitation sexuelle et pratiques de prostitution concernant ces jeunes en France, les parcours et profils de ces adolescents, les acteurs et partenariat mobilisés pour prendre en charge ce public.

    1. TOULOUSE Table ronde enregistrée au REC22 avec Jacques Van Rillaer (Professeur émérite de psychologie à l'université de Louvain) et Franck Ramus (Directeur de Recherche CNRS, laboratoire de Sciences Cognitives et Psycholinguistique).

      00:01:31 : (J.V.R.) définitions historiques de psychanalyse et termes voisins ; explications ultimes des troubles ; avant et à partir de 1914 , dont comme Freud l'a conçue, 00:09:10 : il n'a pratiquement rien enlevé ; change la théorie de la séduction ; 00:15:50 : du nouveau et du bon dans la psychanalyse = le bon n'est pas nouveau et le nouveau n'est pas bon (1909 - un psy de Fribourg) 00:29:45 : (F.R.) interface psychanalyse et neurosciences = "neuropsychanalyse" ; psychanalyse a légitimité scientifique contestée ; neuro-foutaises ; 00:33:25 : concepts qui se ressemblent ; mots voisins ; bon mais pas nouveau ; jusqu'à Platon 00:36:55 : pas de preuves aux hypothèses psychanalyse de troubles mentaux 00:38:15 : ce que les psychanalystes essayent de s'approprier ; 00:38:55 : ce dont ne parle jamais la neuropsy. 00:40:00 : épistémologie (3 points) 00:41:10 : Biblio avec méta-analyses : conclusions pas en correspondance avec citations 00:47:15 : quand aboutit au désespoir et suicide ; 00:48:08 : nombre de croyants en psychanalyse = argument non convainquant 00:50:22 : prédominance en France dans milieu psychiatrique... / TCC : effet Lacan 00:54:00 : les psychanalystes d'aujourd'hui : mélange d'absurdités et de bon sens ; nombreuses écoles pour gérer les désaccords (comme schismes) 01:00:26 : encore enseigné à l'université, sans source ou juste un livre ; programme national en médecine mais pas en psycho, progrès lents.

      Animation : Priscille Lacombe

    1. Conférence du jeudi 26 Janvier 2023 à l'Espace Samuel Paty (Lyon 8) organisée par l'AFIS Lyon. Présenté par Franck Ramus, directeur de recherches au CNRS en Sciences Cognitives

      Synopsis : combien y a-t-il de sexes : 2, 3, 5 ou plus ? Qu’est-ce que le genre, et en quoi diffère-t-il du sexe ? Une femme est-elle définie par le sexe femelle ou par son identification au genre féminin ? Pourquoi y a-t-il autant de controverses sur le sens de ces mots ? Quelles sont les différentes parties qui s’opposent, et quelles sont leurs revendications? En quoi leurs intérêts sont-ils en conflit ? Et comment peut-on espérer résoudre ces conflits, en prenant en compte les intérêts légitimes de chacun ?

      Franck Ramus répondra volontiers aux commentaires et aux questions sur le contenu de la conférence, mais uniquement sur son blog : https://ramus-meninges.fr/2023/04/25/.... Les commentaires sous la vidéo sont donc fermés.

      0:00 Introduction 7:02 Conférence 1:38:31 Conclusion 1:40:11 Questions

    1. à mettre en lien avec https://hyp.is/go?url=https%3A%2F%2Fwww.planning-familial.org%2Fsites%2Fdefault%2Ffiles%2F2023-11%2FLIVRE_BLANC_WEB.pdf&group=world<br /> et le rapport IGESR,

      Biais d’autorité :

      le document s’appuie sur des témoignages de médecins, de psychologues, de juristes, etc., sans préciser leurs sources, leurs qualifications, leurs affiliations, ou leurs conflits d’intérêts éventuels. Il donne ainsi l’impression que ces experts sont unanimement d’accord et qu’ils représentent la vérité scientifique, juridique ou morale sur le sujet de l’éducation à la sexualité à l’école.

      Biais de confirmation :

      le document sélectionne et interprète les faits, les chiffres, les études, les exemples, etc., qui vont dans le sens de sa thèse, à savoir que l’éducation à la sexualité à l’école est dangereuse, nuisible, et idéologique. Il ignore ou minimise les éléments qui pourraient contredire ou nuancer son propos, comme les bénéfices potentiels de l’éducation à la sexualité, les recommandations internationales, les avis divergents, etc.

      Biais de généralisation :

      le document extrapole à partir de cas concrets, souvent anecdotiques, isolés, ou non vérifiés, pour en tirer des conclusions générales et alarmistes sur l’ensemble du système éducatif, des intervenants, des contenus, et des élèves. Il utilise des termes comme “toujours”, “jamais”, “partout”, “aucun”, etc., qui ne reflètent pas la diversité et la complexité de la réalité. Biais de faux dilemme : le document oppose de façon simpliste et manichéenne deux conceptions de l’éducation à la sexualité : celle qui respecte l’enfant, sa maturité, son intimité, et son développement, et celle qui le sexualise, le traumatise, le manipule, et le dénature. Il ne laisse pas de place à une approche nuancée, critique, ou alternative, qui pourrait reconnaître les enjeux, les difficultés, et les limites de l’éducation à la sexualité à l’école, sans la diaboliser ou la rejeter.

    1. Garantir une coordination régionale et académique de l’ES par une systématisationdes CESCE académiques, intégrant le/la référent.e académique, des représentant·esdes ARS, collectivités territoriales, direction des droits des femmes, associations etparents d'élèves, avec des moyens dédiés.
    2. Désigner dans chacune des académies un·e référent·e académique commun·e àl’éducation à l’égalité F/H, aux violences sexistes et sexuelles, aux LGBTQIAphobies et àl’ES, chargé·e à temps plein, de préparer, animer et suivre la déclinaison académiquedu plan national et son suivi :- en lien avec ses homologues des autres académies (réseau national deréférent·es)- en lien avec le/la référent.e académique sur le harcèlement scolaire- avec l’ensemble des partie prenantes au niveau académique (chef.fesd'établissement, ARS, collectivités territoriales, associations, parents...),notamment par l’inscription de l’éducation à la sexualité dans les projetsacadémiques et à travers une cellule de soutien en cas de révélation de violences
    3. Mettre en place un plan national pluriannuel dédié à l’ES et organiser, par voie législativeet réglementaire, sa déclinaison en stratégie ou convention nationale, donnant lieu à unpilotage et suivi par un comité national, incluant notamment la répartition des séancesentre Éducation nationale et intervenant·es extérieur·es
    4. Voici un résumé du document :

      • Le document est un livre blanc sur l'éducation à la sexualité en milieu scolaire, publié en novembre 2023 par un collectif d'organisations de la société civile.
      • Le document expose les enjeux, les droits, le cadre juridique et les recommandations pour une mise en œuvre effective et efficace de l'éducation à la sexualité, dans une approche globale, positive, inclusive et égalitaire.
      • Le document se compose de trois parties principales :
        • Cadre juridique : il rappelle les obligations légales et les textes internationaux qui protègent les droits à la santé sexuelle et reproductive, à l'égalité, à la non-discrimination et à la prévention des violences et cyberviolences sexistes et sexuelles¹[1].
        • Assurer la mise en pratique de l'éducation à la sexualité : il propose des mesures pour renforcer le pilotage, la gouvernance, les moyens humains et financiers, le suivi et l'évaluation, la formation, le contenu, le format et la répartition des séances d'éducation à la sexualité dans les établissements scolaires.
        • Développer un environnement favorable à l'éducation à la sexualité en dehors du milieu scolaire : il suggère des actions pour responsabiliser les lieux alternatifs de scolarisation et de sociabilité fréquentés par les jeunes, tels que les structures sportives, les centres de loisirs, les services de protection de l'enfance, etc. Il recommande également de renforcer la communication auprès de la population générale et des jeunes, notamment par la régulation des médias et des réseaux sociaux.
      • Le document se termine par une conclusion, des remerciements, une bibliographie et une liste d'acronymes. Il contient également une synthèse, une table des matières et un résumé des recommandations.
    1. Voici un résumé du document :

      • Il s'agit d'une Déclaration des droits sexuels de l'IPPF, une organisation mondiale de santé sexuelle et reproductive.
      • La déclaration est basée sur les traités et instruments internationaux relatifs aux droits humains, et vise à protéger et promouvoir les droits sexuels comme des droits humains liés à la sexualité.
      • La déclaration comprend trois sections : un préambule qui situe le contexte et les valeurs de la déclaration, sept principes généraux qui donnent une structure aux droits sexuels, et dix droits sexuels qui couvrent des aspects tels que l'égalité, la non-discrimination, la participation, la vie privée, l'autonomie, l'expression, l'association, la santé, l'éducation et le plaisir.
      • La déclaration est le résultat de plus de deux ans de travail impliquant des experts, des volontaires et des membres du personnel de l'IPPF, ainsi que des consultations régionales et des révisions.
      • La déclaration est un outil indispensable pour les organisations, les activistes, les chercheurs et les décideurs qui œuvrent à la promotion et à la garantie des droits humains dans le domaine de la sexualité. Elle reconnaît la diversité culturelle et religieuse, mais affirme l'universalité, l'indivisibilité et l'interdépendance de tous les droits humains.
    1. Biais d’autorité :

      le document s’appuie sur des témoignages de médecins, de psychologues, de juristes, etc., sans préciser leurs sources, leurs qualifications, leurs affiliations, ou leurs conflits d’intérêts éventuels. Il donne ainsi l’impression que ces experts sont unanimement d’accord et qu’ils représentent la vérité scientifique, juridique ou morale sur le sujet de l’éducation à la sexualité à l’école.

      Biais de confirmation :

      le document sélectionne et interprète les faits, les chiffres, les études, les exemples, etc., qui vont dans le sens de sa thèse, à savoir que l’éducation à la sexualité à l’école est dangereuse, nuisible, et idéologique. Il ignore ou minimise les éléments qui pourraient contredire ou nuancer son propos, comme les bénéfices potentiels de l’éducation à la sexualité, les recommandations internationales, les avis divergents, etc.

      Biais de généralisation :

      le document extrapole à partir de cas concrets, souvent anecdotiques, isolés, ou non vérifiés, pour en tirer des conclusions générales et alarmistes sur l’ensemble du système éducatif, des intervenants, des contenus, et des élèves. Il utilise des termes comme “toujours”, “jamais”, “partout”, “aucun”, etc., qui ne reflètent pas la diversité et la complexité de la réalité. Biais de faux dilemme : le document oppose de façon simpliste et manichéenne deux conceptions de l’éducation à la sexualité : celle qui respecte l’enfant, sa maturité, son intimité, et son développement, et celle qui le sexualise, le traumatise, le manipule, et le dénature. Il ne laisse pas de place à une approche nuancée, critique, ou alternative, qui pourrait reconnaître les enjeux, les difficultés, et les limites de l’éducation à la sexualité à l’école, sans la diaboliser ou la rejeter.

    1. Résumé vidéo [00:00:00][^1^][1] - [00:18:46][^2^][2]:

      Cette vidéo est une interview de Sophie Audugé, présidente de SOS Éducation, qui dénonce les dérives de l'éducation sexuelle à l'école en France. Elle expose les principes et les sources de cette éducation, qui selon elle, sexualise précocement les enfants et nie leur développement cognitif et affectif. Elle alerte sur les conséquences traumatiques de ces interventions, souvent réalisées par des associations militantes sans contrôle ni consentement. Elle demande au ministère de l'Éducation nationale de clarifier sa position et de réorienter l'éducation à la sexualité vers les adolescents.

      Points forts: + [00:00:00][^3^][3] Le contexte et le thème de l'interview * L'éducation sexuelle à l'école est un sujet d'actualité controversé * SOS Éducation publie un rapport sur les dérives de cette éducation + [00:00:28][^4^][4] Les dérives de l'éducation sexuelle à l'école * Des propos et des pratiques inadaptés à l'âge des enfants * Des associations militantes qui interviennent sans agrément ni contrôle * Des parents et des enseignants qui ne sont pas informés ni consultés + [00:04:06][^5^][5] Les principes et les sources de l'éducation sexuelle à l'école * Une loi de 2001 qui impose trois séances par an à tout niveau d'âge * Des standards européens de l'OMS qui promeuvent une sexualité infantile et un consentement précoce * Une stratégie de santé sexuelle française qui défend une sexualité positive et une autodétermination + [00:09:02][^6^][6] Les conséquences de l'éducation sexuelle à l'école * Un impact négatif sur le développement cognitif, affectif et psychique des enfants * Une exposition à la pornographie et à des comportements sexuels violents * Une manipulation sémantique et idéologique qui nie la réalité biologique du sexe + [00:13:53][^7^][7] Les demandes de SOS Éducation * Une clarification de la position de l'État français sur la sexualité infantile * Une réorientation de l'éducation à la sexualité vers les adolescents * Une prise en compte des connaissances scientifiques sur le développement de l'enfant

  2. Jan 2024
    1. CYCLE DE CONFÉRENCES RECHERCHE EN ÉDUCATION 2023-2024 S'APPROPRIER L'ÉDUCATION À LA SEXUALITÉ (DANS LE CADRE DE POLLEN) INTRODUCTION LA SEXUALITÉ. INTERNET ET LES ADOLESCENT.E.S : DIVERSITÉ DE PRATIQUES ET CONTEXTES D'UTILISATION D'INTERNET AU MOMENT DE L'ENTRÉE DANS LA SEXUALITÉ Arthur V. Maitre de conférences. IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques), Umversrté Sorbonne Paris Nord. REGARD D'UNE JURISTE SUR LA SEXUALITÉ ET L'ÉDUCATION À LA SEXUALITÉ Frederique LE D. T. Maitresse de conférences. CROP (Centre de recherche droits et perspectives du droit). Université de Lille. Modération : Florène C. Responsable Service recherche & développement. INSPÉ Lille HdF (Institut national supérieur du professorat et de l'éducation de l'académie de Lille - Hauts•de•France).

    1. Tu n’as pas vu le temps passer ? Je te rassure tes parents non plus. Mais voilà, ton corps change à une vitesse grand V, tes envies, tes pensées, tes désirs aussi.

      Tu te dis souvent « mais est-ce que c’est normal ? » Alors je t’explique, tes parents rêvent de répondre à tes questions mais ils ont parfois du mal à aller au delà de leur pudeur, et surtout ils ont peur de ne pas avoir les bons mots. Et de toute façon toi, tu ne te vois pas leur poser des questions, et tu n’as pas vraiment envie d’en parler à ton groupe d’amis.

      Tu sais quoi ? Tu es au bon endroit !

      Avec Catherine Solano, médecin et sexologue spécialisée des sujets liés à la puberté, on va essayer de répondre à toutes les questions que tu te poses.

  3. Dec 2023
  4. Nov 2023
  5. Oct 2023
    1. 3.7 D’ici à 2030, assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative, ycompris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et la prise en compte de lasanté procréative dans les stratégies et programmes nationaux
    1. une association qui est venue intervenir en prison complètement enfin voilà habitué et rodé à faire des séances sur la question de l'homophobie et qui est rentré comme ça 00:53:55 en séance avec cinq six jeunes sur l'homophobie et du coup les jeunes ont très bien compris qu'on venait leur faire un cours sur l'homophobie parce qu'on considérait que comme ils sont des classes populaires comme c'est que des garçons comme ils sont incarcérés ils 00:54:08 seraient forcément tous homophobe et donc en réaction on appelle ça en sociologie un retournement de stigmates ils ont surjoué leur rôle d'homophobes ils ont poussé l'intervenant en l'occurrence dans ses retranchements
    2. du coup on va attribuer un stigmate à la personne on va lui dire tu es une personne violée alors qu'elle ne se construisait pas comme ça jusque-là donc il faut faire très attention aux mots qui sont employés par les adolescentes et les 00:39:58 adolescents quand vous avez pas les ressources et les moyens vous en tant que professionnel c'est pas votre rôle c'est pas votre but vous n'êtes pas nipsy ni enquêteur enquêtrice de d'attribuer les qualificatifs autour d'un rapport sexuel
  6. Sep 2023
  7. Aug 2023
  8. Jul 2023
  9. Jun 2023
  10. May 2023
    1. Les questions de santé sexuelle doivent également faire l’objet d’unsuivi attentif chez les adolescents. Ils sont en effet particulièrement exposés à larecrudescence des infections sexuellement transmissibles (IST) (3). Laprévention doit également concerner les grossesses précoces (environ150 naissances par an pour des mères de moins de 15 ans (4) et 5 interruptionsvolontaires de grossesse pour 1 000 femmes âgées de 15 à 17 ans (5) )
  11. Mar 2023
  12. Feb 2023
  13. Jan 2023
    1. Recommandation 21. Prévoir la signature d’une lettre individuelle par le chef d’établissement et parl’intervenant extérieur recruté, qui précise les modalités de l’intervention (préparation en amont, présenced’un référent, établissement d’un bilan commun, etc.) dans le respect des valeurs portées par l’École de laRépublique
    2. Recommandation 4. Introduire les notions d’éducation à la sexualité dans les programmes officiels decertaines disciplines concernées, au-delà des disciplines liées aux aspects biologiques et sanitaires et del’enseignement moral et civique.Le cadre actuel pose des difficultés liées l’absence de précisions sur l’organisation des séances d’éducation àla sexualité dans l’article L. 312-16 du code de l’éducation, qui a rendu obligatoires au moins trois séancesannuelles en matière d’éducation à la sexualité en 2001. Les circulaires successives ont défini un cadreopérationnel qui a été modifié à plusieurs reprises. Le cadre actuel décrit par la dernière circulaire, en datedu 12 septembre 2018, n’a pas repris deux points sur les supports horaires et les modalités précises sur laprise en charge concrète des séances qui figuraient dans les circulaires de 1998 et 2003. Les modificationssuivantes − sur le modèle de l’article L. 542-3 du code de l’éduction sur l’organisation de la séance annuelled’information et de sensibilisation sur l’enfance maltraitée95 − permettraient de clarifier ces questionsimportantes sur la mise en œuvre concrète de l’EAS :Recommandation 5. Inscrire au moins trois séances annuelles dédiées dans l’emploi du temps des élèves desécoles, des collèges et des lycées (disposition complétant l’article L. 312-16 du code de l’éducation).Recommandation 6. Attribuer la mission d’organisation des séances annuelles aux chefs d’établissement, enlien avec les comités d’éducation à la santé et la citoyenneté (disposition complétant l’article L. 312-16 ducode de l’éducation).
    3. Recommandation 32. Renforcer la formation initiale des personnels d’éducation et d’enseignement dans les instituts nationaux supérieurs du professorat et de l’éducation par un volume horaire dédié et une évaluation au concours explicites, en accordant une attention particulière à la démarche de projet et au travail collaboratif en matière d’éducation à la sexualité.
    4. Recommandation 20. Développer les documents-cadres précisant les conditions d’organisation des séancesd’éducation à la sexualité (notamment les objectifs, les cibles, le financement, les réseaux d’intervenants, lesoffres d’interventions et de formations, le suivi) entre les différents partenaires institutionnels et associatifsdépartementaux et/ou régionaux, sur lesquels peuvent s’appuyer les établissements
    5. 4.1. Mieux cerner l’éducation à la sexualitéLes interrogations sur l’acception du terme « éducation à la sexualité » et sur son contenu, mal connu ou malcompris, ainsi que l’incertitude sur les liens entretenus entre l’éducation à la sexualité et d’autres champssociaux et sociétaux connexes (santé, égalité, protection de l’enfance) induisent la nécessité de réfléchir auchoix du terme lui-même et à un centrage sur les questions sexistes et sexuelles. Son nouveau périmètrepourrait inclure l’éducation à la sexualité stricto sensu (reproduction, contraception, prévention desIST / sida) et les sujets plus directement concernés (violences sexistes et sexuelles, consentement,discriminations sexistes et sexuelles, (cyber) harcèlement sexiste et sexuel, pornographie, prostitutioninfantile).
    6. 4.2. Clarifier le cadre législatif et réglementaireL’absence de référence à l’éducation à la sexualité dans les programmes des disciplines concernées, hormisles disciplines portant déjà sur certains aspects de l’EAS, justifie parfois les réticences de ces enseignants àparticiper à des séances. L’introduction de notions particulières dans ces programmes faciliterait cetteparticipation.
  14. Sep 2022
  15. May 2022
  16. Mar 2022
    1. LA SEXUALITÉ DE NOS ENFANTS La sexualité, en particulier celle de nos enfants, reste un tabou difficile à surmonter. Entre pudeur et embarras, entre trop de silence et respect de l’intimité, il est parfois difficile de briser la glace entre les générations et de déterminer la juste distance qu’il faudrait adopter. Pourtant le rapport des enfants à la sexualité semble changer rapidement. L’accès à la pornographie, la modification des habitudes et des pratiques, l’évolution des mœurs et l’omniprésence des réseaux sociaux bouleversent les codes.

  17. Nov 2021
  18. May 2021
  19. Apr 2021
    1. Axe 4 – Permettre à chaque Francilien d’être acteur de sa santé et des politiques de santéDévelopper la prévention par les pairs avec la définition d’un cadre et d’un protocole d’intervention au niveau territorial en s’appuyant sur les associations et structures existantes (ex dans les établissements scolaires : CESC, Conseils de vie collégiens et lycéens), en intégrant les mesures prévues dans la Stratégie Nationale de Santé Sexuelle, et en se référant aux données probantes qui se consolident actuellement
  20. Mar 2021
    1. Une professeur confie à Fred qu’elle a été témoin d’une agression verbale avant de reprendre son cours. Celle-ci craint que sa responsabilité soit engagée du fait qu’elle n’aie pas défendu l’élève à ce moment-là. Correspondant de l’Autonome, Fred lui explique la démarche à effectuer afin de dénoncer officiellement cet acte auprès de sa hiérarchie. Pour en savoir plus sur les méthodes pour lutter contre les discriminations homophobes et transophobes à l’école - https://bit.ly/2ZKs409
    1. Dans la salle des profs, Philippe explique à Fred, le correspondant de l’Autonome, comment il a été injustement mis en cause par une élève. Fred lui explique la marche à suivre pour prouver sa bonne foi. Il lui assure, également, qu’il pourra compter sur le soutien de L’ASL et de son réseau d’avocats-conseil pour faire respecter la présomption d’innocence. Pour en savoir plus sur la protection juridique du fonctionnaire - https://bit.ly/33Bsmav
    1. Thierry est confronté à un geste déplacé en classe de la part de son élève, il en parle à Eva. Il l’aurait reproduit suite au visionnage d’une vidéo inadaptée à son âge, et ce, depuis l’ordinateur de son père. Comment faire le point avec l’équipe éducative, l’ASL et les parents ?

  21. Feb 2021
  22. Dec 2020
  23. Oct 2020
  24. Sep 2020
  25. Jul 2020
    1. Les univers virtuels immersifs et les environnements multijoueurs, souvent jumelés à des dispositifs de rétroaction haptique (soit le toucher), ont déjà été créés pour offrir des expériences sexuelles intenses que le monde réel ne pourrait jamais réaliser.

      Argument rhétorique du pathos: Aucune preuve de sa validité; l'intensité sexuelle est généralement relative à chaque individu qui la perçoit différemment. Le sexe n'est donc pas réduit ici à l'acte mécanique?

  26. Jun 2020
    1. Recommandation 7Le Défenseur des droits recommande que soit engagée une réforme législative afin de rendre obligatoire la consultation du bulletin n°2 du casier judiciaire national et du Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (FIJAISV) préalablement à tout recrutement de professionnels ou de bénévoles devant intervenir auprès de mineurs
    1. ar ailleurs, selon l’enquête réalisée en 2015 par l’association Mémoire traumatique et victimologie présidée par Muriel Salmona, médecin psychiatre23, la plus grande part des violences sexuelles signalées se seraient produites dans le milieu scolaire (12%), tout en soulignant que c’est aussi le lieu qui accueille, de loin, le plus grand nombre d’enfants
    2. Ainsi, huit femmes sur mille et trois hommes sur mille déclarent avoir subi des violences commises par des professionnels pendant leur minorité. Un grand nombre de ces violences se seraient produites dans le cadre de la scolarité : à hauteur de 20% pour les femmes et de 50% pour les hommes. Les garçons seraient par ailleurs plus souvent victimes que les filles lorsque les faits sont commis par un éducateur, un animateur ou un travailleur social