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  1. Sep 2023
    1. ANNEXE TECHNIQUE

      Ce document n'est pas un texte officiel et il n'a pas fait l'objet d'une discussion avec les fédérations de parents d'élèves. Il semble qu'il ait été élaboré dans l'urgence, les arrêtés destinés à préciser les modalités du vote électronique dans les premier et second degrés n'étant toujours pas parus.

    1. la notice explicative du vote par correspondance

      Une explication adaptée au besoin des parents de l'école est utile pour réduire la nullité du vote (enveloppes non signée, ou 2 bulletin dans la meme enveloppe etc) Il existe aussi des videos explicatives sur internet

    1. guide relatif à l’organisation des élections est disponible sur le site Éduscol dans la rubrique « Écoles et établissements>Fonctionnement des établissements scolaires>Parents d'élèves>La représentation des parents d'élèves »

      Ce guide - n'a par été mis à jour depuis longtemps, - n'intègre pas les nouveautés comme le vote électronique et le vote uniquement par correspondance - n'a pas les liens cliquable vers les textes àlors que son prédécesseur l'avait en 2018

  2. Aug 2023
  3. Jul 2023
    1. La Défenseure des droits déplore un défaut d’anticipation des services académiques dans la prévision des effectifs et l’affectation de moyens adéquats qui a plongé les élèves et leurs familles dans un grand désarroi des semaines durant.  Afin de mettre fin aux situations récurrentes d’élèves sans affectation à la rentrée scolaire, la Défenseure des droits recommande au ministre de l’Education nationale de prendre notamment les mesures suivantes : Anticiper et accorder les moyens humains, financiers et matériels nécessaires dans l’ensemble des filières générale, technologique et professionnelle, notamment en augmentant le nombre d’enseignants, de divisions et de dotations horaires globales à hauteur des besoins et en s’assurant, avec les régions, de l’adéquation des infrastructures ; Afin de garantir le droit à l’éducation dans les meilleures conditions possibles pour tous les élèves, indépendamment de leur lieu de résidence, ces moyens doivent être déployés en tenant compte des réalités locales et en les adaptant aux difficultés sociales constatées ; Développer l’information en matière d’orientation fournie aux élèves et à leurs familles ; Aménager le calendrier des affectations en seconde et en première afin que les élèves reçoivent leur affectation le plus tôt possible ; Mettre en place des permanences dans les rectorats permettant de répondre rapidement aux sollicitations urgentes pendant les vacances scolaires ; S’assurer que tous les élèves qui, malgré les efforts déployés, se trouvent sans affectation le jour de la rentrée scolaire, bénéficient d’un accueil à temps plein et d’un accompagnement éducatif, au sein de leur établissement d’origine ou dans le cadre d’un dispositif spécifique, dans l’attente qu’une affectation définitive puisse leur être proposée ; En cas d’affectation tardive après la rentrée scolaire, prévoir un accompagnement individualisé au sein de l’établissement d’affectation afin de permettre aux élèves concernés de rattraper leur retard ; Anticiper les moyens nécessaires afin de permettre aux élèves ayant échoué au baccalauréat de redoubler dans leur lycée d’origine, etprendre les mesures nécessaires afin que les établissements et les services académiques informent et accompagnent les élèves et leurs familles, dès l’annonce des résultats du baccalauréat.
    1. rspectives internationales sur les relations entre l’École et les famillesDans de nombreux systèmes éducatifs, la relation entre l’École et les familles fait partie intégrante desdocuments officiels et des objectifs ministériels. Elle y est souvent thématisée à un double niveau, celui del’établissement et celui des enseignants. La relation entre l’École et les familles dépend beaucoup de la traditionéducative qui la porte. Dans les pays nordiques comme le Danemark, la Norvège ou encore la Suède,l’implication des parents dans les apprentissages scolaires de leurs enfants est recherchée4.Outre les paysnordiques, on peut citer l’Écosse qui a une tradition ancrée de participation bénévole des parents à la vie del’école qui peut par exemple passer par l’entretien des espaces verts ou l’encadrement d’équipes sportives. LeNouveau cadre pour l’École (« National Improvement Framework ») développé en Écosse voit dansl’implication des parents l’un des six leviers pour améliorer les projets d’établissements
  4. Jun 2023
    1. Si les ARS se sont dotées d’outils deconcertation utiles concernant le partage de vues et d’expériences entre les acteurs locaux avecl’adoption des projets territoriaux de santé mentale (PTSM), leur mise en œuvre n’est pas objectivable.En effet, les leviers de pilotage des politiques d’accès aux soins de pédopsychiatrie sont encore troprécents et trop timides, comme le montre l’analyse des contrats territoriaux de santé mentale (CTSM)
    2. 8. Mettre en œuvre une politique d’attractivité renforcée de la pédopsychiatrie en valorisantdavantage les parcours hospitalo-universitaires et en soutenant la recherche française dans ladiscipline. À cet effet, il importera de doubler le nombre d’étudiants formés à lapédopsychiatrie et d’augmenter les recrutements de MCU-PH (ministère de la santé et de laprévention, ministre de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Cnam).
    3. 7. Intégrer au projet territorial de santé mentale (PTSM) un volet pour la psychiatrie infanto-juvénile et prévoir dans les contrats territoriaux de santé mentale (CTSM) des objectifschiffrés, un calendrier de mise en œuvre des actions prévues et des indicateurs d’évaluationpériodique (ministère de la santé et de la prévention).
    4. 6. Positionner l’actuel délégué ministériel à la santé mentale et à la psychiatrie au niveauinterministériel et le dénommer ainsi : « Délégué interministériel à la santé mentale, à lapsychiatrie et à la pédopsychiatrie » afin d’identifier la pédopsychiatrie explicitement dansle champ de l’actuelle délégation santé mentale et de renforcer son positionnementinterministériel (Première ministre, ministère de la santé et de la prévention).
    5. 4. Actualiser la norme de taux d’équipement indicatif standard par territoire pertinent(couvrant l’offre publique et privée), qui devrait notamment inclure une équipe de liaisonen pédiatrie ou lits de crise (lits-portes), des équipes mobiles et des lits d’hospitalisation16 à 25 ans et ouvrir des capacités d’accueil en établissement médico-social en aval del’hôpital (ministère de la santé et de la prévention).
    6. 3. Prendre appui sur les premiers constats des expérimentations des maisons de l’enfance etdes familles pour les élargir aux adolescents, en lien avec les actuelles maisons desadolescents. Dans l’intervalle, continuer à renforcer, dans les territoires sous-dotés, lesmoyens des CMP-IJ pour leur mission d’accueil et d’évaluation, dans le prolongement desmesures adoptées fin 2022 (ministère de la santé et de la prévention, Cnam).
    7. 2. Renforcer la formation initiale et continue des praticiens ayant vocation à remplir lesmissions de médecin traitant de l’enfant (médecins généralistes et pédiatres) en psychologieet psychiatrie infanto-juvénile, en particulier sur le plan du dépistage et de l’orientation(ministère de la santé et de la prévention, ministre de l’enseignement supérieur, de larecherche et de l’innovation).
    8. 1. Dresser un état des lieux exhaustif de la situation épidémiologique des troubles psychiqueschez les enfants et les adolescents en France, notamment en élargissant l’étude nationalelancée en 2022 aux adolescents et en exploitant davantage les bases de donnéesmédico-administratives. Cet état des lieux devrait faire l’objet d’une actualisation au moinstous les dix ans (ministère de la santé et de la prévention, Cnam, SPF)
    9. Or, dans l’état actuelde l’organisation des soins, et en particulier dans les centres médico-psychologiques infanto-juvéniles (CMP-IJ), une partie des patients suivis ne souffrent que de troubles légers, au détrimentde la prise en charge d’enfants souffrant de troubles plus sévères.
    10. CONCLUSION ET RECOMMANDATION ___________________En dépit de données épidémiologiques lacunaires, l’offre de soins spécialisés apparaît,dans l’ensemble, bien calibrée. Néanmoins, même si en matière d’offre d’équipements,ambulatoires comme hospitaliers, la France se situe dans la moyenne des pays européens, defortes disparités territoriales témoignent d’une certaine inadéquation de l’offre à l’échelleterritoriale fine.En conséquence la Cour formule la recommandation suivante :1. dresser un état des lieux exhaustif de la situation épidémiologique des troubles psychiqueschez les enfants et les adolescents en France, notamment en élargissant l’étude nationalelancée en 2022 aux adolescents et en exploitant davantage les bases de donnéesmédico-administratives. Cet état des lieux devrait faire l’objet d’une actualisation au moinstous les dix ans (ministère de la santé et de la prévention, Cnam, SPF)
    1. DESCRIPTION DE L’EMPLOYEUR :L'académie de Versailles regroupe quatre départements : les Yvelines (78), l’Essonne (91), les Hauts-de-Seine (92)et le Val-d’Oise (95).Première académie de France par l’importance de ses effectifs avec près de 1 100 000 élèves dans les premier etsecond degrés, soit 9 % des effectifs scolarisés de la France, l’académie de Versailles accueille et gère près de90 000 agents (enseignants, personnels d’encadrement, d’éducation, administratifs, techniciens, ouvriers, deservice et de santé).Activités du service :• Promotion de la santé en faveur des élèves et impulsion académique de la politique générale de santé.• Composition et effectifs : pôle santé au sein du SMIS (pôle santé social) : 4 conseillers techniques, 5 adjointsou chargés de mission, un secrétariat commun• Liaisons hiérarchiques : sous l’autorité hiérarchique de la Rectrice• Liaisons fonctionnelles : Secrétaire GénéralDESCRIPTIF DU POSTE :• Conseil technique dans le champ de la santé des élèves (prévention, politique de santé, crise sanitaire) ;• Contribution à la définition des priorités académiques en matière de santé des élèves ;• Conduite de projets dans le domaine de la santé en lien avec les partenaires institutionnels régionaux (ARS,Région, autres académies de la région Ile de France) ;• Contribution à l’élaboration du programme de formation des médecins de l’éducation nationale et des autrespersonnels dans le champ de la santé ;• Conseil des services académiques sur le déploiement des moyens de la médecine scolaire ;• Coordination et animation de l’action des médecins conseillers techniques départementaux ;• Conseil technique des chefs d’établissement et des IEN dans le domaine de la santé des élèves ;• Participation au pilotage académique de la politique sociale et de santé ;• Participation au pilotage académique de l’école inclusive ;• Travail avec le SIEC pour l’organisation des aménagements des épreuves d’examens et concours des élèveshandicapés ;• Rédaction du recueil académique annuel des données de la médecine scolaire
    1. Vos missions en quelques mots Conseil technique dans le champ de la santé des élèves (prévention, politique de santé, crise sanitaire) ; Contribution à la définition des priorités académiques en matière de santé des élèves ; Conduite de projets dans le domaine de la santé en lien avec les partenaires institutionnels régionaux (ARS, Région, autres académies de la région Ile de France) ; Contribution à l’élaboration du programme de formation des médecins de l’éducation nationale et des autres personnels dans le champ de la santé ; Conseil des services académiques sur le déploiement des moyens de la médecine scolaire ; Coordination et animation de l’action des médecins conseillers techniques départementaux ; Conseil technique des chefs d’établissement et des IEN dans le domaine de la santé des élèves ; Participation au pilotage académique de la politique sociale et de santé ; Participation au pilotage académique de l’école inclusive ; Travail avec le SIEC pour l’organisation des aménagements des épreuves d’examens et concours des élèves handicapés ; Rédaction du recueil académique annuel des données de la médecine scolaire
  5. May 2023
    1. Au-delà du financement d’actions de prévention, certaines ARS apportentleur soutien aux services de santé scolaire dans les zones où la démographiemédicale est défavorable : vaccination, dépistages obligatoires, orientation desélèves vers des professionnels de santé.
    2. Les questions de santé sexuelle doivent également faire l’objet d’unsuivi attentif chez les adolescents. Ils sont en effet particulièrement exposés à larecrudescence des infections sexuellement transmissibles (IST) (3). Laprévention doit également concerner les grossesses précoces (environ150 naissances par an pour des mères de moins de 15 ans (4) et 5 interruptionsvolontaires de grossesse pour 1 000 femmes âgées de 15 à 17 ans (5) )
    1. Garantir des aménagements effectifs de la scolarité, adaptés aux besoins de chaque élève ensituation de handicap et, à ce titre, développer notamment les partenariats et la collaborationentre les différents acteurs (éducation nationale, établissements médico-sociaux, associations,familles, AESH, etc.) dans l’objectif de créer et partager des outils communs facilementmobilisables par les équipes éducatives.
    2. Procéder à une évaluation nationale des informations recueillies à l’échelon départementalsur les défaillances et dysfonctionnements des établissements de protection de l’enfance, enlien avec les rapports de contrôle et d’audit de ces établissements, afin de disposer d’uneconnaissance précise des difficultés récurrentes rencontrées et de définir les moyens deprévention et d’accompagnement des établissements les plus efficaces.