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  1. Sep 2020
    1. la capacité de concentration des élèves de maternelle variait selon leur milieu social. Ces recherches ont débouché sur un programme d'exercices spécifiques, destiné aux écoles de l'État accueillant des enfants défavorisés.

      à 7.56 expérience américaine "créer des connexions"

      https://youtu.be/_pBbKrCz7WM?t=475

    2. Du bon usage du cerveau | Demain, l'école (1/2) | ARTE
    1. Victoire pour le droit des enfants roms à l’éducation .#EcolePourTous#collectifnationaldroitdelhommeromeurope En novembre 2014 nous avons porté plainte au pénal contre Madame Ciuntu, Maire de Sucy en Brie pour discrimination envers 5 enfants roms roumains vivant dans un bidonville sur sa ville, qu'elle a refusé de scolariser.En correctionnel et en appel nous avions été déboutés mais la Cour de Cassation avait estimé qu'il fallait approfondir le refus de la mairie de Sucy en Brie, afin de savoir si le manque de domiciliation évoqué par la mairie ne cachait pas une discrimination. La Cour d'Appel de Versailles avait estimé que la discrimination était avérée et l'avait condamnée à indemniser les enfants. Madame Ciuntu a immédiatement fait un pouvoi en Cassation afin de faire casser cet arrêt.Le 1er septembre 2020, la Cour de Cassation estime " qu'après avoir examiné tant la recevabilité du recours que les pièces de procédure, la Cour de Cassation constate qu'il n'existe en l'espèce aucun moyen de nature à permettre l'admission au pourvoi"Madame Ciuntu est donc condamnée définitivement pour discrimination.Nous remercions avant tout les parents qui ont osé s'élever contre le refus de la ville à scolariser leurs enfants.Nous tenons à remercier très sincèrement toutes les personnes qui ont cru que faire reconnaître une discrimination à l'endroit d'enfants roms était possible.Nous tenons à remercier celles et ceux qui ont aidé au financement de la procédure et ont ainsi permis que nous allions jusqu'au bout et nous étions déterminés à y aller.Il s'agit pour nous d'une grande victoire qui nous rend fiers d'avoir mené cette procédure durant 6 ans pour rendre justice aux enfants. Nous souhaitons que cette décision serve à faire reconnaître le droit à l'éducation de tous les enfants qui vivent en France, quels que soient le statut de leurs parents, les lieux où ils vivent - sans papiers, européens auxquels aucun droit n'est reconnu -, en squats, bidonvilles, hôtels, dans les rues.
    1. Références1°'degré:art.1°',2et3del'arrêtédu13mai1985relatifauconseild'école,circulairen°2000-082du9juin2000relativeauxmodalitésd'électiondesreprésentantsdesparentsd'élèvesauconseild'école.2"°'degré:art.R.421-26,R.421-29etR.421-30ducodedel'éducation.
    2. Informationsurl'organisationdesélectionslorsdelaréunionderentréedanslesécoles,collègesetlycées.Danslesquinzejoursquisuiventlarentréescolaire:réuniondesresponsablesdeliste
    3. estégalàlamajoritédesmembresenexercicecomposantleconseil.
    4. lesreprésentantsdesparentsd'élèvesprennentunepartactivedanslavieetlefonctionnementdel'écoleoudel'établissementscolaire
    5. L'articleL.1'|'I-4ducodedel'éducationdisposequelesparentsd'élèvesparticipent,parleursreprésentants,auxconseilsd'écoleetauxconseilsd'administrationdesétablissementsscolairesetauxconseilsdeclasse
    1. Le dernier débat aura lieu sur l'article 5. Il stipule qu'en cas de liste unique pour les élections des parents délégués le vote est supprimé et la liste déclarée élue. Pour C Rilhac c'est un moyen de diminuer le travail des directeurs. Le PS, LFI et le PC soulignent que ce n'est pas pareil d'être élu même si le résultat est le même. Il s'agit de défendre le principe démocratique dans l'école  déjà mise à mal par un directeur sur emploi focntionnel.   Finalement C Rilhac appelle la technologie à son secours. " A titre expérimental, dans les départements volontaires, pour trois ans , en présence d'une liste unique, l'élection des représentants des parents d'élèves a lieu par la voie électronique."
    2. un quart des écoles n'a pas assez de point d'eau pour appliquer le protocole
    3. toilettes et points d’eau dont la crise sanitaire a révélé les faiblesses que nous avions signalées à de nombreuses reprises
    4. traitement de l’air pour améliorer sa qualité
    5. Le plan de relance étant une occasion exceptionnelle d’engager une rénovation des constructions scolaires sur des bases conformes au développement durable
    6. L'Apses condamne l'entrisme des entreprises dans l'Education nationale
    7. Le coût économique des fermetures d'écoles évalué par l'OCDE
    8. Nette progression des inégalités en 2018 selon l'Insee
    9. l'inégalité d'équipement matériel des élèves, la grande hétérogénéité de ceux-ci face à l'autonomie ont été perçues comme des difficultés majeures dans la mise en oeuvre de dispositifs éducatifs en distanciel.
    1. À cette fin, comme le prévoit l'article D. 111-8 du Code de l'éducation, les directeurs d'école et les chefs d'établissement doivent communiquer aux associations de parents d'élèves qui en font la demande la liste des parents d'élèves de l'école ou de l'établissement scolaire mentionnant leurs noms, adresses postale et électronique, à la condition que ceux-ci aient donné leur accord exprès à cette communication.
    2. Pour l'année scolaire 2020-2021, les élections se tiendront : le vendredi 9 octobre 2020 ou le samedi 10 octobre 2020 ;
    1. Désormais, le chef d’établissement peut décider que le vote aura lieu exclusivement par correspondance,après consultation du conseil d’administration.
    1. de leur rôle dans le respect des gestes barrières (explication à leur enfant, fourniture de mouchoirs en papier jetables, utilisation des poubelles, etc.) ; de la surveillance d’éventuels symptômes chez leur enfant avant qu’il ne parte à l’école, au collège ou au lycée (la température doit être inférieure à 38°C) ; de la nécessité de déclarer la survenue d’un cas confirmé au sein du foyer en précisant si c’est l’élève qui est concerné

      seuls ces points-ci demande une action de la part des parents

    2. Consulter le protocole sanitaire - Année scolaire 2020 - 2021
    1. en cas de fièvre (38 °C ou plus) ou en cas d’apparition de symptômes évoquant la Covid-19 chez l’élève ou dans sa famille. De même, les élèves ayant été testés positivement au SARS-Cov2, ou dont un membre du foyer a été testé positivement, ou encore identifiés comme contact à risque ne doivent pas se rendre dans l’école ou l’établissement scolaire

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    1. Bonne pratiqueEn 2019, le pôle national de la médiation a créé un espace collaboratif avec le Cnous et la Direction générale de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle du ministère (Dgesip) pour traiter rapidement les saisines d’étudiants qui n’arrivaient pas à se faire rembourser la Contribution Vie Étudiante et Campus (Cvec), payée à tort. L’objectif était de mieux communiquer et d’accélérer la procédure de remboursement. Après 6 mois de fonctionnement de cette plateforme, on peut constater une réelle avancée dans les échanges entre la médiation et les Crous et la réalisation des remboursements. Cette initiative, fondée sur la confiance, mériterait d’être étendue, pour le bénéfice de tous, à d’autres problématiques traitées par la médiation.
    2. Manifestement, ces informations ne sont pas toujours suffisantes ou aisément accessibles pour certains jeunes, qui continuent à faire appel aux médiateurs pour obtenir de l’aide et qui ressentent le besoin d’un contact humain, comme le rapport 2018 de la médiatrice l’avait rappelé dans ses recommandations relatives au chapitre sur l’administration numérique70
    3. 72 % des saisines reçues pas les médiateurs contestent une décision administrative ou signalent un problème lié au fonctionnement de l’administration. Ces réclamations émanent des personnels de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur comme des usagers, parents d’élèves, élèves ou étudiants.
    4. Parmi les usagers, plus de la moitié sont des élèves ou des parents d’élèves des établissements publics du second degré (51 %)
    1. mail : pubtv@snptv.org
    2. Afin de mieux promouvoir en télévision un certain nombre de causes sociales, humanitaires et d’intérêt général tout au long de l’année, le Syndicat National de la Publicité TéléVisée (SNPTV) a mis en place pour les associations, ONG et/ou leurs intermédiaires (agences de publicité, agences média) une procédure de traitement de l’ensemble des demandes d’espaces gracieux faites aux grandes chaînes nationales et à leur régie publicitaire.
    1. L’enfant est cas contact d’un cas confirmé COVID-19, l’enfant reste à la maisonSi l’enfant a été identifié cas contact en dehors du champ scolaire, l’enfant doit impérativement rester à la maison conformément à la demande des autorités de santé. L’enfant ne retournera en classe qu’après avis médical. Il est impératif dans ce cas de prévenir l’école ou l’établissement scolaire.
    1. L'usage des nouvelles technologies durant le confinement "a permis à nos élèves de rattraper leur retard, car eux aussi avaient du retard sur l'utilisation des outils numériques", continue l'analyste de l'OCDE. "On a beaucoup d'exemples de pays de l'OCDE, la Suède, la Norvège, le Canada, l'Australie où on en a un usage très démocratisé. En France, on a fait un premier pas, il faut aller plus loin."

      une façon aimable de dire qu'il n'y a pas de politique culturel du numérique ?

    2. Avant le confinement, la France était l'un des pays où l'on utilisait le moins les nouvelles technologies en classe. Seuls 36% des professeurs incitaient leurs élèves à le faire, contre 53% pour la moyenne occidentale. Malgré ce "handicap", le retard a été comblé notamment grâce à la formation des enseignants sur le tas, estiment les experts de l'OCDE.
    3. L'Organisation de coopération et de développement économiques publie mardi 8 septembre son rapport annuel "Regards sur l'Education" consacré notamment à la gestion de la crise du coronavirus par chacun des systèmes scolaires. Premier enseignement, l'école française n'était pas aussi prête que les autres pays occidentaux à faire face à cette crise
    1. Un diplôme professionnel plus fréquent pour les élèves issus des communes rurales très peu denses ou éloignées des grandes villes
    2. Une structure des écoles spécifi que dans les communes rurales
    3. NoteN° 19.35 – Octobre 2019d’informationd’informationDirectrice de la publication : Fabienne RosenwaldÉdition : Bernard JavetMaquettiste : Frédéric Voirete-ISSN 2431-7632DIRECTION DE L’ÉVALUATION,DE LA PROSPECTIVEET DE LA PERFORMANCEDEPP-DVE61-65, RUE DUTOT75732 PARIS CEDEX 15Une typologie des communes pour décrire le système éducatifUne typologie des communes en neuf catégories a été établie par la DEPP pour décrire le système éducatif. Cettecaractérisation du territoire, basée sur un croisement d’approches morphologique et fonctionnelle, permet de distinguer plusieurs types de communes rurales et urbaines. Cette nouvelle typologie apparaît adaptée pour décrire lesconditions de scolarisation, mais aussi les parcours des élèves. Dans les communes les plus rurales, plus de la moitié des élèves du premier degré ne disposent pas d’une école dans leur commune et sont scolarisés dans une autre commune, notamment dans le cadre d’un réseau pédagogique intercommunal. Dans le premier degré, le type de commune de résidence correspond à celui de la commune de scolarisation pour 92% des élèves. Dans le second degré, cette proportion est de 65%, compte tenu de la localisation des établissements dans des communes plus urbaines. Les territoires se distinguent également selon les conditions socio-économiques des élèves et les conditions d’accès à l’offre scolaire. Celles-ci peuvent infl uer sur leurs parcours et leurs résultats. Ainsi, les élèves des communes les plus rurales s’orientent moins fréquemment vers l’enseignement général et technologique et davantage vers l’enseignement professionnel; néanmoins, ils sortent aussi souvent avec un diplôme que la moyenne nationale.
    1. Il faudrait procéder à une analyse très précise de la manière dont les options ont été implantées, suivies, favorisées dans les établissements concernés, examiner les raisons du peu de succès dans certains autres.
    2. action rectorale, en préconisant de passer d’une politique de filière à une politique de parcours. Cependant ce rapport n’a pas encore eu de suite concrète

      concrétisé par les EDS

    3. Les personnels spécialisés des RASED font cruellement défaut dans des zones difficiles, où ils seraient très utiles, et couvrent confortablement des secteurs scolaires accueillant des populations plutôt favorisées et où les résultats sont bons. Par ailleurs on constate également une insuffisance de personnel formé. De nombreux postes spécialisés ne sont pas pourvus par des enseignants ayant reçu une formation spécialisée, ils sont alors tenus, la plupart du temps, par des professeurs des écoles sortant de formation, ou encore utilisés à d’autres fins.
    4. L’éducation spécialisée et la prise en charge du handicap L’académie compte 8 000 élèves handicapés dans les 1er et 2nd degrés, 200 à 300 élèves par département, scolarisés ou non, qui restent à leur domicile
    5. YVELINES
    6. Cartes départementales des langues à faible diffusion
    7. n taux de moyens de remplacement (8,07) supérieur à la moyenne académique (7,83), le taux d’efficience du remplacement dans ce département (68,17 %) est de loin le plus faible de l’académie (87,27 %).
    8. La Région a dépensé, en 2002, 1 136 euros par élève (1 145 en moyenne en métropole).
    9. La Région se situe en dessous de la moyenne avec 340 euros pour une moyenne métropole de 392 euros en 2002
    10. Les dépenses de fonctionnement, telles que les chiffrent les tableaux de la DGCL, paraissent moins s’écarter des moyennes nationales : 382 euros en moyenne métropole en 2002, 200 euros pour les Yvelines, 325 pour l'Essonne, 396 pour les Hauts-de-Seine et 393 pour le Val-d'Oise

      Les Yvelines sont bien en dessous

    11. Les exemples de l'Essonne et des Hauts-de-Seine, étudiés lors de précédentes enquêtes des inspections générales, sont significatifs.
    12. Au niveau national, la dépense d'investissement par élève d'un collège public s’élevait en 2002 à 819 euros, cette dépense variant d'un département à l'autre de 225 à 1730 euros. Dans l'académie, la dépense a été de 931 euros pour les Yvelines, de 746 pour l'Essonne, 1730 pour les Hauts-de-Seine (soit deux fois plus que la moyenne de métropole) et 646 pour le Val-d'Oise

      les hauts de seine ont particulièrement investi semble t'il

    13. 2.2.5. Un fonctionnement particulier de l'État en Île-de-France Les représentants de l'État en Île-de-France s'accordent à souligner les spécificités de leurs missions par rapport à celles qu'ils peuvent exercer en province. La taille des départements, leur puissance économique et sociale ainsi que la proximité des lieux et des acteurs politiques nationaux ont pour effet de relativiser certaines marges de manœuvre, d'amoindrir les spécificités locales, d'accentuer la dépendance au pouvoir central. La légitimité personnelle que ces représentants ont à vis-à-vis des élus, des usagers et des personnels leur est sans aucun doute moins « donnée » qu'en province, plus difficile à construire.
    14. L'Île-de-France compte plus de familles monoparentales (1 famille sur cinq en 1999) que la moyenne nationale (1 sur 6) et un plus fort pourcentage de femmes qui travaillent. La journée moyenne de travail d'un francilien est plus longue, car il y a moins de travail à temps partiel
    15. Les forces et les faiblesses de « l'effet Île-de-France »
    16. Les chefs d'établissement semblent en négociation constante avec leurs équipes sur l’utilisation de la marge que peut leur laisser la dotation horaire globale (DHG), afin qu’ils privilégient des actions spécifiques aux dédoublements. Il faut d’ailleurs relever des utilisations surprenantes des moyens : dédoublement systématique dans certaines disciplines sans remédiation en français et mathématiques, aide individualisée dédiée aux élèves qui intègreront la première S, au troisième trimestre, au détriment des élèves en difficulté, moyens ZEP d’abord affectés aux sections de techniciens supérieurs (STS), puis aux terminales.
    17. Cette stabilité des pratiques est sans aucun doute renforcée dans maints territoires de l’académie par la demande des familles qui s’apparente dans certains établissements protégés à une véritable pression des parents pour récuser tout changement, aussi minime soit-il

      en gros, ce serait les familles qui limitent les innovations pédagogiques

    18. Parents d’élèves
    19. Fédérations de parents d’élèves : FCPE et PEEP

      il semble que la FCPE ait été consulté, mais qui ?

    20. C’est ainsi qu’une réelle faiblesse au niveau de la diffusion des orientations stratégiques laisse la place à des initiatives locales non coordonnées, voire divergentes, à l’indépendance de certains acteurs et que l’empreinte des représentations des uns et des autres, personnels, parents et partenaires, occupe l'espace normalement dévolu à la communication institutionnelle.

      mise en cause des parents

    21. Le second objectif consisterait à faire partager le diagnostic par tous les acteurs, les personnels d'encadrement, les personnels enseignants et ATOSS, les parents d'élèves et les collectivités territoriales. Les instances telles que les comités techniques paritaires académique et départementaux (CTPA, CTPD) et les conseils académique et départementaux
    22. Cette dispersion des responsabilités nuit gravement à la mise en œuvre d’actions dynamiques attendues notamment par les associations de parents d’élèves
    23. Une volonté d’organisation des tableaux de bord
    1. Le « contrat jeune majeur » n’est pas un contrat le 02 Septembre 2020 Dans le mouvement d’extension du plein contentieux social, le Conseil d’État précise l’office du juge des référés saisi d’une demande tendant à la suspension du refus de prise en charge d’un jeune majeur par l’aide sociale à l’enfance. CE 22 juill. 2020, req. n° 435974 (mentionné aux tables du Lebon)
    1. Article 371-1 Modifié par LOI n°2019-721 du 10 juillet 2019 - art. 1 L'autorité parentale est un ensemble de droits et de devoirs ayant pour finalité l'intérêt de l'enfant. Elle appartient aux parents jusqu'à la majorité ou l'émancipation de l'enfant pour le protéger dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement, dans le respect dû à sa personne. L'autorité parentale s'exerce sans violences physiques ou psychologiques. Les parents associent l'enfant aux décisions qui le concernent, selon son âge et son degré de maturité.
    1. Constructions, extensions, rénovations Valérie Pécresse et Marie-Carole Ciuntu doivent également faire un point sur la mise en œuvre du Plan d'urgence pour les lycées franciliens (2017-2027), les livraisons de la rentrée et les opérations de construction, de reconstruction, d'extension et de rénovation.
    1. Yvelines Comité d'Éducation pour la Santé - CODES 78 - CYES - 47 rue du Maréchal Foch - 78000 Versailles - Tél : 01 39 49 58 93 - Tabagisme - Sida - MST & IST - IVG -  Danger téléphone portable - équilibre alimentaire -
    1. Associer les parents Ils ont trop souvent laissé de côté en matière de prévention : les parents sont au cœur des préconisations du Comité pour la prévention santé de leurs enfants, avec la volonté de trouver des outils qui les aident à trouver un équilibre entre patience et fermeté. Plusieurs propositions ont été faites en ce sens : mettre en place des réunions d’information parents sur la prévention santé des jeunes à l’entrée en 6e, créer une université numérique des parents, multiplier les lieux d’échange, sensibiliser les parents, première génération numérique et première génération à avoir des enfants connectés, à « gérer » les outils numériques, développer les liens entre le Centre régional d'information et les associations/fédérations de parents
    2. développer les liens entre le Centre régional d'information et les associations/fédérations de parents
    1. En 2017-2018, la Région a doublé l'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé pour les étudiants boursiers âgés de 16 à 28 ans inclus, inscrits dans un établissement d'enseignement supérieur ou dans un institut de formation sanitaire et sociale francilien. Elle a porté cette aide au financement d'une mutuelle à 200 euros pour l'année universitaire ou scolaire, dès lors que le contrat est souscrit chez Harmonie Mutuelle.
    2. 2 - La Région s'engage pour la santé des jeunes  En 2017-2018, la Région a doublé l'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé pour les étudiants boursiers âgés de 16 à 28 ans inclus, inscrits dans un établissement d'enseignement supérieur ou dans un institut de formation sanitaire et sociale francilien. Elle a porté cette aide au financement d'une mutuelle à 200 euros pour l'année universitaire ou scolaire, dès lors que le contrat est souscrit chez Harmonie Mutuelle. Certains jeunes souffrent en silence et se replient dans l’isolement ou les addictions. Grâce au Fonds de prévention santé jeunes et au travail du d'Île-de-France Prévention Santé Sida, la Région porte des actions de prévention auprès des jeunes sur les drogues, les IST, les conduites à risques, le tabagisme, le sommeil et sur l’ensemble des questions de bien-être. À travers l’iPass contraception, la Région offre aux jeunes une plateforme en ligne qui leur permet de géolocaliser ce dont ils ont besoin : une pharmacie, un centre du planning familial, des informations sur la contraception...
    3. santé des jeunes
    1. La grande majorité des jeunes parents sont fatigués. C’est un fait. Pour certains, cette fatigue devient rapidement insurmontable. Avec de nombreuses conséquences physiques et psychologiques. On parle d’épuisement parental, ou de burnout parental. Dans ce podcast, vous allez entendre des témoignages de parents concernés, et des bons conseils pour tout mettre en œuvre pour s’en sortir !

    1. Dans le cadre des espaces parents ou de l’ouverture de l’École aux parents, des actions pourront être mises en œuvre afin de permettre à ceux qui sont les plus éloignés du numérique de bénéficier d’un accompagnement pour suivre la scolarité de leurs enfants, réaliser les démarches liées à la dématérialisation
    2. ACQUÉRIR ET VALORISER SES COMPÉTENCES NUMÉRIQUES (PARENTS/ÉLÈVES)
  2. Aug 2020
    1. Néanmoins, il existe de fortes disparités entre les familles. Toutes ne sont pas armées pour accompagner leurs enfants (barrière de la langue, niveau d’étude, vécu scolaire...). Mettre en place un enseignement hybride nécessite de s’interroger sur l’accueil des élèves victimes de la fracture numérique, sociale ou d’équipement, et de concevoir des dispositifs qui s’adaptent aux problématiques spécifiques des élèves. Le retour progressif en classe montre que nombreux sont les élèves issus de familles défavorisées qui n’ont pas repris le chemin de l’école, avec un risque très grand d’aggraver les taux de décrochage scolaire.
    2. "L’avantage du confinement est qu’il a effacé la barrière entre les familles et l’école

      "effacé" c'est un peu fort, cela a surtout permis de voir les disparité de préparation des familles et des professionnels et de la qualité de l'accompagnement

    3. Ils obligent àune plus grande complémentarité des acteurs,notamment l’intégration des parents
    4. Ils obligent àune plus grande complémentarité des acteurs,notamment l’intégration des parents
    1. S'il suffisait de distribuer du matériel cela se saurait depuis longtemps, les collectivités qui l'ont fait, certaines depuis près de 20 ans, en savent quelque chose. Car il faut aussi s'assurer de l'infra : connexion, logiciels, maintenance, maîtrise des usages, etc. Et surtout il faut s'assurer que s'installe dans la tête et les pratiques de tous les membres des communautés éducatives l'idée du "continuité". C'est à dire qu'il faut désormais prendre en compte cet impensé des lieux et de leurs fonctions, des métiers, des postures et des actions éducatives au-delà des murs des établissements scolaires. L'idée de continuité peut aussi se retrouver dans une sorte de "nomadisme cognitif" qui articulerait plusieurs expériences de l'apprendre tout au long de la vie et en toutes situations. Pour le dire de manière imagée, ne pas penser que le seul savoir transmis est celui qui, sorti des livres par des maîtres peu formés, rentre uniformément dans les têtes des enfants, des jeunes sagement assis autour de la "chaire", comme l'ont quasiment imposé plusieurs religions au cours de l'histoire.
    2. Les Environnements Numériques de Travail vont reprendre du service, ils seront probablement les briques essentielles d'une école "flexible et adaptable".
    3. Les salles de classe doivent être aérées pendant les récréations ou toutes les 3 heures. Cela semble bien peu pour jouer un role dans la limitation de la propagation du virus.
    4. D'autres "barrières" sont prescrite mais pas forcément réalisables. Le protocole impose le lavage des mais pendant 30 secondes à l'arrivée, avant chaque repas, apres être allé aux toilettes, avant de renter chez "ou dès l'arrivée au domicile". Mais on sait qu'un quart des établissements n'a pas les installations suffisantes pour cela.
    5. A noter que les parents peuvent entrer dans les locaux scolaires s'ils sont masqués et respectent la distanciation
    6. Mais il reste des exceptions. "Bien entendu, le port du masque n’est pas obligatoire lorsqu’il est incompatible avec l’activité (prise de repas, nuit en internat, pratiques sportives, etc.). Dans ses (sic) situations, une attention particulière est apportée à la limitation du brassage et/ou au respect de la distanciation".
    7. Il n'est plus question d'exception pour la maternelle
    1. En matière d’équipementinformatique, un établissement sur cinq n’a pas pu mettre à disposition lematériel numé-rique nécessaire aux jeunes scolarisés qui en avaient besoin(tableau9)
    1. Les parents d’élèves jouent un rôle essentiel. Ils s’engagent à ne pas mettre leurs enfants à l’école, au collège ou au lycée en cas de fièvre (38 °C ou plus) ou en cas d’apparition de symptômes évoquant la Covid-19 chez l’élève ou dans sa famille. Les personnels doivent s’appliquer les mêmes règles. Les accompagnateurs ainsi que les intervenants extérieurs peuvent entrer dans les bâtiments scolaires après nettoyage et désinfection des mains. Ils doivent porter un masque de protection.
    1. ENSEIGNEMENT TECHNIQUE AGRICOLE - QUESTIONS RELATIVES AUX APPRENANTS - Les journées portes ouvertes (JPO) n’ont pas eu lieu, des JPO virtuelles (POV) permanentes sont progressivement mises en place par les établissements et relayés sur les sites et réseaux sociaux. Est-il prévu un décalage du calendrier Affelnet ?
    2. ENSEIGNEMENT TECHNIQUE AGRICOLE - VIE DES ÉTABLISSEMENTS ET DES ÉQUIPES - Les établissements peuvent-ils organiser des accueils de groupes pour compenser l’annulation des JPO ?
    1. Lorsque le salarié en situation de télétravail, régie par le contrat de travail ou par convention ou accord collectif, engage des frais, l’allocation forfaitaire versée par l’employeur sera réputée utilisée conformément à son objet et exonérée de cotisations et contributions sociales dans la limite globale de 10 € par mois, pour un salarié effectuant une journée de télétravail par semaine. (Cette allocation forfaitaire passe à 20 € par mois pour un salarié effectuant deux jours de télétravail par semaine, 30 € par mois pour trois jours par semaine…)