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  1. Nov 2023
    1. RECOMMANDATION 24Densifier l’offre de soins hospitalière en pédopsychiatrie, en poursuivant la trajectoire à la hausse du nombre de lits et places en pédopsychiatrie, en réduisant les inégalités territoriales dans le maillage de l’offre de soins et en développant les équipes mobiles.Destinataires : Ministre de la Santé et de la Prévention.
    2. RECOMMANDATION 23Assurer le financement public des associations assurant des interventions ludiques et artistiques auprès des enfants malades et hospitalisés.Destinataires : Directeurs généraux des Agences Régionales de Santé ; Directeurs régionaux des affaires culturelles.
    3. FAVORISER L’INCLUSION DES ENFANTS MALADES OU ATTEINTS DE HANDICAPRECOMMANDATION 22 Renforcer la formation des professionnels éducatifs, médicaux et médico-sociaux aux enjeux d’une pratique physique et sportive régulière pour les enfants en situation de handicap et les sensibiliser aux bénéfices du recours aux activités artistiques, culturelles et de loisirs comme leviers de prise en charge des enfants en situation de handicap et facteur d’inclusion sociale ; encourager les temps d’échanges entre les différents professionnels intervenant auprès de l’enfant, afin d’assurer le maintien des éventuels aménagements raisonnables nécessaires à sa participation aux activités de loisirs, culturelles et sportives. Destinataires : Ministre de la Santé et de la Prévention ; Secrétaire d’État auprès de la Première ministre chargée de l’Enfance ; Ministre déléguée auprès de la ministre des Solidarité et des Familles chargée des Personnes handicapées ; Présidents et directeurs enfance-famille des conseils départementaux ; Directeurs généraux des Agences Régionales de Santé.
    4. RECOMMANDATION 21Développer des campagnes d’information publique sur les recommandations de limites de temps d’écrans pour les enfants, et plus particulièrement sur la non-exposition aux écrans des enfants de moins de 2 ans, de même que sur le sommeil des enfants en tant qu’enjeu majeur de santé publique.Destinataires : Ministre de la Santé et de la Prévention ; Ministre des Solidarités et des Familles.
    5. RECOMMANDATION 20Développer des espaces dédiés aux tout-petits dans les lieux de loisirs, culturels et sportifs (bibliothèques, ludothèques, musées, opéras, conservatoires, piscines, gymnases, etc.), et prévoir des facilités d’accueil des familles avec enfants en très bas âge dans ces lieux ; rendre ces lieux aisément repérables par une labellisation dédiée, ainsi que le préconise le rapport de la commission d’experts sur les 1 000 premiers jours de l’enfant.Destinataires : Ministre des Solidarités et des Familles ; Maires.
    6. GARANTIR LE DROIT AU REPOS ET À L’ÉVEIL CULTUREL ET ARTISTIQUE DES PLUS PETITSRECOMMANDATION 19 Déployer des Maisons des 1 000 premiers jours, renforcer la qualité de l’offre d’accueil des très jeunes enfants et de leurs parents ou accompagnants, la formation des professionnels, et consolider les moyens de la protection maternelle et infantile, afin de développer l’éveil culturel, artistique et moteur des tout-petits. Destinataires : Ministre des Solidarités et des Familles ; Secrétaire d’État auprès de la Première ministre chargée de l’Enfance.
    7. RECOMMANDATION 18Définir, pour tout jeune privé de liberté, un parcours sportif et culturel en lien avec son projet de réinsertion, en garantissant la consultation et l’association du mineur au choix des activités proposées ; mettre en place, au sein de tous les lieux de privation de liberté accueillant des mineurs, des équipements adaptés à des pratiques physiques, sportives et culturelles variées ; augmenter le temps des promenades afin de garantir une durée minimale de 2h d’activité physique et sportive par jour.Destinataires : Garde des Sceaux, ministre de la Justice ; Directeur de l’administration pénitentiaire ; Directrice de la protection judiciaire de la jeunesse ; Ministre de la Santé et de la Prévention.
    8. RECOMMANDATION 17Garantir, au-delà de la pratique collective des enfants accueillis, l’accès à des activités en milieu ordinaire et intégrer le choix des pratiques individuelles dans les réflexions d’élaboration du projet pour l’enfant, en tenant compte des besoins de l’enfant et de ses appétences en termes des loisirs, de sport et de culture.Destinataires : Présidents et directeurs enfance-famille des conseils départementaux.
    9. RECOMMANDATION 16Systématiser la désignation d’un référent loisirs, sport et culture au sein des établissements et services sociaux et médico-sociaux et des établissements de santé, pour améliorer l’information et l’accessibilité de l’offre disponible en interne et dans la cité.Destinataires : Directeurs généraux des Agences Régionales de Santé ; Présidents et directeurs enfance-famille des conseils départementaux.
    10. AMÉLIORER L’ACCÈS AUX LOISIRS DES ENFANTS LES PLUS VULNÉRABLESRECOMMANDATION 15 Adopter le décret prévu en application des dispositions de la loi n° 2022-140 du 7 février 2022 relative à la protection des enfants, en prévoyant expressément, dans le contenu minimal des projets d’établissement ou de service des établissements sociaux ou médico-sociaux, la définition d’un parcours culturel et sportif pour chaque enfant relevant de la protection de l’enfance ; élargir aux établissements sociaux et médico-sociaux la possibilité de mobiliser la part collective du pass Culture et encourager les travailleurs sociaux à relayer auprès des jeunes et de leurs familles les informations relatives à ce dispositif. Destinataires : Secrétaire d’État auprès de la Première ministre chargée de l’Enfance ; Ministre de la Culture.
    11. RECOMMANDATION 14Accroître le financement public des associations d’éducation populaire qui favorisent les démarches « d’aller vers » et des accompagnements sur le temps long des enfants les plus éloignés d’une pratique culturelle et sportive.Destinataires : Directeurs régionaux des affaires culturelles ; Délégués régionaux académiques à la jeunesse, à l’engagement et aux sports.
    12. RECOMMANDATION 13Développer l’accessibilité des équipements sportifs et culturels en encourageant les régions à mettre en place une politique de gratuité des transports en commun pour les moins de 18 ans, à élargir l’offre de transports et assurer leur inclusivité.Destinataires : Ministre délégué auprès de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires chargé des transports ; Ministre déléguée auprès de la ministre des Solidarité et des Familles chargée des Personnes handicapées ; Présidents des régions.
    13. RECOMMANDATION 12Mettre en place un plan de rénovation des équipements sportifs et renforcer l’accompagnement financier et technique des collectivités territoriales pour favoriser la création de nouveaux équipements sportifs structurants adaptés aux enfants.Destinataires : Ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité ; Maires ; Présidents des conseils départementaux ; Présidents des régions.
    14. RÉDUIRE LES INÉGALITES GÉOGRAPHIQUES DANS L’ACCÈS AUX LOISIRSRECOMMANDATION 11 Pour pallier le manque d’encadrants dans le secteur de l’animation, assurer la prise en charge financière des formations du brevet d’aptitude aux fonctions d’animateurs (BAFA) sous réserve d’un engagement de travail minimal.Destinataires : Ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse ; Ministre des Solidarités et des Familles.
    15. RECOMMANDATION 10Conformément à ce que préconise la proposition de loi « pour le droit aux vacances »267, améliorer l’information concernant les aides pour le départ en vacances à tous et instaurer « un guichet unique numérique » centralisant les démarches pouvant être réalisées.Destinataires : Ministre des Solidarités et des Familles.
    16. RECOMMANDATION 9Assurer aux enfants des familles hébergées par le Samu Social le même accès aux activités péri et extrascolaires qu’à tous les enfants résidant sur le territoire de la commune, en limitant notamment les justificatifs nécessaires à leur inscription à ceux prévus aux articles L. 131-6 et D. 131-3-1 du code de l’éducation pour la scolarisation des enfants.Destinataires : Maires.
    17. RECOMMANDATION 8Augmenter les moyens budgétaires des centres d’hébergement pour adapter ces lieux de vie aux besoins des enfants et leur offrir des espaces de jeux et un accès à des activités récréatives, sportives et culturelles.Destinataires : Ministre délégué auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé du logement ; Ministre des Solidarités et des Familles.
    18. RECOMMANDATION 7 Promouvoir, auprès des travailleurs sociaux, l’accompagnement social global des familles pour y intégrer les questions liées au droit des enfants aux loisirs.Destinataires : Secrétaire d’État auprès de la Première ministre chargée de l’Enfance ; Ministre des Solidarités et des Familles ; Présidents et directeurs enfance-famille des conseils départementaux.
    19. RECOMMANDATION 6 Renforcer l’information et l’accompagnement des enfants des familles les plus vulnérables, notamment des jeunes non-scolarisés ainsi que ceux en situation de précarité, pour la mobilisation du pass Culture et du pass’Sport, en prévoyant notamment des procédures d’information et d’accès hors voie dématérialisée ; augmenter le montant forfaitaire alloué par le pass’Sport pour les familles aux revenus les plus modestes, tout en encourageant le financement des licences sportives par les collectivités territoriales et l’organisation de sorties culturelles et sportives gratuites.Destinataires : Ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques ; Ministre de la Culture ; Présidents des conseils départementaux.
    20. RECOMMANDATION 5 Mettre en place une politique prioritaire pour les enfants et les jeunes en institutionnalisant le départ d’une classe d’âge au moins une fois en classe de découverte à l’école élémentaire (classe de mer, de neige, etc.) et une fois en voyage scolaire sur l’ensemble de la période du collège. Destinataires : Ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse ; Recteurs d’académie ; Directeurs académiques des services de l’’Éducation nationale.
    21. AMÉLIORER L’OFFRE ET L’ACCÈS AUX ACTIVITÉS PÉRISCOLAIRES, AUX SORTIES ET AUX SÉJOURS SCOLAIRESRECOMMANDATION 4 Consacrer dans la loi l’obligation, pour les collectivités territoriales, d’établir un projet éducatif territorial pour organiser des activités périscolaires adaptées aux spécificités locales, accessibles financièrement pour les familles, permettant l’inclusion de tous les enfants et dont la qualité d’accueil garantit leur épanouissement par le recrutement de personnels dûment formés à cet effet.Destinataires : Ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité.
    22. RECOMMANDATION 3 Prévoir la présence d’un coordinateur ou d’un référent en éducation artistique et culturelle dans chaque établissement scolaire afin de résorber les différences entre établissements dans la mise en oeuvre de l’objectif « 100% EAC » et améliorer l’accompagnement des établissements scolaires dans la mobilisation de la part collective du pass Culture pour l’organisation de projets d’éducation artistique et culturelle.Destinataires : Ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse ; Directeurs académiques des services de l’Éducation nationale ; Ministre de la Culture ; Directions régionales des affaires culturelles.
    23. RECOMMANDATION 2 Garantir l’effectivité des heures d’enseignement obligatoire de la pratique sportive à l’école primaire et accroître le nombre d’heures dispensées au collège et au lycée ; renforcer la formation pratique des enseignants d’EPS et expérimenter, dans les écoles, la présence d’un référent EPS en soutien des professeurs des écoles ou encourager le recours à des intervenants extérieurs dans le projet d’école.Destinataires : Ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse ; Recteurs d’académies ; Directeurs académiques des services de l’Éducation nationale.
    24. LUTTER CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX ENFANTSRECOMMANDATION 1 Déployer des dispositifs de prévention et d’enquête administrative dans le domaine de la culture, similaires à ceux établis dans celui du sport266 et former les professionnels au recueil de la parole des enfants, victimes notamment, et à l’information systématique de ces derniers des suites apportées à leurs dénonciations. Destinataires : Ministre de la Culture ; Ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques.
    25. LISTE DES RECOMMANDATIONS
    1. il est essentiel pour cela de recueillir deséléments précis y compris des points positifs, de tenir compte du contexte, de la durée, de lafréquence et de l’intensité des comportements, de déterminer les phases réceptives et les contextesqui apaisent
    2. Le schéma de réaction que suscite un comportement inhabituel est souvent celui de rechercher descauses dans la vie personnelle de l’élève (son enfance, ses liens familiaux, son parcours de vie). Cesinformations nous conduisent à des interprétations souvent contreproductives car elles nepermettent pas de traiter les difficultés que l’élève a connues, elles conduisent bien souvent à unealtération des relations école-famille, une vision de l’enfant ou de sa famille dégradée.
    3. Les relationsentre école et famille sont aussi un point sensible : l’École doit aider les parentsà la comprendre, et parvenir avec eux à des relations clarifiées, de nature àfaire contribuer efficacement la famille à la réussite de l’élève
    4. Guide pour accompagner la gestion des comportements d’élèves perturbateurs à l’école primaire

    1. Scolarisation des élèves handicapés Défaut de scolarisation – Responsabilité de l’État – Action récursoire C.E, 19 juillet 2022, n° 428311, au Recueil Lebon LIJ n° 222, novembre 2022
    2. Inscription des élèves Scolarisation des enfants de moins de trois ans – Autorité compétente pour refuser une demande d’admission en école maternelle – Motifs pouvant légalement fonder un tel refus C.E., 1er juin 2022, Commune de Pluneret, n° 456625, n° 456626 et n° 456627LIJ n° 222, novembre 2022 Affectation – Référé-liberté – Enseignement général et technologique – Enseignement professionnel – Zone de desserte académique applicable à la voie professionnelle J.R.C.E., 31 octobre 2022, n° 468335, n° 468341, n° 468344, n° 468351, n° 468356 et n° 468362LIJ n° 223, janvier 2023
    3. Vie scolaire Dans ce domaine, le nombre de recours a augmenté significativement : 1 787 recours en 2022 (1 760 devant les tribunaux administratifs et 27 devant les cours administratives d'appel), contre 1 138 en 2021, soit une augmentation de 57 %. Le contentieux relatif à la vie scolaire représente désormais 46 % de l'ensemble des recours enregistrés par les rectorats (contre 34 % en 2021). Ainsi se confirme la tendance à l’augmentation des litiges portés par les familles et les usagers année après année (instruction dans la famille, examens de l'enseignement scolaire, sanctions, notamment). Le nombre de recours constaté en 2022 représente près du triple du nombre annuel moyen de ce type de recours constaté pour la période des vingt dernières années, qui s'élève en effet à 635.
    4. Vie scolaire Le nombre de décisions rendues dans les litiges traités par l'administration centrale en matière de vie scolaire a continué de progresser (72 décisions rendues en 2022, contre 43 en 2021, 36 en 2020 et 34 en 2019), représentant 16 % du total des litiges traités par l'administration centrale (72 décisions sur un total de 460), contre près de 10 % en 2021. En revanche, le contentieux de la vie scolaire s'élève à 40 % des litiges si l'on regroupe les décisions juridictionnelles intervenues dans des affaires suivies par l'administration centrale et celles suivies par les services déconcentrés (1 471 décisions sur un total de 3 655), contre 33 % en 2021. En 2022, l'ensemble du contentieux de la vie scolaire a augmenté (+ 40 % : 1 471 décisions en 2022 contre 1 051 décisions en 2021), et ce, dans une proportion bien supérieure à 2021 (+ 5 %) et 2020 (+ 21 %), après avoir diminué en 2019 (- 5 %).
    5. l en résulte que les usagers et les personnels qui forment un recours contre les décisions des autorités en charge du service public de l'éducation n'ont qu'une "chance" sur quatre de voir leur requête aboutir à une annulation et/ou à une condamnation de l'administration.
    1. voici le sommaire: Les élections des représentants de parents d’élèves aux conseils des écoles et aux conseils d’administration des EPLE Fonctionnement des instances Rôle des représentants de parents d’élèves Date des élections Information donnée lors de la réunion de rentrée Parent électeur Liste électorale Consultation et révision de la liste électorale Éligibilité des personnels de l’école / de l’établissement Liste de candidats Désistement de candidature Présentation des listes de candidats Organisation des élections Regroupement pédagogique intercommunal (RPI) Mode de scrutin Bulletin de vote Professions de foi Matériel de vote La mise sous pli Le vote par correspondance Bureau de vote Déroulement du scrutin Modalités de diffusion des documents Propagande électorale Méthode d’attribution des sièges Comptabilisation des suffrages exprimés Cas particuliers Désignation des candidats élus Affichage des résultats Contestation sur la validité des opérations électorales Empêchement provisoire ou définitif de membres titulaires Saisine du médiateur académique Jurisprudence Pour aller plus loin : les principaux textes de référence

    1. ou, pour l'élection des représentants des parents d'élèves, exclusivement par correspondance sur décision du chef d'établissement, après consultation du conseil d'administration. Les votes sont personnels et secrets.
    1. Quelles sont les personnesqui ne peuvent pas se présenteraux élections des représentantsdes parents d’élèves ?

      attention, les beau parents dans les familles recomposées tentent parfois de se présenter sans avoir l'autorité parentale, se qui pose problème

    2. art. D. 521-11 du code de l’éducation
    3. A raison de trois conseils obligatoiresminimum dans l’année, chacun d’entre eux dure approxi-mativement deux heures

      C'est pourquoi il vaut mieux voir la plupart des points avec la mairie, le directeur et éventuellement IEN de circonscription avant le conseil d'école. Le conseil d'école est donc plutôt en réalité une photographie instantanée des position de chacun (parents, éducation nationale et mairie) https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000019278548/

    4. Décret n° 2008-775 du 30 juillet 2008
    5. délégué départemental de l’Éducation nationale

      contactez votre DDEN, Il est important de se connaitre avant d'éventuelles difficultés. Les DDEN siège à la cofrade avec la fcpe pour défendre la convention internationale du droit de l'enfant

    6. Les représentants des parents d’élèves en nombre égalà celui des classes de l’école

      les suppléants aussi peuvent y assister en même tent que les élus titulaires. Conseil pratique: toujours rester constructif , si il y a boquage, faites le constater au compte rendu, prennez contact avec votre conseil local au le CDPE pour avis et action éventuelle

    7. outes les questions intéressant la vie de l’école
    8. L’organisation des aides spécialisées
    9. 5° En fonction de ces éléments, adopte le projet d’école
    10. Les activités périscolaires ;e) La restauration scolaire

      Il vaut mieux voir en amont avec la mairie et se contenter d'utiliser le conseil d'école pour définir un instantané des accords et désaccords éventuels et continuer le dialogue entre deux conseils d'école

    11. Les modalités d'inclusion des élèves à besoinséducatifs et pédagogiques particuliers, notammentles élèves en situation de handicap
    12. en outre, lorsque des personnels médi-caux ou paramédicaux participent à des actionsd’intégration d’enfants handicapés
    13. L’inspecteur de l’Éducation nationale de la circonscrip-tion
    14. médecins chargés du contrôle médical scolaire,les infirmiers et infirmières scolaires

      faire un point pour savoir si tous les postes sont pourvus

    15. réseau d’aides spécialisées

      faire un point pour savoir si tous les postes sont pourvus

    16. ’Incollable du parent d’élève
    17. Le projet d’école est initié par le conseil des maîtres avecles représentants de la communauté éducative

      C'est rarement le cas, les parents sont souvent mis devant le fait accompli qu'ils découvrent en conseil d'école

    18. Ce règlement est rarement existant,mais pourrait être utile en cas de litige. A élaborer depréférence de façon préventive à un moment où le climatau sein de l’école est serein !
    19. art D 411-2 du code de l’éducation
    20. conseil d’école ont lieu à l’école, endehors des heures de classe, à des moments compat-ibles avec les activités des parents,

      Il vaut mieux arriver au concesus que tirer la couverture à soit, tout en tenant compte que seuls parents et DDEN sont là bénévolement

    21. bilan complet de lasituation du RASED
    22. Consultation sur les modalités de vote aux élections desreprésentants des parents d'élèves ;- Désignation de la commission électorale lors du dernierconseil d’école de l’année scolaire (c’est rarement faitmais éviterait bien des problèmes lors des élections).
    23. Examen des conditions d’organisation du dialogueavec les parents lors de la première réunion du conseild’école
    24. conseil d’école établit son règlement intérieur, etnotamment les modalités des délibérations.

      Y à t'il un modèle départemental ?

    25. Art. D 411-2 du code de l’éducation
    26. rencontresavec les parents de leurs élèves, et notamment la réunionde rentrée
    27. bilan surtoutes les questions dont a eu à connaître le conseild’école, notamment sur la réalisation du projet d’école, etsur les suites qui ont été données aux avis qu’il a formulés
    28. manuels scolaires ou dematériels pédagogiques divers

      La question des fournitures également

    29. valeurs etdes principes de la République
    30. violence et de discrimination,en particulier de harcèlement
    31. ’hygiène scolaire

      A ce sujet, les DDEN on produit une enquête intéressante sur les sanitaire http://www.dden-fed.org/les-sanitaires-scolaires-la-synthese-de-la-grande-enquete-realisee-par-les-dden-est-en-ligne/ Il y a aussi une obligation de questionner la qualité de l'air intérieur et la promotion de la santé en général

    32. article L. 212-15
    33. article L. 216-1
    34. article L. 401-4
    35. actions pédagogique

      Il est accordé aux enseignant une liberté pédagogique, néanmoins celle-ci doit répondre aux objectifs des programmes et ne doit être accompagnée d'explications compréhensibles https://hyp.is/eG1hOn-MEe6WYlvz9dDESw/hal.science/hal-03548291/document

    36. nombreux modules sont à votre disposition
    37. article D 411-3 du code de l’éducation
    38. Vote le règlement intérieur de l’école

      Avoir une concertation avant , ou Il fut préter attention à ce qui y est inséré

    39. Art. D 411-1 du code del’éducation
    40. Pour quelle durée est constituéle conseil d’école ?Le conseil d’école est constitué pour une année et siègevalablement jusqu’à l’intervention du renouvellement deses membres.

      Ce qui implique que parfois un conseil d'école extraordinaire est organisé en début d'année pour ce prononcer sur le vote électronique ou uniquement par correspondance

    41. Les parents sont les seuls membres élus duconseil d’école

      c'est pas tout à fait vrai, les DDEN aussi, mais tous les 4 ans et pas au suffrage direct

    42. Si pour une raison ou une autre, une question que voussouhaitez voir débattue n’est pas inscrite à l’ordre du jour,posez-la lors des questions diverses.

      Avec un peu d'expérience vous arriverez peut-être à trouvez les transitions appropriés pour placer vos idées en passant d'un point à l'ordre du jours à un point qui ne l'est as mais connexe

    43. Comment est établi l’ordre du jourdu conseil d’école ?$Il est arrêté par le directeur selon les propositionsadressées par les membres du conseil et diffusé auxmembres du conseil huit jours avant la date de la réunion

      C'est pour cela que le premier conseil d'école ne peut être organiser juste après les élections (8 jours de convocation)

    44. elon les propositionsadressées par les membres du consei

      il faut donc s'y prendre à l'avance et organiser un temps ou un document pour récolter les questions possible des représentants FCPE voire de faire un questionnaire au parents pour récolter leurs difficultés et leurs points positifs)

    1. . une personne citée surinternet bénéficie-t-eLLed’un droit de réponse ?
    2. qui est responsabLe ?Le droit de la presse organise une responsabilité encascade, originale. Seront auteurs principaux des dé-lits de diffamation ou d’injure, en premier lieu, les di-recteurs de publications
    3. . jusqu’à queLLe dateune pubLication peut-eLLeentraîner une condamnationpour diffamation ou injure ?Le délai de prescription de la diffamation et de l’in-jure publiques est particulièrement court : il est detrois mois à compter de la publication
    4. . qu’est-ce que L’injure ?A la différence de la diffamation, l’injure ne renfermel’imputation d’aucun fait précis. Elle est définie parl’article 29 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté dela presse
    5. La bonne foi permet-eLLed’éviter La condamnationpour diffamation ?Oui, mais la reconnaissance de la bonne foi est sou-mise à plusieurs conditions cumulatives.
    6. qu’est-ce que La diffamation ?Tout propos désagréable n’est pas une diffamation.L’article 29 de la loi du 29 juillet 1881 sur la libertéde la presse
    7. queLLes sont Les précautionsà prendre en termesd’iLLustrationdes pubLications ?
    8. . Les éLèves disposent-iLsde droits d’auteur surLeurs travaux personneLs ?Oui.
    9. peut-on utiLiser Le nomde L’étabLissement dansLe titre d’une pubLication ?Oui, à condition que cette utilisation ne génère pas deconfusion quant au caractère non-officiel de la publi-cation et quant à l’identité de l’auteur
    10. Les pubLications des Lycéenssont-eLLes Libres ?Elles sont libres, mais contrôlées. L’article R.511-8du code de l’éducation
    11. une pubLication d’éLève surinternet peut-eLLe justifierune sanction discipLinaire ?Oui
    12. 3. qu’est-ce que La promotioninterdite d’entreprisecommerciaLe ?Evidemment, l’article D.111-9 du code de l’éducationimplique que les associations de parents d’élèves sevoient interdire la diffusion de « publicités » au senscourant
    13. 2. La vioLation du principe deneutraLité poLitique peut-eLLejustifier Le refus de diffusiond’un document ?Non. Le CDPE des Vosges a obtenu du Tribunal ad-ministratif de Nancy l’annulation du refus de distri-bution d’un tract qu’il avait rédigé et appelant à unesemaine de mobilisation nationale pour s’opposer auxsuppressions de postes dans l’enseignement. Dansson jugement du 2 octobre 2012, le tribunal relèveque l’administration a fondé son refus sur une pré-tendue violation du principe de laïcité (critère prévupar la loi mais nullement violé en l’espèce) et sur uneprétendue violation du principe de « neutralité poli-tique » qui n’est pas prévu par l’article D.111-9 ducode de l’éducation et qui, comme le rappelle le tri-bunal, « s’impose aux seuls agents du service ». La« neutralité politique » ne peut donc pas justifier unrefus de distribution par l’établissement.
    1. Le bon renouvellement de l’air dans les locaux est fondamental.

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    1. journée d'études protection de l'enfance et scolarité qui a pour thème de réflexion aujourd'hui l'école comme facteur et espace de protection et de résilience pour les 00:00:12 élèves bénéficiant d'une mesure de protection
  2. Oct 2023
    1. Un arrêt du Conseil d'État estime lui aussi que le manque de clarté est un moyen suffisant pour annuler une décision administrative : Considérant que le terme X est inconnu de la langue française ; que les parties lui prêtent des significations peu concordantes, et recouvrant un ensemble particulièrement diffus de caractéristiques de comportement (etc.) ; que le requérant a pu ne pas comprendre (etc.) ? qu'il n'a pas été en mesure de s'en défendre utilement ; que le moyen est fondé8. 50Il arrive donc parfois qu'un vice dans le schéma de la communication soit sanctionné par le juge : la lisibilité peut être considérée comme une des conditions de validité d'un texte juridique.

      Arrêt n° 44.271, 29 septembre 1993. En l'occurrence, il s'agissait du mot « assertivité »

    1. Circulaire n° 6387/SG du 27 décembre 2022 relative à l’application des lois(legifrance.gouv.fr/circulaire)
    2. I-A44 - Circulaire du 27 décembre 2022 relative à l’obligation de publicité desemplois vacants sur un espace numérique commun aux trois fonctions publiques(legifrance.gouv.fr/circulaire)
    3. I-A40 - LOI n° 2022-1574 du 16 décembre 2022 visant à lutter contre la précaritédes accompagnants d'élèves en situation de handicap et des assistants d'éducation(JORF du 17 décembre 2022)
    4. I-A30 - Circulaire du 9 novembre 2022 relative au plan laïcité dans les écoles et lesétablissements scolaires (encart au BOEN n° 42 du 10 novembre 2022)
    5. I-A29 - Décret n° 2022-1323 du 14 octobre 2022 modifiant l'article D. 432-10 ducode de l'action sociale et des familles (JORF du 16 octobre 2022)Abaissement de l’âge pour passer le BAFA.
    6. I-A26 - Circulaire n° 6375/SG du 10 octobre 2022 relative à la mise en œuvre de lapolitique interministérielle pour l’inclusion des personnes handicapées(circulaire.gouv.fr)
    7. I-A24 - Circulaire du 30 septembre 2022 relative à l’éducation à la sexualité (BOENn° 36 du 30 septembre 2022)
    8. I-A16 - Note de service du 26 août 2022 : Expérimentation de deux heureshebdomadaires supplémentaires d’activité physique et sportive pour les collégiens(BOEN n° 32 du 1er septembre 2022)
    9. I-A10 - Décret n° 2022-1155 du 12 août 2022 relatif au retour des élèves atteints depathologie chronique ou de cancer en milieu scolaire et à leur accompagnementpar un professionnel de santé dans le cadre des examens de l'enseignementscolaire (JORF n° 188 du 14 août 2022)
    10. I-A4 - Note de service du 27 juillet 2022 : Généralisation des 30 minutes d'activitéphysique quotidienne (APQ) à l'école primaire (BOEN n° 30 du 28 juillet 2022)
    1. Pour traduire laréforme dans les faits, il faut investir dans sa présentation, sa mise en œuvre, son suivi etson évaluation
    2. Faire en sorte que la loi s'applique rapidement, efficacement et de façon conforme à sonesprit est un impératif démocratique. Chaque disposition législative qui demeure inappliquéeest une marque d'irrespect envers la représentation nationale et de négligence vis-à-vis denos concitoyens.
    1. 'effet bâtiment qui je pense est trop souvent minimisé c'est pour ça 00:44:47 que des fois j'aime pas trop parler des résilience scolaire parce qu'on on parle beaucoup des notes alors que dans mes travaux à partir de 2013 j'ai surtout fait émerger l'effet bâtiment qui se traduit par un sentiment de protection 00:45:00 physique ressenti par rapport à leur milieu naturel avec des adultes qui me disaient mais quand j'étais enfant au moins quand j'arrivais à l'école il y avait pas mon père qui arrivait dans la salle de cours pour m'en cogier une
    2. harcèlement scolaire on en parle beaucoup en ce 00:44:22 moment clairement on il y a beaucoup d'enfants qui ont très bonne qui sont victimes de harcèlement et qui malheureusement aussi sont victimes de harcèlement parce qu'on sait qu'il y a des schémas qui se reproduisent et qui se retrouvent également victime à l'école pour ces enfants-là 00:44:34 malheureusement on ne parle pas de résilience à l'école même si il y a parfois de très bonnes notes
    3. revenir un peu sur les représentation qui sont trop communément admises que les enfants maltraités les enfants en grande difficultés seraient en échec 00:42:41 scolaire déjà l'équipe de Koffman d 94 relevait que les enfants victimes de maltraitance étaient de tiers avoir de bons résultats à l'école donc en plus ce qui est intéressant c'est que ces 00:42:54 enfantsl ils passent sous les radars parce que comme ils surinvestissent l'école au moins l'école ils arrivent à y vivre ils sont pas repérés à l'école on va avoir plutôt tendance à repérer ceux qui sont remarqués ceux qui sont en échec scolaire
    4. partons sur la résilience à l'école

      partie 2 la résilience à l'école

    5. uand on raconte quelque chose quand on raconte un trauma mais dans 99 % des cas les gens sont en empathie vous voyez ou alors c'est qu'ils ne croient pas qu'ils ne sont pas capables d'entendre mais quand on 00:38:54 raconte quelque chose les gens ne se moque jamais ne vous regardent jamais comme avec des ils sont plutôt à vous regarder avec un regard de de voilà de compréhension voire même d'admiration ah ouais tu as vécu tout ça waouh
    6. vous ne vous rendez pas compte mais parfois une parole un regard aujourd'hui une considération peut changer la vie d'un enfant et vous le saurez jamais
    7. je vous ai mis cette petite image de la résilience on voit bien elle me plaît beaucoup par que je trouve qu'on voit bien l'image du trauma on voit bien que là le cet arbre a été sidéré et pour autant à droite on a cette petite cette 00:29:37 petite pulsion de vie alors l'image à droite elle est verte la petite pousse à droite est verte
    8. e vous présvent on va commencer c'est vous qui allez bosser je vais vous faire faire deux petits exercices d'implication l'objectif c'est justement qu'on soit pas dans quelque chose de descendant donc si je vous implique tout 00:23:09 de suite si je vous propose des petits exercices d'implication vous allez vous sentir sans doute un peu plus concerné par le la thématique et vous allez faire des liens avec ce qu'on va se raconter
    1. Les programmes assurent l'acquisition des connaissances et des compétences fondamentales. Ils déclinent et précisent les objectifs définis par le socle commun. Celui-ci s'articule autour de cinq domaines : les langages pour penser et communiquer  les méthodes et outils pour apprendre  la formation de la personne et du citoyen les systèmes naturels et les systèmes techniques les représentations du monde et l'activité humaine
    1. Le programme de l'école maternelle organise les enseignements en cinq domaines d'apprentissage Les enseignements sont organisés en cinq domaines d'apprentissage : mobiliser le langage dans toutes ses dimensions ; agir, s’exprimer, comprendre à travers l’activité physique ; agir, s’exprimer, comprendre à travers les activités artistiques ; acquérir les premiers outils mathématiques ; explorer le monde.
    1. 2. Les prestations doivent, lorsqu'il y a lieu, être accordées compte tenu des ressources et de la situation de l'enfant et des personnes responsables de son entretien, ainsi que de toute autre considération applicable à la demande de prestation faite par l'enfant ou en son nom.

      article 26

    2. a) Fixent un âge minimum ou des âges minimums d'admission à l'emploi; b) Prévoient une réglementation appropriée des horaires de travail et des conditions d'emploi; c) Prévoient des peines ou autres sanctions appropriées pour assurer l'application effective du présent article.

      Article 32

    3. Article 41 Aucune des dispositions de la présente Convention ne porte atteinte aux dispositions plus propices à la réalisation des droits de l'enfant qui peuvent figurer : a) Dans la législation d'un Etat partie; ou b) Dans le droit international en vigueur pour cet Etat.

      article 41

    4. Article 40

      Article 40

    5. 4. Toute une gamme de dispositions, relatives notamment aux soins, à l'orientation et à la supervision, aux conseils, à la probation, au placement familial, aux programmes d'éducation générale et professionnelle et aux solutions autres qu'institutionnelles seront prévues en vue d'assurer aux enfants un traitement conforme à leur bien-être et proportionné à leur situation et à l'infraction.

      Article 40

    6. b) De prendre des mesures, chaque fois que cela est possible et souhaitable, pour traiter ces enfants sans recourir à la procédure judiciaire, étant cependant entendu que les droits de l'homme et les garanties légales doivent être pleinement respectés.

      article 40

    7. vii) Que sa vie privée soit pleinement respectée à tous les stades de la procédure.

      Article 40

    8. i) Etre présumé innocent jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie;

      Article 40

    9. Article 30 Dans les Etats où il existe des minorités ethniques, religieuses ou linguistiques ou des personnes d'origine autochtone, un enfant autochtone ou appartenant à une de ces minorités ne peut être privé du droit d'avoir sa propre vie culturelle, de professer et de pratiquer sa propre religion ou d'employer sa propre langue en commun avec les autres membres de son groupe.
    10. le droit de connaître ses parents et d'être élevé par eux

      Article 7

    1. 4.1 D’ici à 2030, faire en sorte que toutes les filles et tous les garçons suivent, sur un piedd’égalité, un cycle complet d’enseignement primaire et secondaire gratuit et de qualité, quidébouche sur un apprentissage véritablement utile
    2. 3.a Renforcer dans tous les pays, selon qu’il convient, l’application de la Convention-cadre del’Organisation mondiale de la Santé pour la lutte antitabac
    3. 3.9 D’ici à 2030, réduire nettement le nombre de décès et de maladies dus à des substanceschimiques dangereuses et la pollution et à la contamination de l’air, de l’eau et du sol
    4. 3.7 D’ici à 2030, assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative, ycompris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et la prise en compte de lasanté procréative dans les stratégies et programmes nationaux
    5. 3.6 D’ici à 2020, diminuer de moitié à l’échelle mondiale le nombre de décès et de blessures dus àdes accidents de la route
    6. 3.5 Renforcer la prévention et le traitement de l’abus de substances psychoactives, notamment destupéfiants et d’alcool
    7. 2.1 D’ici à 2030, éliminer la faim et faire en sorte que chacun, en particulier les pauvres etles personnes en situation vulnérable, y compris les nourrissons, ait accès tout au long del’année à une alimentation saine, nutritive et suffisante
    8. 1.b Mettre en place aux niveaux national, régional et international desprincipes de politique générale viables, qui se fondent sur des stratégies dedéveloppement favorables aux pauvres et soucieuses de la problématiquehommes-femmes, d’accélérer l’investissement dans des mesuresd’élimination de la pauvreté
    9. 1.5 D’ici à 2030, renforcer la résilience des pauvres et des personnes ensituation vulnérable et réduire leur exposition et leur vulnérabilité auxphénomènes climatiques extrêmes et à d’autres chocs et catastrophesd’ordre économique, social ou environnemental
    10. 1.2 D’ici à 2030, réduire de moitié au moins la proportion d’hommes, defemmes et d’enfants de tout âge qui vivent dans la pauvreté sous tous sesaspects, telle que définie par chaque pays et quelles qu’en soient lesformes
    1. La participation des usagers et de leurs familles à la construction et à la mise en œuvre du Plan inclus’IF 2030
    2. Dès la rentrée 2024, pour chaque rectorat, 10 dispositifs médico-sociaux au service de l’inclusion scolaire seront développés par l’ARS Île-de-France et les rectorats (équipes mobiles, dispositifs d’auto-régulation, unités d’enseignement externalisées, dispositifs pour le 2nd degré).