, look upon thy death.

Scene I

Augmenter significativement les moyens donnés aux forces de l’ordre pour enquêter sur lesplaintes relatives aux violences sur mineurs.

Inscrire l’interdiction de toutes formes de violences dans le code de l’éducation, dans le codede l’action sociale et des familles ainsi que dans le code de la santé.

Outiller et former les professionnels au déroulement des enquêtes administratives et à la priseen compte de la parole des enfants victimes ou témoins de violences physiques ou morales.

“It’s a very rural area with dirt roads. It’s easy to get lost. They drove up this driveway for a very short time, realized their mistake and were leaving, when Mr. Monahan came out and fired two shots,” the sheriff said, adding that the area has poor cell phone service.

we remove language that incites or facilitates serious violence

could encourage or incite violence against others

Incitement of violence towards any individual

advocating violence

iskerar att öka motivationen hos enskilda personer eller aktörer att begå ideologiskt motiverade våldsdåd

Each reflects the operation of psychological mechanisms that were designed through evolution to serve important adaptive functions, but that nevertheless can produce harmful consequences.

What do anxiety disorders, domestic violence, racial prejudice, and obesity all have in common?

La très grande majorité des réclamationsadressées au Défenseur des droits met encause une personne morale : moins de 5 % desréclamations liées à la protection de l’enfancemettent en cause une personne physique.Ce résultat peut s’expliquer en partie parl’invisibilité des atteintes aux droits de l’enfantau sein de la sphère intrafamiliale en particulier,et des difficultés pour les victimes comme pourles témoins potentiels d’engager un recours.Enfin, dans de nombreux cas de violencesintrafamiliales portés à la connaissance duDéfenseur des droits, le mis en cause n’estpas l’auteur des violences mais une institution(telle que l’Éducation nationale, une association,l’aide sociale à l’enfance...) qui, selon lesvictimes ou les témoins, ne réagit pas ouinsuffisamment face à ces atteintes aux droits.Parmi les organismes mis en cause, lesservices de l’Éducation nationale sont les plusfréquemment cités dans les dossiers relatifsaux droits de l’enfant, suivis des services descollectivités territoriales et des services sociauxet médicosociaux (Tableau 11).

prévention de ladélinquance

• Développer les dispositifs adaptés aux mineurs en situation de rue non demandeurs d’une prise encharge classique, des maraudes aux centres sécurisés et sécurisants avec ou sans hébergement,et former de manière adaptée les travailleurs sociaux au repérage et à l’accompagnement desmineurs victimes de traite des êtres humains.destinataires : Présidents et directeurs enfance-famille des conseils départementaux

• Inscrire le droit à une éducation non violente et l’interdiction des châtiments corporels ettraitements humiliants dans le code de l’éducation, dans le code de la santé publique, ainsi quedans le code de l’action sociale et des familles.destinataires : Ministre de l’Éducation nationale / Ministre de la Santé et de la PréventionMinistre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées

mesure n° 2 du plan de lutte contre les violences faites aux enfants 2020-2022

Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes (A/RES/54/134)

9 VIOLENCESQuatre questions relatives au harcèlement et cyber-harcèlement permettent de mesurer leniveau de violences agies et subies au collège et en dehors des heures de classe. Elles sontcomplétées par une question portant sur la fréquence des bagarres et une question mesurantla fréquence des blessures nécessitant un soin médical

This section does not apply to any political party or group which has had a place on the ballot in each national and gubernatorial election since the year 1900.

par le Conseil d’Etat, enfin,concernant la technique des « nasses » lorsdes manifestations

To even imply a causal link between such representations and the most grotesque real-world violence is to do a disservice to the reality of that complexity. Worse, it contributes to a narrative that many on the far-right have desperately sought to amplify, in a bid to distract from far more pressing conversations about guns themselves, the role of police, and white supremacism in our society.

autres formes de prévention, et aux fins d'identification, de rapport, de renvoi, d'enquête, de traitement et de suivi pour les cas de mauvais traitements de l'enfant décrits ci-dessus, et comprendre également, selon qu'il conviendra, des procédures d'intervention judiciaire.

Article 191. Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l'enfant contre toute forme de violence

une bonne éducaJon = sévérité, dressage, menaces, humiliaJons, etc. violence éducaJve ordinaire (VEO)

Article 37Les Etats parties veillent à ce que : a) Nul enfant ne soit soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 191. Les Etats parties prennent toutes les mesures législatives, administratives, sociales et éducatives appropriées pour protéger l'enfant contre toute forme de violence, d'atteinte ou de brutalités physiques ou mentales, d'abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d'exploitation, y compris la violence sexuelle, pendant qu'il est sous la garde de ses parents ou de l'un d'eux, de son ou ses représentants légaux ou de toute autre personne à qui il est confié. 2. Ces mesures de protection doivent comprendre, selon qu'il conviendra, des procédures efficaces pour l'établissement de programmes sociaux visant à fournir l'appui nécessaire à l'enfant et à ceux à qui il est confié, ainsi que pour d'autres formes de prévention, et aux fins d'identification, de rapport, de renvoi, d'enquête, de traitement et de suivi pour les cas de mauvais traitements de l'enfant décrits ci-dessus, et comprendre également, selon qu'il conviendra, des procédures d'intervention judiciaire.

Les dossiers montrent par exemple combien les difficultés rencontrées par les enfants dans le cadre de leur scolarité ont une incidence directe sur leur bien-être. L’insuffisante prise en compte d’un harcèlement entre élèves ou l’absence de protection face à des violences, psychologiques ou physiques, empêche bien souvent les enfants concernés de jouir pleinement de leur droit à l’éducation.

Dans sa décision 2010-142, le Défenseur des droits avait été saisi des circonstances dans lesquelles un adolescent, âgé de 16 ans, avait été blessé au visage par un tir de LBD 40x46, au cours de l’interven-tion des forces de l’ordre, le 14 octobre 2010, devant un lycée. Une centaine de jeunes était rassemblée devant le lycée, dont l’entrée était bloquée par une barricade, dans le cadre d’une action de contestation de la réforme des retraites

2008-1 (CnDs, rapport 2008)Blessure d’un lycéen de 16 ans par un tir de LBD 40x46 (alors encore en expérimentation) lors d’une manifestation anti-CPE à Nantes (44)

That, Pinker tells us, is the kind of dismal fate ordained for usby evolution. We have only escaped it by virtue of our willingness toplace ourselves under the common protection of nation states,courts of law and police forces; and also by embracing virtues ofreasoned debate and self-contro

When archaeologistsundertake balanced appraisals of hunter-gatherer burials from thePalaeolithic, they find high frequencies of health-related disabilities –but also surprisingly high levels of care until the time of death (andbeyond, since some of these funerals were remarkably lavish).16

‘What is it about the ancients,’ Pinker asks at one point, ‘that theycouldn’t leave us an interesting corpse without resorting to foul play?’

Now, this may seem counter-intuitive to anyone who spendsmuch time watching the news, let alone who knows much about thehistory of the twentieth century.

‘solitary, poor, nasty,brutish, and short’ – basically, a state of war, with everybody fightingagainst everybody else.

The anarchist inspiration is clear than ever here: social complexity without “monopoly of legitimate violence” has been possible before, and can be possible again.

Anyone who accidentally creates discomfort—whether through their teaching methods, their editorial standards, their opinions, or their personality—may suddenly find themselves on the wrong side of not just a student or a colleague but an entire bureaucracy, one dedicated to weeding out people who make other people uncomfortable. And these bureaucracies are illiberal. They do not necessarily follow rules of fact-based investigation, rational argument, or due process. Instead, the formal and informal administrative bodies that judge the fate of people who have broken social codes are very much part of a swirling, emotive public conversation, one governed not by the rules of the courtroom or logic or the Enlightenment but by social-media algorithms that encourage anger and emotion, and by the economy of likes and shares that pushes people to feel—and to perform—outrage. The interaction between the angry mob and the illiberal bureaucracy engenders a thirst for blood, for sacrifices to be offered up to the pious and unforgiving gods of outrage—a story we see in other eras of history, from the Inquisition to the more recent past.

Rodolfo: I'm a victim of sexual abuse in the United States and there was a police report made and everything. And I've also been a victim of gang violence. I was never, you can check my background and everything. I was never into gangs or anything, but around the area I lived in there was a bunch of gangs and... I was beat up two or three times bad just by walking home. And it was all documented, I had police reports and everything. And because of that I was in therapy for while. My mother sought out a help from a psychiatrist because of the sexual abuse I had as a child in California, as a matter of fact.Rodolfo: I took Risperdal and a Ritalin, Risperdal for the anxiety and the Ritalin and for the ADHD. So, we tried everything. The mental health side, the mental health asylum, everything. But it was just going to take longer and longer and longer and I was tired of it. I didn't want to be locked up anymore. So, finally I just told my mom, “You know what man, that's it, I'm done. I don't want to do this anymore.” She asked me, “Is this what you want to do?” And I told her, “Yeah.”Rodolfo: She told me, “You know what? I'd much rather see you over there and be free then not being able to see you here at all.” Because there was a lot of people that went to go visit their loved ones and they used to get picked up. Sometimes they wouldn't even let you see your loved ones and right away ask you for your identification, your social security card, your nationality and everything and they would get picked up.Rodolfo: And I always told my mom, “Don't ever come visit me. Don't ever come visit me because if you do, chances are they're going to take you too.” And you know, that would always break my heart because I would want to see my mom. I'd want to see my dad and everything, but I wasn't able to. So, that experience was just horrible.Sergio: When you were in the detention center what were the conditions? Did you have access the medicine you needed? Did you have access to food and water?Rodolfo: The company that made the jail was called GEO Corp and they were actually, I'm not going to lie to you, they actually were pretty good, health-wise, not so much security-wise. A lot of things would happen in there that definitely shouldn't have ever happened. But with the food and everything, it was good. In my opinion it was because of the company. I feel as though if it was up to the government... Thank God it was an independent company that was hired by DHS as opposed to if DHS were to make their own jail, I feel they would be completely different.Rodolfo: It was [Pause] a pleasantly... there's no way to describe it, it was bad. It was bad, but for what it was I guess it was okay. I don't see there being an in-between or any pretty way to paint that picture as to how good or bad it was in there. Because at the end of the day you're deprived of your freedom. You can't just pick up the phone whenever you want and call your loved ones because you've got to pay for that too. You got pay for that. And if you want to take a shower, you have to buy your soap, right? You've got to buy it yourself, you've got to buy everything. And now you're becoming a liability for your family, you're becoming another bill.Rodolfo: You're becoming another bill and that's what I didn't want. So, that's why I started working. And now, older, I'm becoming another bill. So, I don't get it. You're taking us away from the jobs that we have and everything. You know? So, take us back to our country. And I'm not sure if it this is a fact or not, but I was reading when I first got in here, there was a time where there wasn't enough field workers for, I think, avocado—or, not avocado, I think it was oranges or something like that.Rodolfo: And I remember me saying, “Well, there goes all the deportees. There goes all the people you guys deported. Where are the people that were so outraged because we took your jobs? Go ahead, there you go. There are a lot of vacancies, making these open for those jobs, go ahead, man. All yours buddy, knock yourself out.”Rodolfo: But nobody wants to work those jobs, right? You see what I'm saying though, right?

Anita:Were they worried that the Chicano's were sort of gang members-Beto:Yes. At that specific time, I remember I didn't know about the drive-by shootings because I've been, well we were afraid of those at that time and that's what they were trying to avoid. Since I had my childhood right here, which I remember too, I didn't like Chicano that much or the gang members at all. I don't have tattoos. When they, "Oh I put on my new tattoo." I just gave them my like sign here. "Good for you." Don't like tattoos. I just look at them and go, "Good for you." But that's it.

Anne: I was not present at your survey, so I don't know much about you. So maybe we could just start by you telling me about the circumstances for you, going to the US, how old you were, your first impressions, why you went or your family went.Mike: When I was really young, I had gotten accident that required surgery and I needed to get that surgery done, so when I went to the hospital and get it done there was actually a couple of people from a criminal organization that were supposed to, I guess, kill somebody in there. I remember this like it was yesterday. I had a little breathing mask on and the doctor was telling me to breathe when he counted the eight, I could just hear the gunshots.Mike: And I remember waking up in a bus, because my mom had gone inside the hospital, grabbed me and got on the bus. And I remember waking up kind of like, "Where am I?" And she ended up telling me all that happened, because of that we decided—well, my mom decided—that she wanted a better life for us. So we ended up crossing the border to Arizona. It actually took us three days.

So, I was thinking like, "Why do you want us back? You say you didn't want us.” Little did I know all that. She told me all this stuff that happened and I just started busting down and crying. And I was always mean to my little stepsister too. But once I learned about how my dad, when she was a newborn, put her in the closet with my mom—got my mom butt naked and put her in the closet—and left her there and then took us to Texas… I used to be mean to my little sister, but after I heard that, I was just like—me and her just got close and stuff.

So yeah, those two years being away from her, my dad had lied to us and said that she didn't want us anymore because she had another kid on the way. And yeah, my dad didn't care. He just lied to us and said that my mom didn't want us.

Mike: Yeah. Marijuana. I feel like some people don't classify it as a drug, but at the same time, when you're depressed or when you're going through stuff, it really affects you. It affects every decision that you make. And, of course, everybody—I've tried drugs, I'm not going to say exactly which one, but I've experimented.Mike: I've never really liked it though. I don't like to be high because I used to fight a lot. I would always see that when I would smoke, I would always get beat up. This is an everyday thing fighting, because you have to. You are in the wrong hood, you're wearing the wrong color, you're going to get beat up.

And it took a whole month for the cops to come to my house. So I was with my two little brothers and my little sister was born by that time. She was like three, four. We stayed a whole month with nobody just by ourselves in the house. And I remember this—

On the contrary, war hysteria is continuous and universal in all countries, and such acts as raping, looting, the slaughter of children, the reduction of whole populations to slavery, and reprisals against prisoners which extend even to boiling and burying alive, are looked upon as normal, and, when they are committed by one's own side and not by the enemy, meritorious.

She had become a physical necessity, something that he not only wanted but felt that he had a right to. When she said that she could not come, he had the feeling that she was cheating him.

he was dead! He clasped her against him and found that he was kissing a live warm face.

I hated the sight of you,' he said. 'I wanted to rape you and then murder you afterwards. Two weeks ago I thought seriously of smashing your head in with a cobblestone. If you really want to know, I imagined that you had something to do with the Thought Police.'

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Axe 5 – Inscrire la santé dans toutes les politiquesStructurer une stratégie de coordination des politiques publiques visant à la mise en cohérence des interventions des acteurs concernant les jeunes les plus vulnérables socialement, notamment les jeunes majeurs non soutenus familialement, scolarisés ou déscolarisés, pour certains en grande précaritépar une action concertée (Conseils départementaux, le conseil régional, l’ASE, etc.).Il est également indispensable d’étendre la stratégie de bientraitance dans les relations adultes/ jeunes, dont les relations dans le cadre éducatif.

Semaine 8 : Les enfants co-victimes et prévention des violences faites aux femmes / Week 8: Children co-victims

Comme l’a souligné le Défenseur des droits dans son rapport annuel relatif aux droits de l’enfant de 201914, ne pas prendre en compte la parole de l’enfant représente déjà une forme de violence. Les dossiers qui lui sont soumis révèlent la difficulté des équipes éducatives à prendre réellement en compte les allégations des enfants victimes de harcèlement scolaire. En dépit de la structuration d’un réseau de référents académiques et de la diffusion de protocoles, les chefs d’établissement et les équipes éducatives restent trop souvent démunis face à ces violences, qui se trouvent de ce fait banalisées. Or, l’absence de prise en compte de la parole des victimes, en induisant une réponse inadaptée ou tardive, risque d’accroitre le mal-être de celles-ci qui ne se sentent ni crues, ni soutenues.

2.L’article 40 du code de procédure pénaleL’article 40 du code de procédure pénale, déjà évoqué, dispose que «toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs». Cet article a donc pour effet de délier du secret professionnel les officiers publics ou les fonctionnaires en leur imposant de dénoncer au procureur de la République les crimes ou délits dont ils ont acquis la connaissance dans l’exercice de leurs fonctions. Cetteobligation de dénonciation s’impose à tous les fonctionnaires et concerne toutes les infractions. Un médecin de PMI, un médecin scolaire ou un médecin hospitalier peut donc être concerné par cette obligation. Cependant, le non-respect de cette obligation de dénonciation n’est pas pénalement sanctionné, ce qui en limite considérablement la portée.

si les droits des patients ne sont pas respectés, c’est parce que les équipes débordées ne sont pas en mesure de s’interroger assez sur leurs pratiques, parce qu’elles n’ont pas été formées – notamment sur les questions juridiques – ou parce qu’elles n’ont pas connaissance des meilleures pratiques qui pourtant existent, parfois dans le même établissement. » En matière de droits des patients, les manquements observés ne sont pas insurmontables : « la rédaction de documents type et une campagne d’information et de formation ambitieuse » doivent pouvoir « régler ces difficultés »

Lorsque la victime est un mineur ou une personne qui n’est pas en mesure de se protéger, son accord n’est pas nécessaire.

’article 434-3 du code pénal prévoit que « toute personne ayant eu connaissance de privations, de mauvais traitements ou d’atteintes sexuelles infligés à un mineur de 15 ans s’expose à des sanctions pénales s’il n’en informe pas les autorités judiciaires ou administratives »

2 octobre Journée internationale de la non-violence | (A/RES/61/271) 

Diane sur 17 mai 2016 à 22 h 35 min En effet, il est indispensable de comprendre les raisons de cette violence pour bien aiguiller l’enfant vers une aide , mais toute fois , le bien-être des autres élèves est aussi à prendre en considération. A titre d’exemple, je n’envoie pas mon enfant à l’école pour qu’il supporte un autre enfant de 6 ans ingérable , d’ailleurs toute la classe et l’établissement supporte cela depuis des mois . Cette année scolaire , le CP a été affreuse pour mon gamin ; alors autant je comprends qu’un enfant peut avoir des troubles autant je peux vous assurer que récupérer un enfant qui est dégouté, et apeuré de l’école à cause d’un enfant ingérable, c’est difficilement acceptable.

Muriel Conte, porte-parole du collectif de parents, s’est déclarée « scandalisée » par cette décision. « Le dossier a montré que ces agissements inacceptables en classe ont existé depuis au moins dix ans et ont été signalés ailleurs », a-t-elle affirmé à l’AFP

1 % des incidents graves correspondent à des atteintes à la laïcité

Problèmes éducatifs

Les violences au sein du couple

des conditions d’éducation compromises (11,8%)

Entourage

4.3Des auteurs présumés majoritairement membres de la famille proche de l’enfant

Tableau 9: Répartition des formes de dangers – Nombre d’enfants concernés

4.1 Une prédominance des violences psychologiques, physiques et des négligences envers l’enfant

Forme de dangerDéfinition

3.CARACTERISTIQUES DE LA POPULATIONCONCERNEE PAR LES APPELS

Carte 1: Nombre d'IP pour 100 000 mineurs et jeunes majeurs par département

. Un appel traité sur deux donne lieu à une information préoccupante

Les mois de juin-juillet et novembre ont enregistré les plus grands nombre d’appels.

en 2019, une famille sur trois n’était pas connue des départements pour d’autres faits de danger sur mineur

Comme l’a souligné le Défenseur des droits dans son rapport annuel sur les droits de l’enfant de 20191, ne pas prendre en compte la parole de l’enfant représente une forme de violence.

e Défenseur des droits est régulièrement saisi de situations dans lesquelles il constate des violences physiques et psychologiques, notamment à l’école.

Petrie-Flom Center